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 Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle.

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merry little voices clean and strong.

Giselle Rosenberg
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MessageSujet: Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle.   Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle. EmptyLun 7 Nov - 0:05

beauty and the beast.
running through the parking lot, he chased me and he wouldn't stop. tag, you're it, tag tag, you're it. grabbed my hand and pushed me down, took the words right out of my mouth. tag, you're it, tag tag, you're it.

Tout avait bien commencé, pourtant. Quand la séquence astrologie était passée à la radio, on avait annoncé à Giselle qu’elle passerait une belle journée. Que tout était au beau fixe. Maintenant elle se sentait trahie par Isabelle, l’astrologue de la radio en question. Plus jamais elle ne pourrait lui accorder sa confiance, pas après ce qu’elle venait de vivre.
Elle avait passé la matinée à traîner au marché. Il n’y avait presque personne, avec ce froid de canard au-dehors. Elle serait bien mieux chez elle, une fois bien installée dans son canapé, devant une série sur Netflix. Elle avait cherché quelques légumes pour faire une petite soupe maison. Elle s’était acheté un robot le mois dernier, elle voulait bien s’en servir puisque de toute façon elle avait essayé, dans le monde des contes ce n’était pas possible. Bref. Elle était revenue chez elle son panier bien rempli et les bras bien chargés, toute enjouée à l’idée de savoir ce qui allait advenir de son couple préféré dans sa série cet après-midi.

Sa voisine était venue sonner alors que sa soupe était en train de cuire. C’était Alice, une mignonne petite blonde qui n’était pas toujours chaleureuse avec elle. Aujourd’hui, elle s’était pointée, un sourire jusqu’aux oreilles. Ça avait fortement surpris Giselle évidemment, puisque la veille elle était venue lui taper une gueulante. Giselle chantait trop fort et le bébé ne parvenait pas à se taire par sa faute. Giselle avait passé la soirée à s’en vouloir, avant d’oublier cette histoire dans son sommeil. Et donc oui, Alice souriante ! « Je viens t’annoncer le programme aujourd’hui. Tu gueules, tu mets la musique à fond les bananes, tu fais péter un feu d’artifice pour exprimer ta joie si tu veux, mais lâches-toi aujourd’hui puisque je ne suis pas là ! » Et elle était partie, le sourire toujours scotché. Giselle ne comprenait pas, elle était restée bouche bée dans l’encadrement de sa porte, regardant la jolie tête blonde s’éloigner direction la ville. Il y avait pourtant du monde chez elle, non ? Il lui semblait avoir vu quelqu’un passer derrière la fenêtre du salon. Et il lui semblait bien qu’un enfant criait et pleurait, se trompait-elle ? C’était peut-être un esprit ? Après cinq bonnes minutes à rester plantée, elle avait finalement décidé qu’elle allait fermer la porte, histoire de ne pas laisser plus de froid envahir sa maison. Et puis parce que si elle laissait sa soupe trop longtemps sur le feu, elle ne serait plus assez bonne.

Ainsi le reste de l’après-midi se déroula tranquillement. Giselle s’endormit durant une bonne partie de son visionnage, se réveillant en sursaut de temps à autre pour quelques minutes, le temps de comprendre ce qu’elle avait raté. La saison se termina, le soir tomba et Giselle s’en alla s’occuper de la vaisselle et de la propreté de sa maison, puisqu’elle n’avait plus sommeil. Quand elle put enfin contempler son reflet dans la brillance de son carrelage, elle affronta le froid quelques instants pour sortir la poubelle. Concrètement, elle n’avait qu’à prendre le sac et le balancer dans la grande poubelle verte qu’elle partager avec ses voisins, rentrer et puis basta. Mais elle a eu le malheur de regarder ce qui avait été jeté du côté des Moreau. Des coquilles d’oeufs. Des coquilles d’oeufs. C’est vrai que Giselle se considérait comme une vegan, mais elle ne l’était pas tout à fait. Pour elle, seules les bêtes disgracieuses méritaient d’être mangées toutes crues. Le poulet, c’était laid. Le cochon aussi. Le boeuf, passe encore. Bon OK, les insectes elle n’y arriverait jamais. Mais les autres animaux étaient sacrés. Trop beaux pour être tués. Quand elle vit les coquilles d’oeufs qui avaient sûrement servis pour faire un malheureux gâteau raté, Giselle cria. Non. Elle hurla. Un hurlement déchirant. On aurait dit qu’on l’avait poignardée, et qu’on lui avait arraché son coeur alors qu’elle était encore consciente. Pour toute réponse, elle entendit d’autres pleurs. Ceux d’un enfant. Alice ne lui avait-elle pas dit qu’elle ne serait pas là ? Avait-elle laissé son enfant ? Ah, mais il y avait peut-être son prince. Mais ce n’était pas le problème ! Giselle fondit en larmes, elle était inconsolable. Comment un tel acte avait-il pu être réalisé aussi près d’elle, sans qu’elle ne s’en rende compte ?

Elle prit délicatement les coquilles dans ses petites mains déjà toutes gelées et s’avança dans le jardin des Moreau, dernière demeure des petits poussins morts. Elle creusa un peu dans un coin, la terre en profita pour se loger un peu sous ses ongles. Elle déposa les coquilles et les recouvra de leur dernière couverture : la terre qu’elle avait dérangée quelques instants plus tôt. « Mes pauvres petits poussins ! Si seulement vous n’aviez pas rencontré de tels monstres… » Et elle entama une petite berceuse pour accompagner leur sommeil éternel.
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Vael Moreau
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MessageSujet: Re: Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle.   Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle. EmptyDim 20 Nov - 20:55

Des poussins morts... really ?
Giselle & vael

Vael, clairement ce jour là, il était aux anges. Il n’y avait littéralement personne chez lui. Fred était à l’autre bout de l’Amérique, sa mère dans un petit centre psychiatrique très agréable et où on lui avait dit qu’elle prendrait un peu de vacance. Alice, ils s’étaient encore engueulé pour des broutilles tard dans la soirée, et heureusement, elle avait des choses à faire, comme profiter seule de sa journée loin de Apollon et de la basse-cour. Et maintenant loin de Vael aussi. Je lui avais juste demandé pour la énième fois que les biberons, si elle les lave pas de suite, elle les mets au moins à tremper. Bordel ! Et elle le fait pas. Je sais plus pourquoi il faut le faire, mais faut le faire ! J’ai pas assez de thune pour payer les frais d’urgence de ma mère et moi, alors on va pas me rajouter le fils.

Donc aujourd’hui, il était seul avec son fiston, dit Apollou. Il prenait même plaisir à l’appeler Marcel, surtout quand il se mettait à beugler. « Oh Marcel ! » était devenu l’expression de code quand il n’avait pas la foi d’assumer cette nouvelle « crise ». En gros, c’était pour pas lui dire « Merde ! ». Et aujourd’hui, ça s’était particulièrement bien passé. Il n’en revenait pas. Il se sentait comme le meilleur père du monde en pleine communion avec son fils. Ce qui n’était pas le cas ces derniers temps. Il était stressé et angoissé, peut-être que Alice aussi, sans parler de la présence lourde et déviante de sa mère. De se retrouver seul, ça lui avait fait le plus grand bien. Il était beaucoup plus détendu. Avachi dans son canapé, la moitié de son joint bien chargé déposé dans le cendrier, il se laissait doucement allé à un petit somme. Apollou dormait dans son lit à l’étage, le talkie-baby à côté de son oreille sur le dossier du canapé. La musique résonnait lentement dans son salon grâce à son home cinema. Il était dans un autre monde. En fond sonore, il avait choisi la bande originale de Robin Hood avec Russel Crowe.

C’est alors qu’il arriva, comme ça. De nulle-part. Sans prévenir. Tel un coup d’une lame froide qui s’enfonçait dans votre dos. Bon là, on exagère un peu. En fait j’ai senti le coup de poignard, quand j’ai entendu les braillements de Marcel à l’étage après l’autre conne qui a beuglé dehors. Qu’ai-je fais ? Alors pour commencé, j’ai bondit du canapé, mais bien défoncé, donc je me suis cogné le tibias sur le coin de la table basse vu que je marchais pas trop droit. J’ai essayé de courire, mais j’ai plutôt cherché mon équilibre et tenté de faire abstraction de la douleur. J’ai gravit les escaliers comme jamais, j’ai ouvert la porte, bondit sur le lit et me suis retrouvé devant le lit de mon petit Hercule (parce qu’il ressemble à Hercule bébé dans celui de Disney). Je l’ai pris dans mes bras, bercé vivement comme si je dansais sur du dubstep et halleluia, il s’est rendormit. Vael s’approcha de la fenêtre en entendant une voix. Pas n’importe laquelle. Ses poils s’hérissèrent un bref instant avant de comprendre. C’était Giselle, la folle qui chantait tout le temps. Au début, il trouvait ça chou, à la longue, il en avait ras-le-bol. Puis qu’Alice ne la supportait pas et elle avait réussi à l’engrainer dans cette idée. Parce que je la trouve jolie la comédie-musicale-sur-patte ? Ou parce que je suis faible ? Ou juste les deux…. Giselle était accroupie dans le jardin. Il s’était penché à la fenêtre pour l’observer et comprendre ce qu’elle faisait. Aucune idée… Il descendit les escaliers aussi dynamiques qu’en les montant tantôt. Enfin, il se rata sur les trois dernières marches – y’en a une qu’a essayé de manger l’autre pendant que je descendais, c’pas ma faute ! – mais pas de mal. Juste une maladresse bien rattrapée et surtout habituelle. Il s’emmêlait tout le temps les pieds, rencontrait des meubles qu’il n’avait pas vu, ou encore trébuchait. Il n’y faisait même plus attention. Il sortit par la porte arrière de la cuisine. « C’est Valou pépette » dit-il a voix basse à Destiney pour lui annoncer son arrivée. Elle était aveugle et pouvait paniquer.

Il s’approcha de Giselle bien tout prêt d’elle et la jaugeait, les bras croisé. Elle faisait quoi, les mains pleins de terre à chanter devant un monticule. « C’toi qu’à gueuler ? T’es sérieuse t’as cru que t’étais toute seule ici ? Et j’peux savoir pourquoi tu creuses des latrines dans mon jardin ? ». Elle se tournait vers lui. Il s’en mordait les lèvres inconsciemment pour ne pas trop sourire. Mon dieu qu’elle est trop mignonne... J’ai tellement envie de lui faire l’amour avec plein de bougie partout. Et salement aussi, j’avoue... Pourquoi que toutes les princesses et sirènes se sont retrouvées toutes coincées ici ? Je vais survivre comment moi ? Peut-être que je suis mort et que c’est le paradis.
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MessageSujet: Re: Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle.   Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle. EmptyLun 21 Nov - 1:39

Elle se redressa en entendant le petit surnom affectueux que le touriste donnait à son poney aveugle. « Pépette ?! » Elle pensait qu’on s’adressait à elle. Et des surnoms affectueux, il n’y avait que son prince qui avait le droit de lui en donner. Et pour son prince, une chose était certaine, c’est qu’il n’était pas là, et qu’il n’habitait pas dans une maison où on tuait cruellement d’innocents petits poussins. Elle se redressa, droite comme un i, se retourna et tomba nez-à-nez avec son voisin bouclé, le même qui lui demande de baisser d’un ton de temps à autre quand elle s’égarait à pousser la chansonnette.

« Elle n’a pas gueulé, » Il lui arrivait de parler d’elle à la troisième personne. En tous cas depuis qu’elle sait que dans certains royaumes, on interdit aux sujets de s’adresser aux membres d’une famille royale directement à la deuxième personne. Elle poursuivit : « Une princesse ne gueule pas… Elle s’indigne. Fortement, certes, mais elle ne gueule pas. » Elle prit son air supérieur, redressa le menton et le regarda par en-dessous. Elle avait l’air d’une mauvaise caricature. Elle prit soin de répondre à toutes ces questions. Elle était princesse, mais elle était à l’écoute de ses sujets, aussi elle s’appliquait à leur donner les réponses qu’ils attendaient. « Justement, j’espérais ne pas être toute seule dans le coin, il fallait que quelqu’un entende ma détresse. » Il fallait que qu’on comprenne que faire du mal à des animaux trop mignons, ce n’était pas bien « Je suis heureuse que ce soit toi. Ou pas rassurée… » confessa-t-elle. Vu ce qu’il avait fait à ces pauvres poussins, ce devait sûrement être un tueur, un psychopathe. Et elle était seule avec lui dans ce jardin. Du reste, elle avait déjà entamé le trou s’il comptait l’enterrer ici. « Et si je creuse, c’est pour donner une mort digne à ces pauvres bêtes, tuées sans vergogne par un être sans coeur ! Pourquoi ? » demanda-t-elle dans un souffle, visiblement touchée par le drame. « Pourquoi ?! » répéta-t-elle presque en hurlant cette fois. Au moins il l’aurait entendue. Peut-être même que le bébé aussi. « Tu as volé à une poule son enfant… Tout ça pour quoi ! Une omelette ? C’est parce que tu sais que les poules sont incapables de faire à manger avec ton enfant que tu te permets de le faire avec elles ? »

Ce fut à elle de le jauger, d’examiner chaque détail de son corps. Parfois, elle fit une grimace de dégoût. D’autres fois, elle restait bloquée sur les cernes ou les boucles désordonnées de la chevelure de son interlocuteur. Un tel manque de soin, toutes ces imperfections, ça la perturbait ! Cette personne-là devait être si pauvre… Elle se remit à vouvoyer son voisin, signe de la soudaine compassion qu’elle éprouvait pour sa condition. « C’est parce que vous êtes pauvre que vous avez à commettre d’aussi horribles actes ? Vous n’avez plus de nourriture dans vos placards ? Si vous voulez du pain, je peux vous prêter le mien ! J’ai même des restes de pâtes au champignon quelque part dans l’un de mes sacs poubelle… » D’un signe de main, elle désigna la poubelle sur roulette dans laquelle elle s’était apprêtée à balancer ses sacs, quelques minutes plus tôt. « Je peux vous encourager à les chercher ? Mais ne faites pas ça, » Cette fois, c’étaient les restes de coquilles d’oeufs qu’elle désignait. « Surtout quand vous savez que votre royale voisine est là ! » Elle fit une révérence pour prouver son bon statut.

Elle entendit Pépette se promener, le bruit de ses fers sur la terre l’a trahi. « Par pitié, laissez cet animal tranquille ! Il doit encore avoir toute la vie devant lui, une famille à bâtir ! »
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MessageSujet: Re: Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle.   Mais tu es un monstre ! - Vael&Giselle. EmptyLun 21 Nov - 22:28

Des poussins morts... really ?
Giselle & vael

Vael était resté là, à l’écouter les bras croisés. Puis finalement, c’était un peu plus long alors il prit appui contre sa maison. Il n’avait pas bougé de sa position droite et fermée. Il la jaugeait, puis pensait à autre chose pendant que sa voix lui balançait des choses dont il se foutait éperdument. En vrai je captais pas tout ce qu’elle disait. « Une princesse ne gueule pas, elle s’indigne, bla bla bla… ». Tu vas voir ce que ça donne si je m’indigne. Ensuite, elle me dit qu’elle espérait pas être toute seule, car elle était en détresse. « Pourquoi ? T’es constipé ?  » dit-il, resté sur l’idée de latrines. « Ou alors un accident et c’est ta culotte que t’as enterré » ajouta t-il en fixant le monticule. Après elle me fit légèrement douté de ce qu’elle pouvait bien penser de moi. Je la rassurais pas ? Vraiment ? Ca va pas être facile pour tenter d’obtenir son adorable petit coeur en sucre et sa tête de marshmallow fêlée. Et ensuite j’ai rien compris du tout à ce qu’elle disait.

Vael décroisa ses bras et fouillait ses poches, alors qu’elle s’indignait de la mort de pauvres bêtes tuées. Mais il ne savait ni lesquelles, ni comment et encore moins pourquoi. Il s’alluma un joint et ensuite, il écarquilla les yeux quand elle parlait de poule. « Mais j’pas de poule moi ? » avait-il murmuré en grattant la roulette de son briquet qui ne voulait pas s’allumer. Et enfin la flamme vint lécher le bout de son pétard. Ce n’est que lorsqu’elle parla d’omelette qu’il compris qu’elle parlait des oeufs. Il soupira une épaisse fumée de tabac et de marijuana avant de se pincer l’arrête du nez. Puis il rit subitement. Il venait de repenser à la fin de son discours « C’est pas con ce que tu dis. Je balancerais ça à tout les vegans que je verrais maintenant qui s’indigneront que je mange des oeufs. Pas mal du tout. J’approuve. Je pense que je le fais pour ça » souriait-il, mais vraiment d’accord avec son idée.

Et bordel, elle continua son discours dramatique. C’est donc ça que ça donne quand je la joue aussi théâtrale et dévoué qu’elle ? C’est barbant. Puis les gens doivent me prendre pour un sacré malade. Elle se fout de ma gueule ou pas ? Ca aussi je suis sûr que les gens se posent souvent la question avec moi. Et j’aimerai vous dire que la plus part du temps oui. Vael la laissa finir, continuant de tirer sur sa cigarette en la dévisageant sceptique. Elle allait vraiment loin dans ses convictions. Je devrais prendre exemple sur elle. Soudain, la rousse se tourna en direction de Destiney qui se battait avec les branches d’un arbuste mal taillé. Le français la regarda dépité. Giselle hein ! Pas Destiney, il avait l’habitude avec son bétail. « Mais qu’est-ce que tu racontes ? Je vais pas la bouffer ! Je l’ai sauvé, on allait l’abattre alors je l’ai pris pour lui éviter la mort, pas pour la bouffer ! Ce serait vraiment idiot. Mais j’en aurais été capable certes. Non mais c’est haram de manger un poney, t’es sérieuse ! »

Il quitta le mur de la maison et fit signe à Giselle de la suivre. « Viens, je dois avoir du thé ou du café. Qu’est-ce que ma royale voisine qui s’indigne voudrait ? Je peux même lui faire un cocktail, si ma pouilleuse de femme n’a pas fini tout les fonds de tiroirs. » Il passa par la porte arrière de la cuisine, se penchant à la porte pour être sûr d’avoir été suivi par sa voisine. « Alors déjà je vais te dire quelque chose : je préfère faire des actes « aussi ignobles[ » comme tu dis plutôt que de fouiller les poubelles… Ensuite je t’explique, tes oeufs là. J’ai rien tué du tout, vu que c’est pas fécondé ! Y’a pas de coq ! Donc pas d’embryon. C’est un peu comme si je bouffais ton ovaire à chacune des tes menstruations. Tu vois ? »
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