[RP flash] Au Bal Masqué (ohé ohé) [RP DE GROUPE, toute la ville est invitée]

**Regina Mills**

Au Bal Masqué

Vous êtes tous invités

Let's dance!

Marvin était venu la saluer et la féliciter pour l'organisation du bal, ce qui lui fit chaud au coeur. Elle regarda s'éloigner l'élégant fabriquant de jouet, non sans le féliciter sur le choix de sa tenue.
Roland quant à lui avait demandé des nouvelles d'Henry. Regina ne savait pas s'il viendrait, mais elle l'espérait.

-Je n'en sais rien, trésor. J'espère.

Puis le petit s'était éclipsé avec son père après que Mary-Margaret soit venue les saluer.

-Vous êtes charmante, Mary-Margaret, lui répondit-elle en souriant, sans pour autant lâcher du regard sa secrétaire.

Louise avait bien fait comprendre à sa patronne que la couleur blonde « normale » ne serait qu’éphémère. Mais ce n’était pas là le souci. Elle s’était éloignée, accaparée par ce « cher » Jack. Madame le maire hésitait entre soulagement et angoisse. Mais au moins, le glacial lutin était prévenu, il n’aurait aucune excuse. Cela dit, ce détestable et méprisable blond décoloré –lui aussi, décidément tous les casse-pieds de la ville avaient des délires capillaires étranges- semblait bien décidé, lui aussi, à la faire sortir de ses gonds. Et cela ne manqua pas.

-Comme si vous en aviez à organiser par le passé, marmonna-t-elle à l'attention de l'ancienne Blanche-Neige qui, en sa qualité de princesse, n'avait pas spécialement eu à se préoccuper de ce genre de choses.

Désormais sans Robin ni Roland, l’ancienne méchante reine sentait de vieux réflexes revenir, et lorsque Jack se tourna vers elle avec ce regard qui en disait long sur ses intentions, la maire de Storybrooke ne put s’empêcher, d’un petit mouvement de la main, de lui envoyer une salve magique et invisible, juste assez forte pour le faire tomber en avant, comme si quelqu’un l’avait poussé d’un grand coup dans le dos. Elle avait affiché en cette seconde un sourire carnassier, typique son ancien état de méchante reine, mais se reprit immédiatement en voyant Jack tomber. Que venait-il de se passer ? Heureusement, elle avait fait attention à ce que personne ne la voit. Elle se retourna rapidement afin d’éviter que le lutin emplumé ne l’accuse en la voyant le regarder. Elle observa alors un peu chacun des invités, remarquant Kiernan qui la regardait de travers, et lui répondit d’un haussement d’épaules. Elle vit un jeune homme renverser un verre sur le ventre d’une femme enceinte, ce qu’elle trouva déplacé et observa en fronçant les sourcils. Décidément, lorsqu’elle avait dit à sa secrétaire que cette ville regorgeait de cinglés, elle n’avait pas eu si tort que ça. Et voyant qu’à présent il s’en prenait à Hilda, qui elle-même venait d’avoir une réaction verbale assez tranchée, Regina décida d’approcher.

-Mais qu’est-ce qui se passe, ici ? demanda-t-elle en regardant tour à tour chacun des protagonistes. Jeune homme, je trouve votre conduite déplacée. Vous devriez présenter vos excuses à ces dames.

Elle regarda Alice et sa robe désormais mouillée.

-Ne prenez pas froid, mademoiselle O’Liddell.

Alors que les interlocuteurs étaient un peu tendus, la musique quant à elle était douce, entraînant certains couples à danser un slow langoureux.
Elle remarqua alors la présence de Wyatt à côté d'Hilda, et le souvenir d'un passé dans la Forêt Enchantée lui revint en mémoire. Nul doute que ce pirate d'eau douce ne manquerait pas de le lui rappeler, étant donné qu'il n'avait guère dû être enchanté de l'issue de leur marché. Étrangement, cela la fit sourire. Elle était en train de se dire qu'il n'avait que ce qu'il méritait, et cette pensée la surprit elle-même l'instant d'après. Que lui arrivait-il?

Code by AMIANTE

**Robin Locksley**

Au bal masqué ohé ohé

Robin d'abord mal à l'aise, se prêta au jeu et salua toutes les personnes qui venaient se présentaient à lui et à Regina. Mais forcé de constater que madame le Maire, malgré l'arrivée de l'odieux Jack Frost, maîtrisait les choses comme la parfaite maîtresse de cérémonie qu'elle était, s'éloigna pour aller prendre quelques rafraîchissements. Il détacha son bras de celui de sa "milady" salua quelques personnes sur son passage en particulier Marvin Kandinski son récent compagnon d'infortune. L'homme tout sourire salua une dernière fois ses interlocuteurs et s'éloigna. Robin en profita pour prendre la main de son fils et l'entraîna vers le buffet tant convoité. Il fit donc quelques pas vers le stand et remarqua au passage, le regard baladeur d'une charmante jeune demoiselle rousse qu'il avait déjà eu l'occasion de croiser à Halloween. Il n'était pas vraiment mal à l'aise, au contraire, une once de fierté venait de l'assaillir. Preuve qu'il pouvait encore séduire de jeunes femmes. Roland qui sautillait partout, attira à nouveau l'attention de son père qui le mena vers le stand de boisson. "- Tu vas goûter à tout, mais il te faut au préalable, faire preuve de patience." Pour mieux se faire comprendre, il se mit à sa hauteur lui ébouriffa les cheveux et se redressa. Une patience dont le petit ne s'enticha pas. Attendri, Robin ne put se résoudre à lui tenir un sermon en ce jour festif. Gardant un œil bienveillant sur lui, il le laissa aller se servir tout en gardant un œil sur Madame le Maire toujours encline aux politesses et conversations.

L'ancien archer commanda ensuite un soda à son fils et deux vers de vins rouge. Quelle ne fut pas la surprise de l'adjoint du shérif en voyant Mary Margareth à ses côtés. Le sourire aux lèvres, il la salua et acquiesça suite à son interrogation tout en désignant sa petite amie du regard. Il récupéra le soda de Roland pour le lui tendre et se saisit des deux verres de vin rouge. « - Le vin rouge est pas mal non plus. » Il laissa l'institutrice s'éloigner pour rejoindre Regina et ainsi la saluer. Il posa son regard sur tous les habitants qui avaient accepté de jouer le jeu et ils étaient nombreux. Preuve que Regina était capable de fédérer. Il reporta ensuite son attention sur Roland et l'autorisa à prendre ce qu'il voulait à condition de demander poliment. Le sourire aux lèvres il posa à nouveau son regard sur Regina et ce qu'il vit lui fit perdre aussitôt son doux sourire au profit d'une mâchoire crispée. Regina venait d'utiliser sa magie sur l'odieux lutin albinos qui se trouvait à présent à terre. Et avant que l'ancien archer ne puisse se résoudre à intervenir, la musique changea. Plusieurs couples se retrouvèrent alors sur la piste pour danser un slow. « - Roland tu restes là et tu ne bouges pas, je reviens » Il posa les vers prêt du bar, contourna la foule et s'approcha du petit groupe qui entourait Regina et l'attrapa par le bras pour l'éloigner. « - Mais qu'est-ce qui t'as pris ? Je croyais que tu n'utilisais plus ta magie pour te faire vengeance ! »

RESUME

**Wyatt C. Johnson**

Au Bal Masqué (Ohé Ohé)
Ouvert à tous

Mes yeux lorgnaient sur les coupes de champagne qui étaient proposées sur le buffet ou par les serveurs qui rodaient avec des plateaux toujours remplis. L'envie de tendre la main pour prendre ne serait-ce qu'une seule coupe me brûlait les veines mais je savais que si je voulais garder le plein contrôle de ma personne, je ne pouvais pas me laisser aller, me relâcher. Dès que ce doux poisons entrain dans mon sang, tout pouvait se passer et ce n'était pas souvent pour le meilleur. La dernière fois, je m'étais retrouvé dans la forêt avec les mains et le visage recouvert de sang, le tout avec seulement quelques brides de souvenirs.

Ce fut avec mon soda en main que je me retrouvais en face d'une jolie blonde dont le visage me disait quelque chose. Elle m'interpella avant de se présenter, ce qui me permit de la reconnaître. Un léger sourire apparut sur mon visage à ses mots. Je soulevais légèrement mon loup avant de le remettre en place pour lui serrer la main qu'elle m'avait tendue.
- Ahh, oui ! Plus facile de vous reconnaître sans votre masque... Lui dis-je, un sourire gêné aux coins des lèvres.
Le personnel de l'hôpital était plus que nombreux à Storybrooke, si bien que je ne fus pas étonner de son affirmation.
- Wyatt Johnson, enchanté !
Présentation faite, je pris un nouveau canapé après avoir tendu le plateau à la belle ambulancière que je remis en place. Un mouvement bien placé et mes incisives coupèrent l'amuse-gueule en deux délicatement, histoire de ne pas en mettre partout, c'était bien le dernier endroit où il fallait paraître sale...

Je souris à ses mots, content de pouvoir continuer sur une discussion un peu moins lambda quand un jeune homme parla et attira l'attention de mon interlocutrice qui sembla prendre les mots de ce dernier très à coeur. Elle posa son verre sur la table brusquement avant de se retourner vers moi et de cracher un discours féministe qui n'avait rien à voir avec la discussion que nous étions en train de tenir. Mes yeux s'écarquillèrent pour laisser place à une expression surprise. Ma "collègue" me prenait de court, me mettant la faute de tous les hommes sur les épaules. Je repris mes esprits et un visage plus détendu en la regardant dans les yeux.
- Vous allez bien Hilda ? Demandais-je alors que je tentais de la garder en contenance, sentant qu'un ouragan allait se déverser si je ne faisais rien pour l'arrêter. Cependant ces mots réveillèrent en moi une cicatrice encore fraîche. Si tout cela continuait, je n'étais pas sûr de pouvoir garder mon calme longtemps et devenir la bête noire de la fête et de Storybrooke. Calmez-vous Hilda... Nous sommes ici pour passer une bonne soirée... Lui susurrais-je calmement. Ignorez-le... C'est un con ! Continuais-je.
Il avait des fois où je me disais que je devrais plus écouter ma petite voix intérieure... Ce soir en faisait partie !

electric bird.

Résumé:

**Marvin H. Kandinski**

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Je souris aux paroles prononcées par mon ami Kiernan, soulagé de voir que ce dernier semblait être en pleine forme. Il me parla de ses conquêtes et je suivis son regard lorsqu’il m’indiqua la jeune femme qui attirait toute son attention.

- C’est donc pour séduire une dame que tu es venu ici, je ne te savais pas aussi sentimental. C’est vrai qu’elle est plutôt jolie !

Soudainement, mon ami détourna subtilement le sujet pour me parler de mes amours. Comment pouvait-il savoir que je me trouvais ici pour Anna ? Je ne lui avais après tout jamais parlé d’elle ! La surprise et l’embarras que je ressentais à l’instant me firent rougir.

- Une jeune rousse dis-tu ? Je ne vois pas du tout de qui tu parles ! Et si cela peut te rassurer, elle n’est pas idiote du tout. Sinon pourquoi est-ce que je prendrais plaisir à la fréquenter ?

Kiernan s’éloigna ensuite et j’en fis de même me rapprochant d’Anna et la prenant par surprise. En entendant le son de ma voix, elle se retourna rapidement. Elle me paraissait tellement belle en cet instant que je l’aurais volontiers saluée d’un baiser volé mais je me rappelais bien vite de ma promesse de ne pas afficher notre amour publiquement. Cela ne l’empêcha pas pour autant de me sauter au cou tout en me remerciant milles fois de l’avoir rejoint.

- Tu ne croyais quand même pas que je laisserais mon assistante sortir sans son chaperon préféré, n’est-ce pas ?

Elle relâcha ensuite son étreinte et se tourna vers son interlocutrice, une jeune femme aux cheveux clairs qu’elle me présenta sous le nom de Juliette. Je souris alors aux propos d’Anna. Il y avait comme toujours dans ses propos une manière candide de présenter mon travail et je trouvais cela réellement adorable.
Je suis également ravi de vous rencontrer Juliette. C’est toujours un plaisir de rencontrer de nouvelles têtes. Anna exagère beaucoup en me présentant ainsi. Je ne créer pas de rêves à proprement parler, même si j’avoue que le projet pourrait s’avérer être très intéressant. Je ne suis qu’un modeste vendeur de jouets mécaniques. Et vous, que faites-vous dans la vie ?

Une autre voix se fit bientôt entendre. Une voix légère et familière qui me ramenait au temps de Noël et de notre magnifique cadeau offert aux enfants de Storybrooke.

- Bonsoir Madame Van Holp, quel plaisir de vous revoir ! Je me porte à merveilles, merci. Et vous ? Vous savez je crois que j’ai pris goût à l’organisation de ces fêtes. J’avais d’ailleurs quelques idées concernant ce que nous pourrions faire pour Pâques cette année. Est-ce que cela vous intéresserait d’en discuter ?

Je retournais ensuite mon attention vers Anna, m’intéressant alors au buffet qui se trouvait juste devant mes yeux. Un véritable délice qui proposait tant de merveilles et j’étais impatient de goûter à ses différentes saveurs.

- Anna, ne parlais-tu pas il y a peu de chocolat ? J’avoue que je serais assez curieux de pouvoir goûter à ces fameuses roses.

Spoiler:

**Hilda Van Holp**

Au bal masqué ohé ohé

Hilda était tellement choquée par sa propre attitude qu'elle ne fit même pas attention à l'adolescent qui lui répondait. Etait-il possible que sa séparation lui monte à la tête à ce point ? Mais oui! Lamentable vraiment...L'ambulancière en voulut d'avantage à son futur ex-mari. C'était entièrement de sa faute, il lui gâchait la vie à ne plus faire parti de la sienne. C'était une erreur d'être venue à ce bal. Beaucoup trop tôt pour faire des sorties. Régina intervint et demanda à l'adolescent de faire ses excuses. Hilda était tellement perturbée qu'elle ne vit pas la maire faire son petit tour de magie, ni même l'état de la robe d'Alice

- Allons oublions tout ça! Nous voulons tous passer une bonne soirée et nous allons le faire!

De son côté Wyatt fraîchement présenté tentait de l'apaiser.

- Je suis désolée je ne fais jamais ça...

Et jusque là elle ne se serait pas classée dans le cercle très fermé des personnes aigries.

-...En temps normal.

Elle préféra ne pas s'attarder d'avantage sur le sujet. Wyatt et elle ne se connaissaient pas. Elle accepta de bonne grâce le canapé que le mèdecin aux manières impeccables lui présentait.

- D'autant plus que je ne le pense pas vraiment. J'espère que vous arriverez à oublier mon...mouvement d'humeur.

Il aurait été sans doute plus judicieux qu'elle s'en aille. Mais Marvin lui rappela un bon souvenir et lui fit une proposition qu'il était absolument impossible de refuser. Elle sourit, se réjouissant à l'avance des festivités Pascales.

- Ca sera avec grand plaisir! J'imagine qu'avec vos inventions une chasse à l'oeuf peut prendre des dimensions aussi inattendues que géniales. Qu'en penses-tu Régina ?

Elle jeta un coup d'oeil à son amie qui semblait un peu aux prises avec Robin. Cette soirée était décidément très étrange. Hilda se rendit compte qu'elle n'avait pas fait les présentations :

- M. Kadinski, voici M. Johnson, un collègue travaillant à l'hôpital.

Elle nota dans un coin de sa tête que dans leur chasse à l'oeuf il ne faudrait pas oublier les enfants malades...et aussi qu'une fois rentrée elle jetterait au feu toutes les affaires restantes de Peter. Et peut être même qu'elle danserait autour!

Résumé:

Admin **Anna Sørensen**

Anna était toute heureuse ! Et ça on pouvait le lire sur son visage par ses yeux pétillants et son sourire lumineux après avoir retrouvée Marvin au bal. Des salutations aussi retenues que possible, elle avait automatiquement passée son bras autour de celui de Marvin. Le jeune homme pouvait s’étonner qu’on les sache ensemble, mais suffisait de voir leurs attitudes et regards échangés pour le comprendre. S’ils n’étaient pas entrain de vivre une idylle, il serait temps qu’ils ouvrent les yeux. Bien sûr qu’ils la vivaient avec ses hauts et parfois ses bas. Les « bas » qui firent douter Anna de la venue de son amant secret.
« Si tu penses que t’es si prévisible » avait-elle simplement dit après avoir attraper un mille feuille en mignardise. Non vraiment, elle pariait plus sur son absence que sa présence.

Elle lui présentait donc son amie Juliette qui ne vivait pas du tout de la même façon dans le monde des contes et pour qui Storybrooke était un drôle de monde. Pour une café, on n’appelait plus un domestique mais on appuyait sur un bouton ! C’est fou…
La tête dans les nuages, des coeurs dans les yeux et le sourire béat, elle ne fit même pas attention aux éclats de voix qui se passaient autour d’eux deux. Le jeune homme se tourna alors vers une autre dame. Ils discutaient festivité et elle ne comprenait vraiment pas tout. Comme s’ils utilisaient un message codé. Son sourire béat était devenu bête et poli. Elle était qui enfaite cette femme extrait de l’essence même de la douceur. Mais de quoi parlaient-il ? Soudain, il y eut quelque chose qu’elle comprit : « chocolat ». En un instant elle avait disparut et était apparue aussitôt aux côtés de Marvin. Elle lui tendait une rose en chocolat. Elle avait eu le temps d’en manger une avant de lui ramener celle-ci. Il restait un bout de la tige encore entre ses doigts.

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résumé:

Elle s’était défendue après le discours de Kiernan. Elle ne baisait pas à tout bout de champs quand elle était bourrée. Si ? Il y avait des chances que parfois elle ait tellement bu qu’elle ne savait absolument plus ce qu’elle avait fait pendant quelques heures, ni comment elle s’était retrouvée d’un endroit à un autre. Aussi, elle allait lui demander de répéter la fin. L’avait-elle vraiment entendu parler de peur de brosse à dent ? Elle n’avait pas eu le temps pour ça. Le pitbull et le caniche venaient les cueillir.

Elle avait demandé à Vael s’il lui avait apporté à boire. Elle n’avait pas eu de réponse tout de suite, elle voyait bien qu’il se foutait ouvertement de sa gueule. Elle croisait les bras sur son ventre proéminent, l’air renfrogné. C’était elle le pitbull maintenant. Mais elle ne s’attendait pas à ce qu’il renverse le reste de son verre sur elle… Il était de mauvaise humeur ? Il venait de la mettre encore plus sur les nerfs. La grosse tache que ferait le liquide sur la robe ne la gênait pas. Ce qui la gênait en revanche, c’était le tissu trempé. Il n’y avait pas pire sensation selon elle. Elle couvrait du mieux qu’elle le pouvait son cancer. Maintenant elle sentait mieux la fraîcheur par le ventre.
Elle n’avait pas eu le temps de dire quoi que ce soit que Vael s’emportait déjà après une autre pauvre femme. Celle-là, Alessya l’appréciait déjà. Elle n’avait pas entendu ce qu’elle avait dit – elle était plutôt concentrée sur la bière qui s’étalait sur sa robe, encore pétillante – mais si ça allait contre ce qu’avait fait ou dit Vael ça convenait à Alessya.

« Pauvre conne va. » C’étaient des mots qu’Alessya avait souvent entendu. Elle ne les avait jamais compris parce qu’elle ne parlait pas un mot de français, mais quand Vael les prononçait et qu’elle lui demandait ce qu’il disait… elle devinait maintenant qu’il ne devait pas lui donner la bonne définition. Dit comme il les avait dit, ils n’avaient rien d’un compliment.
« Ça va, on se calme, » disait-elle d’une voix qu’elle voulait la plus calme possible. Elle attrapait Vael, de façon à le faire se tourner face à elle. Et d’un coup qu’il ne pouvait pas prévoir parce que trop rapide, elle lui explosait les bijoux de familles avec son genou droit. « Pour la bière. Et pour que t’arrêtes de pondre, aussi. » Finalement, ça agirait peut-être comme un moyen de contraception définitif.

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résumé:

Admin **Vael Moreau**

Vael répondit donc à Hilda avec un peu de véhémence. Alessya lui fit faire face à elle avant qu’il ne continue à s’emporter. Ce ne fut pas la vision de la blonde qui le calma, mais bien le bar derrière elle et son gros ventre. Ca mériterait une photo, pensait-il alors qu’à elle toute seule elle cachait la moitié de sa table. A cause de la robe bien sûr ! . Il ne l’écoutait même pas lorsqu’elle lui conseilla de se calmer. Il n’en avait cure et s’était penché pour prendre une bouteille sur le bar. C’était de la téquilla et il s’en versa un gros fond dans sa pinte. Une gorgée, le regard par-dessus l’épaule d’Alessya, il ne préférait croiser personne pour l’instant. Ils avaient quoi tous à l’embêter de la sorte. Regina en rajoute une couche. Il ne s’était retourné qu’un instant pour lui jeter un regard faussement choqué. Elle voulait quoi celle-la ! Maire ou pas maire (et techniquement Grosse-méchante-de-l’histoire) qu’elle se la ferme.
« Oueessssh... Elle se prend pour ma mère l’autre ou quoi ? » avait-il grogner à Alessya. Il ne présenterait pas ses excuses. C’est l’autre dame qui l’a agressé de ses paroles féministes, pas lui. Lui, il gérait tranquillement ses histoires d’incubateur (Alessya) car handicapé, l’enfant il risquait de ne jamais être confié !

Pas le temps d’être soutenue par son amie, qu’elle se vengea de lui. Son verre s’écrasa sur les pavés de la place. Le verre se brisa grossièrement et le liquide avait inondés ses chaussures de villes. Vael plié en deux, il eut le souffle coupé par la douleur qui se concentrait qu’à un seul endroit. Le plus sensible. Il se redressa lorsqu’il eut la force de le faire et le regard noir, il fusilla Alessya des yeux. Il s’approcha d’elle pour la pousser sèchement.
« Mais alors toi… Mais toi… continuait-il de la bousculer. Je vais te frapper si fort que y’aura pas besoin d’avortement illégal » finit-il dans un murmure froid, les dents serrées. Il attrapa subitement Alessya par le col mais n’eut le loisir que de la secouer un petit peu. Les bras de Fred venaient de l’entourer fermement et l’écarter de la demoiselle. Le bouclé se débattit légèrement, car il avait envie de frapper Alessya puis qu’il avait cette horrible sensation d’être en camisole lorsqu’il faisait ça. C’était le but après tout. Il n’était pas complètement lui même, en proie à ses humeurs et ses pulsions trop sensibilisé par ses névroses. Il y avait aussi beaucoup de l’influence magique de la ville.

A l’écart pendant un moment, Fred le lâcha que lorsque le plus jeune fut calmé. Vael s’était éclipsé quelques minutes, loin d’Alessya pour montrer sa bonne foi à son psychiatre personnel. Après tout, il était vraiment calmé. Ou presque : il ne voulait plus la taper, mais il resterait pas sur cette humiliation.
Discrètement, il était revenu derrière la blonde enceinte avec un seau de glace pour champagne. Il tira derrière la tenue d’Alessya pour y verser tout le contenu. Sans le champagne bien sûr ! Les glaçons pillés descendirent lentement le long de son dos, entre sa peau et sa robe.

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Résoumey:

HRP pour la Coureuse de lapin:

Le nez dans son verre, et les yeux figés sur le postérieur du voleur au grand cœur, je ne pu me retenir de la taquiner. Non pas sa une mise en garde à l'égard de notre mairesse, qui je le savais pouvait être bien plus dangereuse que ce que l'on pouvait l'imaginer. Quoi que elle avait bien mis en œuvre une malédiction qui nous avait pourri la vie à tous et ceux toutes identités confondus.

« Ô je te reconnais bien là Briar, mais pense tu réellement que je te laisserais risquer ma vie pour la tienne ? »

Soulignais-je, un sourire narquois sur les lèvres. J'ignorais jusqu'où je pourrais aller pour sauver les fesses de la rouquine. Elle était celle qui me ressemblait le plus dans cette ville, malgré le fait que nous avions aucun lien de parenté. De plus, je l'appréciais réellement, ceci dit risquerais-je vraiment ma vie pour elle ? Non, ça m'étonnerait fort, la seul personne pour laquelle j'avais vendu mon âme m'avait prouvé que j'avais fait un erreur.

« C'est vrai que Crochet à un fessier très attrayant maintenant que tu le dis ! Ce qui me perturberais le plus c'est son crochet, pas toi ?»

Ma coupe de champagne fini, je saisissais un verre de vin rouge. De loin ma boisson favorite, sans doute était-ce à cause de la similitude de sa couleur avec le sang. Mon regard se posant sur l'ancien « Jack l'éventreur » désormais appelé Kiernan, je sentais un sourire carnassier s’immiscer sur ses lèvres tandis que je soufflais à ma compatriote

« Tu vois je préfère ses fesses à lui, enfin quand elles ne sont pas entre les mains de la patronne »

Fusillant la fameuse blonde sulfureuse, qui je devais l'avouer été particulièrement séduisante, j'en avais assez de me faire passer devant et sous se masque, je pouvais jouer au jeux que je désirais et en cet instant le jouet que je convoitais était destiné à une blonde.

« Je le veux! »

Lâchais-je, en jetant un regard complice à Briar, je savais qu'elle adorait ce genre d'histoire. Premièrement, ça lui permettait de se divertir, et en plus elle pouvait exercer son génie machiavélique. Elle serait la partenaire idéale.

« Tu veux en être ? On met la patronne or du champs d'action et on lui prend son jouet sous nos masque tout est permis c'est le but d'un bal masqué, … »

Lui demandais-je, l’œil malicieux, tout en présentant mon verre de vin rouge afin qu'elle me signifie sa collaboration en trinquant.

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Résumé :

Il s'avérait que le vendeur de rêve n'était autre qu'un vendeur de jouet. Un sourire amusée et bienveillant se gravant sur mes lèvres je tournais le regard vers Anna, il y avait de l'amour à l'intérieur. Elle était amoureuse de cet homme, un jour nous en parlerons, mais aujourd'hui ce n'était pas le bon moment, j'en étais consciente. Chaque chose en son temps, puis le but de cette soirée était de se divertir nos de converser sur des sujets complexe et qui engendrerait plein de question à savoir ce qu'elle faisait de son casseur de glace dont le nom m'échappait souvent.

« Je serais heureuse de venir voir vos créations un jour Marvin »

Une voix se démarquant à toutes les autres, je détournais les yeux vers la foule. Croisant une chèvre, avant de voir une femme habillé quasiment comme moi. Sa robe ne venait pas de notre monde, mais elle était cousu selon les même critères, quand au masque, il semblerait que nous nous étions servis au même magasin. Mon regard se posant sur le ventre rebondi de la jeune femme, je la reconnaissais une fois pour toute. Rosaline ! Mon regard s'attendrissant immédiatement, je sentais mes lèvres s'étirer en un sourire. Elle était comme dans mes souvenirs, comme à Vérone elle portait des robes similaire aux miennes, et cette coïncidence, ne manquait pas de réchauffer mon cœur qui était mis à l'épreuve depuis que j'étais arrivée dans cette ville.

« Je vous prie de m'excuser »

Demandais-je à Marvin et Anna, qui était déjà en train de prévoir quel chocolat ils découvriraient pendant cette soirée. Avançant dans la foule, je me frayais un chemin délicatement, comme souvent je ne reconnaissais aucun visage. Apercevant Hilda à quelques mètre accompagné avec l'homme qui était quelques minutes plus tôt au bras de la méchante reine, mais également avec Wyatt. Sentant une vague d'inquiétude me saisir, j'inspirais profondément. Je ne devais pas m'emporter lorsqu'il y avait autant de personne autour de moi. Ce n'était pas le moment de perdre le contrôle de la bague, ceci dit après avoir vu Rosaline, je pourrais toujours mettre la fée des étoiles en garde.
Arrivant à hauteur de ma petite sœur, après qu'elle eu frapper le jeune garçon frisé dans les parties intimes, je lui tapotais l'épaule, en ajoutant, tout en prenant soin d'utiliser le prénom qui lui avait été donné dans cette ville :

« Alessya ? Tu es très élégante ! Je vois que tu sais toujours te défendre c'est bien !»

Appréciais-je non pas sans un regard désolé vers l'homme qu'elle venait de mettre à terre. Comme souvent j'ignorais les motifs de cette réaction. Dans mes souvenirs, j'étais la plus imprévisible. De par mes pouvoirs, certes, mais également à cause de mon ancienneté par rapport à Rosaline. Seulement, elle était une femme désormais, et elle m'avait devancé sur un point : elle était enceinte la première. Le frisé, se relevant d'un saut menaçant, commençant à la menacer, je me mettais à ses côté, l’énervement s'emparant de chaque cellule de mon corps, déclenchant une brise de vent glacé, tandis que j'annonçais :

« J'ignore qui vous êtes mais si vous la touchez je jure que je vous foudroie sans le moindre état d'âme et cette fois il ne restera rien de vos parties intimes ! »

Apercevant, l'homme qui tenait le dit objet de am colère, j'inspirais discrètement afin de reprendre le contrôle je ne pouvais utiliser les pouvoirs de la bague devant une si grande assemblée. Je ne devais pas mettre à mal ma couverture. Cachez ses pouvoirs, ne pas en parler, voilà ce que les mages m'avaient appris tout au long de ses années. D'après eux, les pouvoirs de la bagues étaient ma plus grande force, si ses derniers restaient sous silence, et je les croyais. Cependant, une fois libéré de l'emprise du fameux garçon il déversa le contenu de son verre sur la robe de ma sœur. Mes lèvres dessinant un « o », surpris je reportais mon attention sur ma sœur :

« Qui est ce goujat ? Ça va toi ? »

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Résumé :

Invité **Invité**

Quel outrage … dire que moi, Jack Frost ! Noble petit habitant de cette ville qui tentait d'être agréable avec nos très chers étrangers, j'étais agressé de la sorte ! … Même pour moi cela sonnait faux, me faisant rire intérieurement de ma propre bêtise. Cela dit je n'avais pas forcément envie de rire, une minute plus tôt, quand je sentis alors que j'attendais tranquillement une réponse de ma camarade originaire de Paris, une pichenette, mon ego ne me permettant pas de juger cela autrement, qui me fit non seulement me courber mais aussi me ramasser lamentablement au sol. Quelle p*te ! Car oui, alors que je me retournais, me mettant sur les fesses pour observer dans la direction du coup normalement donné, il n'y avait personne, personne à part celle que j'étais certain être responsable ! C'est à dire Régina. Comment pouvais-je en être sûr ? A moins qu'un petit lutin très très très rapide ne soit passé dans mon dos, et croyez moi là dessus je connais mon affaire pour les coups en fourbe, cela devait très certainement être un coup magique de la part de celle dont je m'étais fait un plaisir d'agacer depuis le début de la soirée. Je me recoiffais légèrement, un petit sourire aux lèvres avant de me relever, époussetant mes pauvres petites plumes qui allaient sans doute finir dans un sale état. Le pauvre bougre à qui j'avais piqué ça risquerait pas de les revoir. Je me tournais alors vers ma camarade mortelle et pointais du doigt une direction au pif avant de lâcher le plus naturellement du monde un :

« C'est pas un écureuil à trois tête par hasard ? »

Le temps qu'elle fasse le calcul pour voir à quel point mes mots étaient absurdes elle aurait détourné le regard juste assez longtemps pour que je puisse jouer mon vilain tour, au moins une seconde j'espérais pour ne pas que la miss comprenne tout de suite mais se pose quand même quelques questions tandis que je rendais sa pièce à la mégère. Et de quelle pièce s'agissait-il ? Je me retournais encore une fois vers notre maire tandis que je pensais Louise occupée pour placer ma main sous ma bouche et souffler, comme pour envoyer un baiser si ce n'est que ce fut une traînée de glace, assez fine mais bien glissante, qui se forma sur le sol jusqu'à la sorcière d'où la glace s'étendit en une vraie patinoire, ce qui ne devrait pas manquer de faire tomber Régina et ceux se trouvant autours d'elle. Je me remettais en position, faisant mine que tout était naturel tout en jouant limite mal la comédie par plaisir de faire savoir à Louise que je l'embrouillais, avant de finir en un :

« Ah non ! C'est juste une naine avec un triple menton … décevant … »

Spoiler:

HRP IMPORTANT : Merci de faire des messages de 500 mots MAXIMUM ! Concentrez vous sur l'action plutôt que sur la description du chandelier de grand mère.

**Regina Mills**

Au Bal Masqué

Vous êtes tous invités

Let's dance!

Regina écoutait les conversations entre les jeunes gens qui avaient l'air de se connaître. Alors qu'Hilda évoqua la délicieuse idée d'une chasse aux oeufs pour Pâques, madame le maire n'eut guère le temps de donner un avis favorable, emportée par son cher et tendre qui était revenu, visiblement mécontent. Il l'avait attrapée par le bras pour l'emmener à l'écart, et vu comment ça s'annonçait, l'ancienne reine ne tarda pas à comprendre que, malheureusement, il l'avait vue utiliser la magie sur Frost. Elle prit une longue inspiration alors qu'il la réprimandait.

-Veux-tu bien me lâcher le bras, stp? Lâcha-t-elle sèchement entre ses dents.

Elle plongea son regard dans le sien, tachant de se calmer, mais c'était plus fort qu'elle, elle était partagée entre un étrange sentiment de colère, et son coeur qui lui disait de pas s'emporter ainsi, surtout contre Robin.

-C'est bon, ce n'est pas si grave! Je ne sais pas ce qui m'a pris, d'accord j'aurais pas dû, mais c'était plus fort que moi... Et puis il l'a bien mérité.

Alors qu'elle voulut faire un pas vers Robin pour tenter de lui dire combien elle était désolée, le talon de son escarpin droit glissa et elle tomba dans ses bras. Machinalement, elle regarda le sol.

-De la glace... ce sale petit lutin n'en finira donc jamais, marmonna-t-elle. Tu vois, il me provoque! lanca-t-elle en essayant de se redresser.

Une fois stable sur ses deux pieds, elle positionna ses mains de telle sorte qu'elles étaient parallèles au sol, et fit fondre la glace.

-Ne me réprimande pas, tu veux?! C'était dangereux. Il EST dangereux. Quand je pense qu'on m'accuse sans cesse de tous les maux de cette ville, et que depuis plus d'un an je passe mon temps à me répandre en excuses. Ça commence à bien faire, j'en ai ma claque! Plus d'excuses, tant pis pour eux s'ils ne voient pas que la menace ne vient pas de moi!

Les mots sortaient tous seuls, comme dictés par quelqu'un d'autre, ou plutôt par une ancienne elle qui n'était plus, sans que Regina ne puisse les contrôler. Son regard traduisait sa propre surprise devant ses propos.

-Pourquoi j'ai dit ça ?

Elle chercha des réponses dans les yeux de Robin, espérant qu'il ne serait pas trop dur avec elle et qu'il comprendrait que quelque chose clochait. Elle avait l'impression d'être possédée. Elle regarda autour d'eux, l'air inquiet.

-Où est Roland?

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