[RP flash] Au Bal Masqué (ohé ohé) [RP DE GROUPE, toute la ville est invitée]

Admin **Briar-Rose Woods**

Briar était déjà avec un Whisky sans glace comme premier verre. De petites gorgées, elle le sirotait tranquillement en jaugeant tout ce qui se passait. Les expressions des gens quand ils discutaient avec telle ou telle personne. Ou encore leur attitude, les sourire qui se vaporisait en une seconde dès qu’ils tournaient la tête. Ou ceux qui s’affichaient secrètement.

Elle s’ennuyait déjà. Même les fesses de Robin avait fini par la lasser. Elle n’avait pas envie ce soir. Envie de rien. Pas de sortir, ni de faire semblant. Surtout pas de faire semblant. L’air totalement lasse, elle finit par fixer le vide. Elle pensait à beaucoup de chose inutile et ce pourquoi elle détestait tous ces gens. Ce pourquoi elle se détestait. Il valait mieux qu’elle tourne sept fois la langue dans sa bouche pour pas que ses pensées ne dépassent ses paroles.

Soudain Neilina vint lui adresser la parole. Elle se redressa, sortie brusquement de ce huit-clos avec elle-même. Et un sourire faux, un ! Il s’illumina comme une vieille habitude sur son visage.
« Tu es là, ne savait-elle simplement pas quoi dire d’autre. L’influence d’une puissance malsaine la rendait que plus froide et mauvaise. C’est bon ! Je ne faisais que regarder. Je ne touche pas. Mes mains sont là, leva t-elle les dites mains. Après si elle voulait pas qu’on le regarde, elle n’avait qu’à l’enfermer chez elle. Je te le dis, elle est pas con notre Maire. Elle doit bien s’imaginer qu’avec un gars comme lui, des nana allaient le reluquer avec ou pas avec. Comme Hook. Qui récupère la moitié qui ne regarde pas les fesses de Robin. » leva t-elle son verre à la santé de son argument exagérément idiot. Puis à Régina aussi qui devait supporter de ne pas pouvoir éclater toutes ces filles qui lorgnaient sur son homme.

Elle avala une grande goulée et garda le liquide en joue avant de l’avaler. Elle devait s’y préparer psychologiquement. Elle se tourna vers Neilina : « Puis si elle envoie une boule de feu, je te prendrais comme bouclier, trinqua t-elle contre la coupe de son amie. Et l’enfant de la blonde c’est le sien. Je pensais qu’il était avec sa patronne. » désigna t-elle de sa main qui tenait le verre, le vigile du Psychic. Elle n’était pas totalement innocente. Elle aurait pu abordé tellement d’autre sujet. Mais elle préférait commérer et sur les fesses que reluquait Neilina. Puis s’il y avait des histoires à créer, ce serait bonus !

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**Roland Locksley**

Roland était ravi par cette soirée. Déjà il était avec Régina et son père, et tout le monde venait leur dire à quel point ils avaient l'air beaux tous ensemble. Ils avaient l'air d'une vraie famille. Pour souligner cette beauté du moment, Régina poussa l'enfant à aller découvrir le buffet aux côtés de Robin.

"Oh oui!!! Je veux tout goûter. Les plats, les jus, les desserts... TOUT!"

Ravi par cette opportunité, il alla se servir d'un peu tout et revint, par ricochet il se sentait le centre d'attention. A la fois, comme n'importe quel enfant, ça lui plaisait, même si bon... C'était un peu intimidant... tout le monde connaissait Régina et tout le monde semblait la respecter.
Il y avait vraiment pas mal de monde ici, et plus le temps passait, plus il y avait des gens. Roland ne put s'empêcher de faire la moue quelques instants, car il n'y avait toujours pas d'enfants de son âge, aussi il se tourna vers sa belle-mère et lui demanda

"Est-ce que tu crois que Henry va venir?"

Il voulait jouer et en profiter le plus possible, il sentait que Régina et les autres allaient avoir des discussions d'adultes ennuyeuses, mais peut-être aurait-il de la chance. Ainsi suivant les demandes de ses parents, il dit bonjour à Hilda qu'il avait déjà croiser précédemment, ainsi qu'à tout ceux à qui Régina les présentait. Sourire, pas de problèmes pour lui, et au moins à son âge, ça ne risquait pas de lui laisser des rides!
Ca lui faisait plaisir de voir de nouveaux visages, de rencontrer de nouvelles personnes. Ca faisait longtemps qu'il n'avait pas eu ce genre d'occasion, mais il ne voulait pas non plus aller se perdre au milieu de tout ce monde, aussi il restait aux côtés de son père et attendait de voir comment la soirée allait évoluer.

Invité **Invité**

Au bal masqué (ohé ohé)

Mary arriva seule au bal. Elle portait une simple robe blanche et un loup en dentelle blanche aussi. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait plus participé à un bal de ce genre. Elle regrettait seulement d’y venir seule. Elle aurait aimé pouvoir danser avec son mari mais il était shérif et on avait besoin de lui, au cas où. Mary savait qu’elle verrait beaucoup de ses amis à cette soirée et qu’au final, elle ne serait pas seule. La soirée avait déjà bien commencé quand Mary fit son entrée. Des petits groupes de gens qui discutaient s’étaient formés. Mary commença par repérer le bar. Avoir un verre en main vous rend tout de suite plus sympathique. Elle s’y rendit et demanda un verre de vin blanc. Elle prit une gorgée et inspecta la foule. Elle vit Robin venir chercher un verre au bar. Robin et elle était amis depuis bien longtemps. Mary ne remercierait jamais assez Robin de lui avoir expliqué comment tirer à l’arc. Savoir se servir d’un arc lui a sauvé la vie plus d’une fois quand Régina voulait sa mort. Elle trouvait le sort un peu ironique, elle n’aurait jamais imaginé Robin et Régina ensemble. Mais elle devait bien avouer que Robin faisait le plus grand bien à Régina. Et puis Régina était une très bonne mère pour Henry, elle l’avait bien vu pendant toutes ses années. Mary savait donc que Roland était entre de bonnes mains. « Bonjour Robin. Je suis heureuse de te voir. Tu es avec Régina et Roland ? » Roland était l’élève de Mary. Elle le voyait tous les jours mais elle aimait tellement ses élèves que ça ne la dérangeait pas de les voir en dehors de l’école. C’était même un plaisir. Elle pouvait voir les enfants dans leur vraie vie. Parfois ça permet de mieux comprendre le comportement des enfants. « Le vin blanc est vraiment bon si je peux te conseiller. » Elle montra le verre de vin qu’elle avait en main. Elle recommença à inspecter la foule et trouva vite Régina et Roland. Elle se devait d’aller au moins saluer sa belle-mère. Leur relation s’était améliorée ces derniers temps. Elles n’étaient pas devenues les meilleures amies du monde mais elles ne voulaient plus s’entretuer. « Je vais aller dire bonjour à madame le maire. Je suis heureuse de t'avoir vu Robin. » Et elle laissa Robin au bar. Elle se dirigea vers Régina qui avait pas mal de travail ce soir. C’était elle qui organisait toute la soirée. Et puis elle était le maire. Toute la ville venait donc la saluer. Mary ne voulait pas l’importuner trop longtemps. « Bonjour Régina. Votre fête est vraiment très réussie. Je n’aurais pas fait mieux. » Elle sourit puis se baissa un peu pour être à hauteur de Roland. « Salut Roland. Waw t’es super beau dans cette tenue. » Elle se releva tout sourire. Mary avait l’impression d’être redevenue Blanche, d’être revenue à son adolescence lors des bals que sa famille organisait. Bien sur le temps avait passé et elle ne nous sentait plus aussi innocente qu’à cet âge-là mais aujourd’hui elle se sentait assez sereine. Sa vie n’était pas celle qu’elle avait imaginé quand elle était jeune mais elle avait un mari super et plus personne ne voulait sa mort.

FICHE ET CODES PAR ILMARË

**Wyatt C. Johnson**

Au Bal Masqué (Ohé Ohé)
Ouvert à tous

Mon costume de soirée enfilé, je pris la direction de la fête, ne sachant pas trop à quoi m'attendre. C'était mon premier bal depuis une éternité, et surtout, c'était mon premier bal ici, dans ce monde bien étrange. Malheureusement, je n'avais pas encore assemblé toutes les pièces du puzzle pour comprendre ce qui se passait, mais depuis le retour de ma mémoire, les choses commençaient à s'assembler petit à petit pour forme un ensemble plus ou moins sensé. Tout au long du chemin, j'y repensais, cherchant à trouver quelques éléments qui pouvaient me manquer, mais rien. Je fus rapidement arrivé à l'endroit de la fête sans vraiment m'en rendre compte. Les gens arrivaient souvent par deux, ou en famille, ce qui me fit soupirer, repenser à mon frai célibat qui ne m'allait pas si bien que ça. Je le vivais mal, terriblement mal même si je n'osais pas me l'avouer. Et voir tous ces couples se tenir la main et se béquotter me donnaient l'envie de rentrer pour me défouler, mais il était trop tard pour faire demi-tour.

Ce fut muni de mon loup que je me retrouvais propulsé dans cette foule qui fourmillait. Je ne m'attendais pas à voir tant de monde, même si le buffet était offert, et donc une bonne motivation. D'ailleurs, ce fut vers ce dernier que je me dirigeais vu qu'il était le centre de l'attention des gens. Bien sûr je ne sautais pas sur les canapés et les verres de champagnes comme un affamé même si ma faim criait plus fort que ma raison. Pour le moment, je n'avais pas fait réellement attention à qui pouvait se trouver ici. J'étais sûr de pouvoir retrouver deux ou trois patients ou collègues vu que l’hôpital de la ville était assez fréquenté. Ma victime, un canapé avec des crevettes et de la sauce cocktail, n'eut pas le temps de souffler qu'il fut anéanti, accompagné par une gorgée de soda. J'eus juste le temps d'avaler qu'une voix s'adressa à moi, ou du moins me laissa le croire.

Tournant la tête légèrement, je vis une jolie blonde, dans la trentaine. Je lui décochais un sourire avant de m'essuyer la bouche avec une serviette délicatement.
- Bonsoir ! Effectivement, j'y suis médecin... Vous êtes ? Lui demandais-je.
Je savais que j'avais déjà vu sa tête quelque part, mais je ne me souvenais plus où c'était. A voir ses dires, cela devait être à l'hôpital. Cependant cette indice ne m'aidait pas vraiment au vu du nombre de personnes qui défilaient dans l'établissement tous les jours.
- Vous passez une bonne soirée ? Continuais-je.

electric bird.

**Louise Lemire**

Le copain, mari, je sais pas quoi de Regina me serra la main. Il avait quelque chose de très apaisant qui se dégageait de lui. Pas du tout la même aura que Regina. Soit ils se complétaient, soit ils s'entre-tuaient. Je lui lançai un sourire amical et commençais à discuter avec son fils. Il était adorable... et ne devait pas du tout avoir les gènes de Regina. Elle ne me parlait jamais de sa vie privée et ça m'arrangeait bien, mais là, j'avoue que j'aurais aimé en savoir plus. Je me relevais pour donner un prospectus à quelques personnes qui passaient à côté de nous. Une femme s'arrêta et me donna des pansements. Je soupirai et souriais de soulagement. M'empressant de les appliquer sur mes débuts d'ampoules, je finis par la remercier chaleureusement :

« Merci beaucoup ! Vous me sauvez la vie ! »

J'aurais pu lui embrasser les pieds, si je n'avais pas encore un peu de respect pour moi-même. Je pourrais enfin tenir toute la soirée avec ces objets du diable. Elle me parla d'un Benett, journaliste ici. J'étais loin de vouloir finir dans un journal local, j'avais plus d'ambition. Je voulais bien plus, même si cela n'étais pas des plus honorable.

« Effectivement, je pourrais discuter avec lui. Tous les conseils sont bon à prendre et je ne pourrais qu'apprendre. »

Regina me complimenta sur mes cheveux et le fait que la soirée était un succès. J'espère bien qu'elle était un succès ! J'y tenais ! Je n'avais pas l'occasion de pouvoir tenir ce genre d'événement à Paris, ici c'était enfin l'occasion de me lâcher. Je lui souris avant de lui répondre avec un sourire un peu niais.

« Oui, c'est fou ce qu'on peut faire avec de la coloration éphémère ! J'ai dilué celle-ci dans de l'après-shampooing histoire d'être sûr de pouvoir retrouver dès lundi matin, ma crinière de licorne ! C'est pas magnifique ça ? »

Elle n'allait pas être déçu de la prochaine couleur. J'avais envisager du Rainbow Hair ou du jaune vif. Le bureau de la mairie allait être plein de couleur ! Quelqu'un me bouscula. Étant complètement instable sur mes talons, je tombai à la renverse, sans aucune grâce. Punaise, je vais buter celui qui m'a fait ça ! Je me retournai pour l'observer et tomber nez à mollet sur une espèce d'autruche. D'accord, je suis habituée au look plutôt excentrique, mais faut quand même pas pousser mémé dans l'eau du bain de bébé et jeter le tout dans les orties. Ce mec ressemblait à un horrible oiseau. Il parla d'abord à Regina comme si je n'existais pas. J'vais le buter, le réduire en charpie, faire de sa peau un abat-joie et donner la chair à manger au Loch Ness. Finalement, il remarqua ma présence et me tendit la main. Non, mais tu crois vraiment que j'ai besoin de ton aide ?! Je repoussai sa main et me relevai d'un bond.

« Ce n'est rien. C'est vrai, ça arrive tout le temps de ne pas voir quelqu'un dans un groupe de cinq personnes ! »

Je répondais gentiment, mais dans ma tête, j'étais sur son dos en train de lui faire bouffer ces prospectus. Il me prit par la taille, pas d'excitation mais de dégoût. Je détestais qu'on soit aussi familier avec moi, je détestais qu'on me touche tout court. Je me dégageais légèrement de son étreinte, juste assez pour qu'il puisse sa main sur mon dos et je le suivis. J'étais certaine que Regina allait s'énerver. Pour elle, j'étais toujours cette personne dangereuse qui menace sa ville chérie. Elle avait bien raison. Cependant, j'étais presque certaine qu'il ne m'apprendrait rien d'utile. Ca allait juste être un jeu qui ne mènerait à rien. Mais de toute façon, j'étais coincée ici toute la soirée, alors autant s'amuser un peu.

« Ce n'est pas grave ! Paris est une grande ville, nous n'avons pas l'occasion d'organiser ce genre de soirée et j'avoue que je trouve ça plutôt sympa. Oh oui ! Ça a quelque chose de magique le nombre de cons qu'il y a dans cette ville. Je ne pensais pas dans une si petite ville. »

Ah et puis comme je prône l'honnêteté :

« Je déteste votre tenue. »

menace sur la ville **Beldam**

Intervention du Mage Noir

Le Mage Noir frappe sur le monde !

Darkness is coming !

I shall destroy your kindness !

La soirée organisée par la mairesse de Storybrooke se déroulait divinement bien pour le moment, et même si à n’en pas douter il y’avait dehors des personnes qui ne s’appréciaient pas, elles avaient toutes prises soin de rester respectueux en ce début de soirée. Depuis son repaire secret, le Mage Noir observait la scène à travers son miroir, d’un air amusé. Les habitants de Storybrooke étaient à sa merci et il comptait bien montrer une infime partie de son pouvoir. Depuis de nombreuses semaines il assemblait ses forces, bientôt il entrerait dans la danse mais l’heure n’était pas encore venue. Ainsi, l’idée de pimenter quelque peu cette soirée à priori anodine le réjouissait. Il avait repéré plusieurs individus et sans trop tarder, il usa de son pouvoir, puisant dans la bonté de ces derniers pour gagner en pouvoir. De la princesse rouquine et sexy, aux deux touristes en passant par la fée du Père Noël, le Mage Noir se délectait de la bonté qu’il avait arrachée à ces derniers. Mais parmi ses différentes proies, il y’en avait deux avec lesquels il avait pris bien plus de plaisir qu’avec les autres. En effet, en ciblant Regina et son beau-fils, Roland, le Mage Noir semait les prémices d’une soirée qui pourrait bien devenir explosive.

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Quelques petites règles à suivre :

Les pouvoirs du Mage Noir viennent de frapper la soirée. Les membres suivants se sont vus retirer des points de bonté : Briar-Rose Woods ; Louise Lemire ; Vael Moreau ; Hilda Van Holp ; Roland Locksley et Regina Mills. Nous vous remercions de bien vouloir prendre cette baisse de bonté en compte dans vos prochains rps. Nous avons également pu constater que certains rps sont assez long et qu'il n'est donc pas évident pour de nouveaux arrivants de débarquer puisqu'il y'a un petit paquet de réponse plus ou moins conséquentes à lire avant. Ainsi, nous avons décidé d'établir les règles suivantes pour les tours suivants :

- Les rp doivent faire au maximum 600 mots. Merci de respecter cette limite

- Un résumé des actions des personnages doit être inscrit sous spoiler à la fin de chacun des rps. N'hésitez pas à rajouter où vous vous situez dans la salle et avec qui vous vous trouvez.

On espère que vous vous amusez bien, merci de votre participation et que la vraie fête commence

are you insane like me ? **Grace Blackheart**

Elle avait vu Kiernan environ deux secondes avant que Vael ne commence à s’exciter tout seul. Elle a eu du mal à associer l’idée de gorille à son vigile, mais elle finissait quand même par voir un petit air avec l’animal. « Qu’est-ce qu’il a avec toutes les filles qu’il croise, tu veux dire ! T’inquiète pas, ta copine n’est pas la seule à fricoter avec le gorille… » Elle ne saurait dire si elle était déçue parce que Kiernan avait décidé de ne pas fricoter avec elle pour lui préférer la compagnie de l’alcoolique de la ville – est-ce qu’elle était enceinte d’ailleurs ? – ou si c’était parce qu’il fricotait tout court avec quelqu’un d’autre qu’elle. Elle avait pourtant été claire, même envers elle-même : ils n’étaient pas en couple. Elle parlait à Vael du soir où le gorille avait raccompagné la pauvre fille, laissant le PsyChic sans surveillance. Elle avait fait un scandale à son voisin, s’il y avait eu un problème dans son établissement il n’y aurait eu personne pour le régler. « Comment ça il s’est passé un truc encore ? » Ça ne l’étonnait pas qu’il puisse se passer des trucs entre Kiernan et les filles qu’il raccompagnait, ça la faisait juste chier. Elle avait l’impression de passer pour celle qui portait les cornes. Ils n’étaient pas un couple, pourtant. « Si tu crois que j’ai placé un micro sur mon gorille tu te mets le doigt dans l’œil ! Je crois que je ne veux pas savoir ce qu’il fait en dehors du travail, de toute façon. » Elle prendrait bien un bon verre d’alcool fort, cela dit. En tous cas un autre, car Vael lui avait empêché de boire le premier. Ce soir, elle ferait peut-être concurrence avec Alessya sur la consommation de boisson. « Vas pas croire que c’est de la jalousie hein, » elle tentait encore de se rassurer tout en évitant que Vael ne se fasse de fausses idées, « on n’est pas en couple. »
Vael disait qu’il n’était pas plus en couple que Grace, mais les deux n’étaient pas très convaincaints.
Grace trouvait un intérêt soudain à ses souliers, et s’apprêtait à interroger le touriste sur la prise de poids de son amie. C’était la sortie des fêtes, ou quelque chose de plus grave ? Elle n’avait pas eu le temps d’ouvrir la bouche que celui-ci ne tenait plus, il préférait partir chercher l’autre. « Je… vais faire pareil, tiens ! Pas avec la tienne, avec mon gorille hein. » C’était juste une impression ou elle avait vraiment l’impression de passer pour une attardée ce soir ?

Elle se dirigeait donc dans la même direction que Vael, mais finissait par attraper le bras de son vigile pour l’emmener promener un peu plus loin. « Laisse les amoureux tranquilles, et surtout… arrête de traîner avec un cas désespéré pareil, » elle faisait un léger signe de tête pour désigner la pauvre Alice. Pauvre Alice qui en plus de vivre pour boire, donnait à Grace la confirmation qu’elle était enceinte. Ce n’était pas juste quelques kilos en trop, c’était trop évident pour ça. Plus qu'à espérer que le résultat ne donnerait pas un gorille miniature.

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Résumé : Grace papote toujours avec Vael, puis part récupérer Kiernan parce que l'autre touriste la laisse tomber

Alessya souriait à l’arrivée de Kiernan. Elle avait souhaité un peu de compagnie, et elle n'aurait pas pu avoir mieux ce soir, sans doute. Au moins, Kiernan ne l’avait pas mise enceinte, et il lui payait même parfois des coups à boire ! Quand elle pouvait boire… « Les verres ne sont pas payants… et au pire je ne le savais pas. » Elle clignait rapidement des yeux, elle feignait l’innocence. « C’est toi mon idiot ce soir ! » ajoutait-elle avec un plus large sourire encore. « Oui mais je te regarde quand même. » Elle plaça une main sur sa mâchoire, et continuait son jeu avec ses battements de cils. Quand il lui demandait si ça allait, elle allait répondre par habitude. Elle ramenait sa cape sur son ventre, visiblement celui-ci était trop en évidence. « Ça va, rien de nouveau et t… » Elle allait lui renvoyer la politesse juste avant qu’il ne parle de tumeur. Elle était fixée : il avait déjà remarqué le problème. « J’ai pas fait exprès, j’te jure ! Te moque pas, j’aimerais bien t’y voir à ma place ! Je galère pour trouver dans quelle position dormir... » Et remarquant qu’il la regardait l’air un peu suspicieux, et un peu trop longtemps pour que ça lui paraisse normal, elle ajoutait : « Je suis peut-être blonde et tout ce que tu veux, mais faut vraiment être con pour croire que deux mois suffisent pour avoir cette taille de bide. Non, ce n’est pas le tien. » Déjà que faire un déni de grossesse, ça n'avait pas été l'éclate pour elle, mais en plus faire un gamin à cause de cet énergumène ? Il ne manquerait plus que ça !
Sur ces mots, c’était un genre de caniche qui avait l’air vachement en rogne qui venait s’occuper de la femelle qu’il avait fécondé. Et juste après lui, la patronne du PsyChic. Alessya aurait presque cru qu’elle lui avait lancé un regard noir. Elle savait pour les verres impayés ? Elle pensait que Kiernan n’avait rien dit sur cette affaire. « Oh c’est charmant tu es venu m’apporter la boisson ? » Elle désignait le verre dans la main de Vael.

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résumé:

**Hilda Van Holp**

Au bal masqué ohé ohé

Hilda regardait le jeune Roland qui semblait s'amuser comme un petit fou! Comme il était bon d'être un enfant près à s'émerveiller de la moindre nouveauté! Attrapant un bretzel aux pépites de chocolat elle le donna à Roland :

- Tiens mon grand. Tu m'en donneras des nouvelles.

A l'occasion, quand elle aurait son nouveau chez elle, elle proposerait à Robin du baby-sitting si il en avait besoin. Le jeune homme qu'elle pensait connaître lui confirma qu'il travaillait à l'hôpital. Un sourire de soulagement apparut sur les lèvres de la jeune-femme. Elle ne s'était pas trompée, influencée par le manque qu'elle avait de son époux. La fée des Etoiles retira son loup, sourit et lui tendit la main.

- Hilda Van Holp, l'ambulancière. Parfois je vous "livre" des patients, vous me demandez "qu'est ce qu'on a ?"

Elle répondait. Le tout dans l'urgence, la rapidité et l'efficacité. Comme le métier l'exigeait. Elle n'exagérait même pas en se présentant comme "l'ambulancière" puisqu'en effet, dans l'immense commune de Stroybrooke ils étaient une à faire ce métier.

- Vous m'en voyez navrée mais je ne crois pas connaître votre nom...

Qui pourtant devait être badgé sur la blouse de médecin du jeune-homme. Il lui demanda si elle passait une bonne soirée. Vaste question.

- Eh bien le buffet est sympathique, la musique pas trop mal...Je n'ai pas à me plaindre je crois.

Elle aurait du s'arrêter là. Vraiment. Seulement elle commençait à en avoir assez de devenir fade et triste à cause d'une vulgaire séparation. Ca arrivait à tout le mode non ? C'était la chose la plus banale du monde. Pourquoi fallait-il qu'elle se sente si mal et que ça lui gâche la vie à ce point là ? Ah si Morphée/Peter n'avait jamais existé! Seulement voilà, elle ne pouvait -sachant pertinamment que ça ne serait pas le cas- s'empêchait de penser qu'il allait peut-être surgir ici et la supplier d'oublier. Comme si leur séparation n'était qu'un mauvais rêve. En fait elle attendait quelque chose qui n'arriverait pas. Une phrase perdue, une simple phrase, venu de quelqu'un qu'elle ne connaissait et ne voyait même pas au milieu des autres l'acheva.

"Je vais essayer de récupérer ma meuf. Enfin non ! Je veux dire l’autre quoi !"

Agacée elle posa son verre sur la table

- Pourquoi faut-il toujours que ça se passe comme ça ? Pourquoi les hommes n'assument-ils jamais rien ? C'est vrai quoi! On dirait que vous vivez dans une insouciance totale. Vous êtes d'un je m'en foutisme incroyable!

Le mage noire avait fait son effet, mais cela elle l'ignorait. Elle était juste désabusée et blessée.

résumé:

Admin **Kiernan J. Ravenswood**

Kiernan avait doucement commencé la soirée avec sa flache. Il s’était approché d’Alessya non loin du bar et qui pourtant ne portait aucun verre d’alcool à la main, mais plutôt un ventre énorme sous sa robe. Il lui posa plusieurs petites questions, d’abord par politesse, ne manquant pas de la taquiner un peu. La blonde se montra aussi joueuse que lui et n’hésita pas à lui faire comprendre qu’il était son « crétin » de la soirée. C’était mignon. Elle savait se montrer beaucoup plus imaginative d’habitude. La pauvre devait être dépassée par sa grossesse. Si c’en était bien une. Il y avait une chance sur quatre pour que ce soit un autre soucis médical. Ou alors elle devait vraiment calmer la bière qui avait tendance à gonfler le ventre. Arriver à ce point de gonflement était-il possible, se fit-il la réflexion.

Egrainant les informations l’air de rien, car dans le fond il s’en moquait, Marvin était venu le saluer. Il avait quitté un instant son attention de sa bête noire (lorsqu’elle se trouvait dans le Psychic) pour saluer son ami d’un sourire sincère. Il lui attrapa fermement l’épaule, complice.
« Je suis venu pour les femmes voyons. Et que si je me fais chier c’est pas grave, j’habite à côté. Je perdrais pas de temps avec moi parce que d’un, fit-il un signe de tête vers Alessya, et de deux je crois qu’il y a quelqu’un qui te cherche. Elle est idiote et rousse, tu sais... » le charia t-il alors que son ami s’éloignait après une petite tape dans son dos fin. Kiernan se demandait toujours comment il avait survécu au service militaire en voyant son physique si frêle d'apparence.

Il se commenda alors un verre de bourbon et jaugeait la demoiselle qui avait l’air de lire dans ses pensées. Un certain soulagement l’envahit lorsqu’elle lui annonça qu’il n’était pas de lui. C’était tout ce qui l’importait.
« Je me disais… Je suis fertile mais pas à ce point. Et arrête de te plaindre parce que tu dors mal. Tu ne récolte que ce que tu sème ma belle à baiser complètement trempée dans l’alcool. Chacun sa merde, lui levait-il son verre. Moi maintenant je panique en voyant une brosse à dent… »
Il n’eut pas le temps de continuer la délicieuse discussion maintenant qu’il savait qu’il n’avait plus aucune responsabilité envers elle et qu’il n’allait sûrement plus la voir avant un moment au bar que deux personnes arrivèrent vers eux.

Kiernan se tourna vers Grace avec ce genre d’expression qui voulait dire « qu'est-ce que tu veux ? Laisse moi et en plus c’est même pas mon enfant qu’elle porte » mais il s’autorisa simplement à hausser les épaules. Puis il regarda le bouclé : « Ouais chacun le sien... » fit-il allusion au « cas désespéré » et il l’entrainaun peu plus loin.
« Bah alors tu te fais chier Nana ? » lui souffla l’ancien militaire en buvant une gorgée de son verre tandis que de ses yeux il jaugeait Régina au loin avec mépris.

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Résumé:

Admin **Vael Moreau**

Avant même de suivre Grace, il n’avait pas bougé si ce n’est ses mains levé au ciel et grogna comme un appel : « Mais on n’est pas ensemble… ». Le verre se vida cul-sec juste derrière. La blonde (la plus vieille) avait mis fin à la discussion entre le vigile et ce qui portait ses gênes comme une couveuse archaïque prête à exploser. Puis comme si cette dernière n’attendait que ça, elle n’avait rien trouvé de mieux que de se placer près de l’alcool.

Il aurait aimé avoir un autre verre quand Grace parla à Kiernan. « Les amoureux », le terme restait encore coincé en travers de sa gorge. Il se pencha finalement pour prendre un verre. Il aurait aimé et il a eu. La magie de Storybrooke ! pensait-il alors qu’on lui tendait une pinte de bière. Son regard darda Alessya avec noirceur. Il but une petite gorgée. Puis une autre. Et encore une. Ainsi jusqu’à cinq, sans parler ni la quitter des yeux.
« Hmmm que c’est bon ! Si tu savais ! prit-il une nouvelle goulée. Les petites bulles et la mousse onctueuse qui coule le long de ma gorge. OH ! » il lui renversa subitement tout son verre sur son ventre. « Désolé, c’est pas moi on m’a poussé » levait-il les bras en l’air pour prouver son innocence. Sauf que personne ne se trouvaient ou n’étaient passé à côté d’eux.
« C’est bon, le bébé a bu tu peux rentrer… »

Sentant l’aigre colère lui monter du plus profond de ses entrailles, jamais il n’aurait soupçonné à cet instant que c’était à cause de la magie qu’il avait ce saut soudain d’humeur. Pour lui c’était lui. Ou les cachets qu’il prenait rarement. Hilda ouvrit la bouche derrière lui. Il la connaissait bien, même si elle peut-être pas. Il la trouvait fascinante et agaçante quand il la croisait à l’hôpital, caché dans un recoin du parking pour finir son joint. Il s’arrêta de s’acharner sur Alessya et leva les sourcils.
« Elle est sérieuse elle ? Ouesh. » il se retourna face à elle. « Je t’ai demandé quelque chose’toi, dit-il la voix sèche. On n’est pas ensemble merde !!! Va courir après un beignet, ponctua t-il sa phrase de quelques mots en français. « Pauvre conne va » marmonna t-il dans sa barbe dans sa langue natale. Son regard était indolent et son sourire encore plus insolant. Il n’y avait pas besoin du Mage Noir pour qu’il réagisse de la sorte. Là, il aurait aimé ne pas s’emporté de la sorte alors que sa mère était présente à la soirée. Pour vu qu’elle ne remarque rien. Il reporta alors son attention à Alessya.

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Résoumey !:

Invité **Invité**

Décidément mon petit jeu d'acteur ne semblait pas réellement faire son effet sur la blonde. En même temps ... il faut avouer que c'était assez difficile à avaler vu mon comportement ! J'aurais pu avoir les phrases les plus mielleuses au monde, le jeu le plus convaincant de la création, généralement quand on se fait bousculer par un goujat qui vous insulte, même sous la forme d'un jeu, on a pas vraiment l'envie de le croire ou de le pardonner. Enfin je me fichais bien de ce qu'elle pouvait penser, ou bien du fait qu'elle replaça ma main sans doute bien trop familière pour elle, à partir du moment où elle me suivait elle pouvait se plaindre tant qu'elle voulait ! Et puis sérieux, un groupe de cinq personne ... j'étais arrivé bien avant l'autre nunuche là ! Il n'y avait que elle, Régina, son nouveau jouet de coucherie et le marmot, l'autre m'avait royalement ignorée, quelle gueuse soit dit en passant ... je lui refroidirais un peu les idées un jour. Enfin, je ne prenais pas vraiment la peine de répondre à cela, ce n'était pas vraiment nécessaire.

Cela dit elle joua un minimum le jeu malgré cela, répondant à mes questions, en somme, inutiles, juste pour démarrer cette conversation que je voulais inquiétante pour madame le Maire. Allais-je lui révéler quoi que ce soit ? A dire vrai je n'en avais pas la moindre idée. Oh la raison voudrait que non, que cela serait bien trop de soucis, même pour moi. Mais voyez vous, cette jolie raison, j'aimais bien l'envoyer se faire foutre, agissant d'abord et voyant ensuite les conséquences de mes actes dont je tentais d'échapper par des pirouette. Alors ... si elle se montrait réellement intéressante, oui, je pourrais bien lui lâcher une ou deux infos croustillantes. Pourquoi pas même lui faire une démonstration ? J'étais trèèèèèèès très bon en sculpture sur glace ! Enfin bref, elle me répondit donc, m'insultant clairement avec son sous entendu sur le nombre de cons, avant d'ajouter un joli commentaire sur ma tenue, ceux à quoi je répondis avec beaucoup d'entrain :

"Je sais oui ! N'est-ce pas merveilleux ? Aucun doute qu'avec ça je vais heurter la sensibilité d'au moins une ou deux personnes. Et encore ... à la base je devais venir en porte jarretelle, mais impossible de convaincre ma camarade de me prêter le sien." Je poussais un soupir, avant de la regarder, un grand sourire en coin une fois que je l'avais lâché "Bon, je pense que le con n'a plus besoin de jouer la comédie alors parlons franchement. J'imagine que t'es pas là pour étudier la bêtise de nos habitants cocotte, je me trompe ? Et que ces belles petites phrases avec notre reine des Drag Queen ne sont pas juste car tu es fan de son style incontesté. Donc dis moi ce que tu sais et ce que tu veux savoir et peut être aurais-je quelques réponses pour toi ma jolie demoiselle, surtout si ça peut énerver cette très chère Régina. C'est une offre en or, ne rate pas ta chance." Mon sourire était devenu carnassier et, comme pour provoquer encore plus l'ancienne reine, je lançais un regard vers elle, l'air de dire que j'allais la pourrir.

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