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 « Je ne te demande rien, c’est lui qui le fera » (alice&vael)

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Vael Moreau
Vael Moreau


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MessageSujet: « Je ne te demande rien, c’est lui qui le fera » (alice&vael)   « Je ne te demande rien, c’est lui qui le fera »  (alice&vael) EmptyDim 20 Nov - 15:59

A ta santé !
prénom alice, fred (pnj) & vael



Alice dormait tranquillement dans son lit. Vael a côté, regardait le plafond, les deux mains derrière la tête pensif. Il n’arrivait pas à dormir. Il angoissait. Il devait s’absenter toute la journée et peut-être même une nuit si ça s’annonçait mal. Knacki-ball était très malade, enfin quelque chose clochait et le vétérinaire le plus proche qui pouvait l’aider, se trouvait à trois heures de voitures. En fait, ce qu’il n’avait pas prévu, c’était de laisser sa mère, Alice et Appollo, et Fred ensemble. Ce n’était pas la meilleure équation. Il avait surtout peur pour sa mère. Il finit par quitter le lit. Apollon dormait tranquillement et d’un sommeil profond dans son petit lit à barreau. Il vint déposer une mains sur son ventre, puis se frotta le visage avant de quitter la chambre. Il longea les couloirs d’un pas peu assuré et fatigué, puis poussa la porte de la chambre voisine. Celle où dormait Fred. Il se glissa dans son lit. Son ami ne dormait pas, les yeux encore et toujours concentré sur des notes de ses confrères ou tout autre papier aussi barbant. Fred posa les feuilles entre ses mains, parce que Vael venait de se frayer un chemin sous son bras et collait sa tête sur son torse. Le jeune psychiatre lui caressa ses petites boucles et il l’entendait presque ronronner. « Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda t-il au français. Ce dernier lui confia alors ses craintes. Fred souriait, attendri mais aussi inquiet. « Je veillerai sur ta mère je te l’ai dis et je serais avec Alice. Promis. » et Vael lui demanda de le répéter. Il le fit. Encore une fois et Fred le ferait jusqu’à ce qu’il lui demande. Il n’y eut pas besoin de plus. Le plus jeune avait finit par s’endormir dans le creux de ses bras.

Le lendemain, Vael était partit aux aurores. Juste le temps d’être réveillé par les plaintes de son fils, lui donner un biberon et le reposer dans son lit, car il se rendormait après son rototo. En début d’après-midi, alors que tout le monde dormait ou presque encore dans la maison des Moreau, Apollon-Jules se mit à hurler. Il braillait à en faire trembler les murs. Fred était dans le salon, la tête dans un livre. Il s’était levé de bonne heure, comme souvent, puis histoire de s’assurer que Vael partait l’esprit tranquille. Alice était descendue, le marmot dans les bras et fonçait droit dans la cuisine. Vingt minutes plus tard, l’enfant ne se calmait pas et on entendait presque que les éructions de sa gorge en feu à forcer de crier. Frederic perdit patience et arriva dans la cuisine. Il arracha l’enfant des bras d’Alice et commença à l’enlacer avec contenance, le visage contre lui, son immense main sur son crâne. Il ne se calmait pas. Il n’avait pas faim, ni sommeil, sa couche était sèche. Il le tint le ventre sur ses bras et les membres pendant. Il le berçait lentement et enfin les cris s’était arrêté. Des coliques. Il ne lui rendit pas son fils et alla le poser dans le petit transat pour enfant qui trônait sur la petite mais épaisse table en bois de la cuisine. Ce serait non assistance à personne en danger que de le remettre dans les bras de la blonde. « Je vois que tu sers toujours pas à grande chose… Ca va durer encore combien de temps ? ». Il se pencha sur la petite tête blonde et bouclé qui commençait à gémir à nouveau. Il appuya sur le bord du transat ce qui le fit trembler et berçait l’enfant. Une autre main sur le côté de son visage et l’enfant s’apaisait de sentir simplement la chaleur de ce contact. Il s’y connaissait pas mal en psychologie pédiatrique, et pour la pratique, c’était grâce à un stage en foyer fille-mère ou encore en s’occupant de son neveu car sa belle soeur était en centre de désintoxication et son frère avait vraiment autre à faire que de s’en occuper. « C’était pas juste histoire de te donner un coup de main. Il serait temps que tu prennes ton envol et que tu sortes de sa vie. ». Vael avait menti à Fred, en échangeant les rôles. C’est à dire que c’est Alice qui avait besoin d’aide et d’un peu de temps pour s’en sortir et elle les laisserait tranquille avec son bébé.

Il s’éloigna de l’enfant et s’approcha de la cafetière pour se servir un café et un autre pour Alice qu’il lui tendit. Il reprit la parole : « T’en a pas marre d’être un poids ici ? Il a déjà assez de ses animaux dans cette baraque. » ne pouvait-il s’empêcher de lui reprocher, comme chaque fois qu’il était seul avec elle. S’il ne parlait pas, il la fixait avec une haine froide. Quand Vael était dans les parages, il faisait comme si elle n’existait pas. Pourquoi il ne l’aimait pas à ce point ? Elle n’était qu’un élément perturbateur qui déviait Vael de son chemin. Celui qu’il devait emprunter à ses côtés.

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Alice R. O'Liddell
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MessageSujet: Re: « Je ne te demande rien, c’est lui qui le fera » (alice&vael)   « Je ne te demande rien, c’est lui qui le fera »  (alice&vael) EmptyMar 13 Déc - 22:14

Alors qu’elle était bien motivée pour les quelques jours qu’elle passerait pas tout à fait seule avec Apollo-Jules. Alors qu’elle avait pris soin de prévenir tout son entourage pour qu’on ne lui organise pas une beuverie surprise. Pas que ça lui était déjà arrivé, d’avoir une beuverie surprise, mais elle préférait prévoir le coup. Elle avait même envoyé un message à Charlie pour lui dire que si elle voulait la voir, il n’y aura pas d’alcool dans l’histoire. Juste du babysitting. Finalement, la blondinette ne voulait pas de la mort d’un gamin sur les bras. Il était chiant depuis qu’il faisait ses dents, mais elle l’aimait bien quand même. C’était comme une deuxième Naine Folle à la maison. Et elle n’avait pas encore fait crever la chèvre de Vael. C’était plutôt encourageant pour l’enfant. Alice en avait même presque oublié que le pote un peu trop collant du touriste serait là aussi. C’était dingue ce qu’on s’acharnait à ne jamais la laisser seule avec Marcel ! On aurait que c’était elle que l’on gardait.

Elle profita quand même d’un peu de calme pour prolonger sa nuit. Elle n’était pas sortie hier soir, ni tous les autres soirs de la semaine - il lui manquait le courage et la forme pour ça - mais elle avait des heures de sommeil à rattraper. Après le petit-déjeuner, elle était repartie s’enfoncer sous l’épaisse couette, bercée par la télévision en bruit de fond. Vael était déjà parti, et Fred trop calme pour qu’elle lui accorde son attention. Elle eut d’abord du mal à identifier le son anormal qui agressait ses pauvres oreilles, et puis l’habitude lui rappela qu’elle se réveillait trop souvent à cause de son enfant. Elle n’eut pas la motivation, mais ses pieds la portèrent énergiquement jusqu’au monstre. Par réflexe, elle l’embarqua jusqu’à la cuisine, préparant déjà dans sa tête le biberon. Mais même une fois celui-ci dans sa petite bouche, il le repoussait et continuer la torture auditive de sa mère. S’il-te-plaît, la ferme. Elle avait même finit par arrêter d’être méchante verbalement avec Marcel. Et même intérieurement, elle avait presque banni les gros mots de son vocabulaire. Des fois ça marchait. Mais ça restait une science incertaine.
Comme sortit de nulle part, Fred tenta sa chance. En presque deux temps trois mouvements, Marcel stoppa les cris, il était devenu une poupée dans les bras du psychopathe. Ou psychologue, c’est la même chose. Alice se souvenait de ce que ça faisait, le silence. Elle en profita quelques secondes… jusqu’à ce que ce soit au tour de l’ami de Vael de le briser. Et de lui briser les couilles à elle. Ho ! Elle récupéra l’enfant qui avait été sagement posé dans le transat, une fois que Fred en eut retiré sa grosse paluche. C’était le sien, elle en faisait ce qu’elle voulait. Et s’il se remettait à pleurer, elle le pincerait pour qu’il crie encore plus fort. Et elle n’avait pas envie d’attendre qu’il pleure à partir du moment où le psychopatate de Vael se mit à ouvrir la bouche pour s’adresser à l’adorable Alice qui vivait ici.

Alice ouvrit aussi sa bouche, mais aucun mot n’en sortit d’abord. Puis plutôt que de l’écouter débiter de nouvelles conneries, elle préféra sortir tout ce qu’elle ne disait pas en présence du frisé à propos de son copain. C’était le moment ou jamais de s’exprimer chez les Déchets Anonymes. Tout ce qu’il lui avait dit, elle pouvait très bien le lui renvoyer. C’était en tous cas ce qu’elle pensait. Du coup elle le lui renvoya, mais intérieurement. À voix haute, elle prit sa voix la plus insupportable et récita : « Je suis dans mon jacuzzi, t’es dans ta jalousiiiiie. » Puis elle se fit une remarque un peu triste, qu’elle préférait garder pour elle. En fait, peut-être qu’il me considère comme un de ses animaux handicapés, et que c’est pour ça qu’il ne m’a pas encore jetée dehors. Et comme si elle avait fait la comparaison avec les animaux à voix haute, Fred en parla. Elle remarquait qu’il avait au moins eu la gentillesse de lui proposer un café. Mais un regard mauvais et une bonne grimace lui faisait comprendre qu’il pouvait tendre le bras longtemps. Elle ne boirait rien qui soit passé par la main de Fred. « Des animaux il n’en a jamais assez. Et il m’a jamais dit que ça posait problème que je sois là. » Ah, s’il savait ! Il pouvait bien avoir son diplôme en psychorigidité, il n’avait toujours pas l’air de comprendre que c’était à cause de Vael et uniquement de Vael si, de base, Marcel était resté ici avec dans le pack l’aide de la mère pour quelques temps. Elle crevait d’envie de le lui balancer. Mais il y avait trop de choses qu’elle n’avait pas le droit de balancer si elle espérait apprendre à son gamin d’ici quelques mois comment on fait pour descendre une bouteille de vodka en moins d’un quart d’heure. « Mais OK, je partirais quand Vael me demandera de le faire. Ce qui n’a jamais été le cas. » C’était peut-être un peu faux. Peut-être qu’il s’était un peu emporté la fois où Alice avait perdu le bébé dans la maison - et perdu les clés de celle-ci par la même occasion - mais comme elle ne s’en rappelait pas bien, ça ne comptait pas.
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« Je ne te demande rien, c’est lui qui le fera » (alice&vael)
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