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  « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie.

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Louise Lemire
Louise Lemire


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MessageSujet: Re: « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie.    « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie. - Page 2 EmptyDim 5 Juin - 23:08

« Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! »

tomorrow is another day and you won’t have to hide away. you’ll be a man, boy. but for now it’s time to run.

Comprimé la blessure de Regina me faisait un mal de chien. Néanmoins, je ne supportais pas de voir qui que ce soit souffrir. Et après, on me demandait vraiment pourquoi j'étais devenu végétarienne à tendance vegan. Je ne pouvais tout simplement pas supporter l'idée que cet animal mort dans mon assiette ait pu souffrir pour me nourrir. Cette idée m'en donnait des frissons, même encore aujourd'hui dans cette voiture. Difficile à croire au vu de tout mes autres traits de caractère, un peu manipulatrice et égoïste, prête à tout pour arriver à ses fins. Je n'aimais pas la souffrance, voilà, c'était tout. Il n'y avait rien de plus à comprendre.

Même s'il s'agissait de Regina, je ne pouvais pas me résoudre à la laisser se débrouiller seule alors qu'elle était autant dans un sale état que moi. L'hôpital n'était pas loin, mais à cette vitesse et avec nos blessures, on mettra des plombes à y arriver. Ou peut-être que ce sera respectivement vider de notre sang avant même d'y arriver. Je ne me donnais même pas la peine de répondre à ses remarques meurtrières, elle m'aurait sans doute achevée directement sur place si j'avais eu l'affront de le faire. Même si je n'en pensais pas moins. Elle devrait tout de même accélérer, car même si elle s'en fichait de ses sièges en cuir, nos réserves de sang n'étaient pas illimités et on viendrait rapidement à bout si elle n'accélérait pas rapidement. D'ailleurs, j'étais en train de me demander pourquoi elle ne nous avait pas directement transporté jusqu'à l'hôpital. Avec ses super-pouvoirs, elle pouvait bien aller jusque là-bas, non ?

Boire la fiole de Regina me libéra pendant quelques instants. Plus de douleurs, plus d'images de loup me bavant dessus qui tournait en boucle dans ma tête. J'étais apaisée. Malheureusement, cette apaisement ne dura qu'un temps. A mon réveil, même si j'avais l'impression qu'il me manquait un énorme bout de ma journée, je vis le carnage de la voiture. Comment est-ce que j'étais arrivée dans la voiture de ma patronne, alors que je ne me souvenais que l'avoir prévenu d'un étrange coup de fil ?

Un chien ? Ah oui ! Je me souvenais que l'homme au téléphone avait parlé d'une bête qui se baladait dans la forêt. Je pensais plutôt qu'il s'agissait d'un simple chien qui s'était échappé du refuge pour animaux. Prions, vu l'état de nos blessures, pour qu'il n'ait pas la rage, sinon on était bonne pour la mise en quarantaine.

Je restais silencieuse tout le reste du trajet jusqu'à l'hôpital. Je concentrais tous mes efforts afin de ne me pas retomber dans les vapes. Ce n'était absolument pas le moment. Ma blessure me faisait un mal de chien, mais je ne pouvais pas me plaindre, je voyais madame le Maire serrait les dents à chaque fois qu'elle devait tourner le volant. J'étais étrangement calme, toujours apaisée. Même Regina devait trouver ça bizarre. J'essayais tant bien que mal de remettre des éléments de cette journée dans mon esprit, mais tout était flou. C'était une angoisse.

Pour une fois, je ne bronchais pas lorsqu'elle me dit de rester dans la voiture. C'était bien la première, et sans doute dernière, fois que je me montrais aussi coopérative à obéir à des ordres. Deux personnes vinrent rapidement à la voiture. Ils examinèrent à la vitesse de l'éclair ma blessure et m'emmenèrent sur un brancard. Puis un nouveau trou noir.

Je me réveillais bien plus tard dans un chambre d'hôpital. J'avais mal à la tête, comme si j'avais beaucoup trop bu, et la gorge sèche. Une infirmière était en train d'examiner ma perfusion et sans doute des résultats.

« Est-ce que je pourrais avoir un verre d'eau ? »

Je me redressais doucement puis pris le verre qu'elle me tendait. J'avais un bandage sur tout l'avant-bras. Ça allait être pratique cette histoire. Elle m'expliqua rapidement que si j'avais trop mal je pouvais appuyer sur un bouton qui m'enverrait sur ce que je supposais être de la morphine. Elle me posa ensuite une petite série de questions, histoire de s'assurer que tout allait bien. Je n'avais déjà qu'une envie : me barrer de cet endroit. Ce qui m'étonnait, c'était que je n'avais pas encore vu Regina. Comment allait son épaule ? Elle devait aussi être bien amochée.

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Regina Mills
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MessageSujet: Re: « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie.    « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie. - Page 2 EmptyMer 8 Juin - 2:20




"Qui voit un loup... bah le sent passer quoi !"
 

Pendant que Louise était auscultée et soignée, apparemment une intervention avait été nécessaire, à la méthode « normale » pour ne pas éveiller les soupçons, Regina donnait la version officielle à répéter à Louise. Bien sûr, la maire de Storybrooke et sa secrétaire avaient reçu des soins « magiques » spéciaux pour éviter une éventuelle contamination de loup-garou. L’épaule de l’ancienne reine de la Forêt Enchantée était totalement soignée, elle avait néanmoins un bandage pour éviter d’éveiller les soupçons de l’étudiante. Alors qu’elle attendait de ses nouvelles, une infirmière vint lui dire qu’elle était tirée d’affaire et réveillée. Sans attendre, Regina alla la voir dans sa chambre, le bras en écharpe. Elle se planta derrière le pied du lit et la regarda.

-Comment vous sentez-vous ? demanda-t-elle en regardant le bandage qu’elle avait sur tout l’avant-bras. Cette blessure n’a pas l’air anodine. Que vous a-t-on dit, vous en avez pour longtemps ?

En réalité, si la petite française devait rester hospitalisée, cela arrangerait bien les affaires de madame le maire qui au moins n’aurait pas à la surveiller durant ce temps-là. Elle le savait, c’était une vraie fouineuse et faire en sorte qu’elle ne découvre rien prenait à Regina un temps monstrueux, ce qui l’empêchait de se consacrer aux autres choses qu’elle avait à faire. Le plus inquiétant était tout de même que l’apprentie journaliste semblait être consciente que l’ancienne sorcière voulait l’avoir à l’œil.

-J’espère que vous vous rétablirez vite, mentit-elle. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas.

Elle fit quelques pas vers elle, contournant le lit.

-Vous savez, je me sens coupable de ce qui est arrivé. Vraiment, n’hésitez pas. Et si vous éprouvez le besoin de rentrer chez vous voir votre famille quelques temps, je le comprendrais.

L’encourageait-elle à quitter Storybrooke ? Oui, très implicitement, mais malgré tout, il aurait été normal qu’une toute jeune fille, après un tel événement et une telle blessure, ait eu envie de retrouver le cocon familial. Ça avait tendance à refroidir de se retrouver avec le bras mâchouillé. Regina était rassurée que la demoiselle ait consenti à boire la potion, au moins, jamais elle ne se souviendrait d’avoir vu un loup-garou ou encore d’avoir vu sa patronne pratiquer la magie. Elle ne se souviendrait même pas, en toute logique, du début de la journée. Et cela pouvait facilement passer pour le coup à la tête qu’elle avait soi-disant eu en tombant. Elle devait être bien sonnée, entre la potion et la douleur qui l’avait fait tourner de l’œil. En y pensant, madame le maire avait une pointe de pitié pour la licorne aux cheveux arc-en-ciel. Elle avait dû souffrir le martyre, au moins autant qu’elle avec son épaule. Elle était bien contente d’ailleurs de ne plus rien avoir.

-En tout cas, sachez que la situation a été maîtrisée. Immédiatement après que nous soyons parties, le chien a été attrapé et ramené au refuge. J’ai appelé tout à l’heure pour m’en assurer.

Se rapprochant encore lentement, Regina regarda sa secrétaire dans les yeux d’un air reconnaissant.

-Je vous remercie, mademoiselle Lemire, vous avez été très courageuse. Si vous n’aviez pas été là pour m’aider, la situation aurait pu être pire.

Oui, la faire passer pour une héroïne qui avait sauvé sa boss de l’attaque d’un chien échappé et énervé pouvait peut-être faire passer la pilule plus facilement.

-Le fait que vous ayez crié vous a sans doute causé ces blessures en attirant l’attention du chien sur vous, mais ça m’a probablement sauvé la vie. Je vous suis redevable. Que voulez-vous, une prime ?

Avec un peu de chance elle l’utiliserait pour prendre une billet d’avion pour la France…





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MessageSujet: Re: « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie.    « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie. - Page 2 EmptyVen 17 Juin - 13:46

« Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! »

tomorrow is another day and you won’t have to hide away. you’ll be a man, boy. but for now it’s time to run.

J'étais crevée et à peine l'infirmière m'avait-elle donnée un verre d'eau que Regina déboula en bomba dans la chambre. La vache plus rapide qu'un nimbus 2000. Comment je me sentais ? Assez étrangement je n'avais pas mal au bras, mais mon cerveau avait fait place nette à une boîte de  nuit et un chantier. Une angoisse. Ce qu'on m'en avait dit ? Que dalle, puisque Regina avait débarqué en bombe avant que je puisse alignée deux idées correctes.

« Rien pour l'instant. Mais ne vous inquiétez pas, je vais sortir vite si c'est ce qui vous tracasse. »

Je me doutais bien que cette nouvelle allait la chagriner mais j'étais hyperactive. Je ne pouvais pas rester plus de deux jours au même endroit sans bouger sans que ça ne devienne une torture, autant mentale que physique. A l'heure actuelle, j'avais juste besoin de repos et que ces satanées de Fifth Harmony se barrent de ma tête avec tous leurs hommes et leurs marteaux piqueurs. Je devais lui paraître calme pour une fois. Le problème était que mon cerveau ne réagissait pas aussi vite que ce que Regina débitait comme paroles. Est-ce qu'elle allait s'arrêter à un moment ? Juste histoire que je puisse en placer une à temps. Je la regardais en train de se rapprocher, buvant de temps à autre une gorgée de mon verre d'eau.

Ma famille ? Bordel ! Heureusement que mes parents n'étaient pas là ! Ils seraient morts d'inquiétude. Les connaissant ils se feraient un sang d'encre en imaginant tous les scénarios catastrophes possibles et inimaginables. Heureusement, ils n'étaient pas au courant. Je n'étais pas encore totalement sûre de savoir si je devais les avertir de cet incident ou non. En attendant, ils étaient sans doute en train commencer doucement leur journée en s'occupant comme d'habitude : papa au jardinage et maman le nez dans un bouquin. Ils ne se doutaient pas de se qui venaient de se passer et c'était tant mieux. Je les appellerais peut-être plus tard, lorsque mon cerveau serait plus apte à trouver des arguments et les bons mots pour expliquer ce qui venait de se passer.

« Ca va, je pense qu'ils sont mieux en étant pas au courant pour le moment. Et puis finalement, je ne me sens pas si mal dans cette ville, malgré le chien, je l'aime bien. »

D'accord, c'était un très léger mensonge, mais elle n'avait rien besoin d'en savoir. Et de toute façon, les billets d'avion pour la France étaient chers. Même si, par miracle, j'arrivais à me payer l'aller, le retour serait bien plus difficile à financer. En plus, me connaissant, j'aurais du mal à quitter ma famille une nouvelle famille. Leurs yeux larmoyants auraient le don de m'attendrir et j'en aurais rapidement fini avec mes bonnes résolutions de rentrer à Storybrooke pour y finir ce que j'avais commencer.

« Le chien va bien au moins ? Il n'est pas trop apeuré ? Est-ce que je pourrais aller le voir ? »

Ca pouvait paraître étrange comme demande, mais je voulais m'assurer que ce chien aille bien. Après tout, ce n'était pas parce qu'il m'avait arrachée le bras que je devais lui en vouloir. Je pensais sincèrement qu'il avait agi par réflexe, par peur. Je ne me souvenais de rien, je ne pouvais donc pas affirmer qu'il avait agi délibérément. Satané coup sur la tête ! Enfin, de toute façon, je me connais, dans n'importe quel cas, j'aurais trouver un moyen de le défendre et de lui trouver des excuses.

Ah bah, on passe au coup de l’héroïne maintenant ? Plutôt drôle. Je ne me souvenais de rien et visiblement j'avais hurlé de peur, quel geste héroïque. Je souris légèrement, amusée, en fixant mon verre vide.

J'attendis trente secondes, puis une minute. Aucune réplique de plus ? Elle en avait enfin terminée ? Parfait ! Je posais le verre sur la table à côté de mon lit et m'enfouis sous les couvertures, fatiguée d'avoir dû me concentrer aussi longtemps.

« C'est bon ? Je n'ai besoin de rien. Vous ne m'êtes redevable de rien, madame Mills. Et si vous voulez vraiment me rendre service, j'aimerais dormir, du boulot m'attend à la mairie demain ! Ah ! Si ! Une chose que vous pouvez faire : si l'hôpital compte me ramener quelque chose à manger, dites-leur que je ne mange pas d'animaux. Ce n'est pas parce qu'un animal m'a mâchouillée le bras, que je dois me venger sur un autre. Bonne soirée, madame le Maire. »

Et le sommeil ne tarda pas à m'emporter, beaucoup trop fatiguée par une journée dont je ne me souvenais pas.

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Regina Mills
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MessageSujet: Re: « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie.    « Qui voit un loup... Bah le sent passer quoi ! » + Louise, Regina & Charlie. - Page 2 EmptySam 18 Juin - 18:58




"Qui voit un loup... bah le sent passer quoi !"
 

Réellement, même si elle avait beaucoup de mal à la supporter, Regina s’était inquiétée pour Louise. Après tout, le fait d’être une petite fouineuse ne lui faisait pas mériter de souffrir ou de finir par se transformer en loup-garou. A présent, ce souci était réglé puisque la jeune secrétaire avait été prise en charge par du personnel compétent. Aucun risque de transformation, de la morphine à haute dose pour soulager ses maux et une surveillance médicale. Alors que l’infirmière l’y autorisa, madame le maire entra dans la chambre de son employée qui buvait tranquillement un verre d’eau, se remettant peu à peu de son intervention. L’ancienne méchante reine fut des plus surprises lorsque Louise déclara qu’elle serait prête à reprendre le travail sous peu. Etaient-ils si doués que ça en chirurgie dans cet hôpital ? Cette gamine était réellement hyperactive.

-Allons, ne dites pas n’importe quoi, vous devez vous ménager. Je sais que vous êtes pleine de bonne volonté et je vous en suis très reconnaissante, mais je tiens à ce que vous guérissiez comme il se doit. Je vous veux en forme pour les préparatifs du bal.

Une bonne excuse pour qu’elle reste chez elle à récupérer, non ? Savoir qu’elle aurait de quoi s’occuper en rentrant, car Regina en avait parlé avec la licorne à la crinière arc-en-ciel, de ce projet, et la petite était enthousiaste en voyant la masse de travail à abattre, ce qui réjouissait madame le maire qui tenait là un moyen infaillible pour l’occuper un maximum.

Visiblement, le fait de se faire attaquer par un chien n’enlevait pas à miss Lemire son attrait pour la petite ville de Storybrooke. Dommage.  Regina continuait à sourire, masquant le fait que cette réponse ne lui convenait pas, d’autant qu’elle était certaine que ce qui lui plaisait, c’était d’essayer de remuer les secrets pour les faire remonter à la surface dans le but d’avoir un scoop. Ces journalistes, tous les mêmes. A ce détail près que Louise demanda des nouvelles de son agresseur, à savoir le chien. Haussant les sourcils, madame le maire, étonnée, mis quelques secondes avant de répondre.

-Eh bien… Je dois dire que j’étais plutôt préoccupée par votre blessure et la mienne, mais comme je vous l’ai dit, il a été ramené au refuge. Il n’a aucune blessure, lui. Je ne sais pas si l’on a retrouvé son maitre.

Aller le voir, mais quelle idée ! Elle se garda d’émettre un commentaire, mais n’en pensait pas moins : cette fille était cinglée. Quel genre de personne pouvait avoir cette réaction ? Secouant légèrement la tête, la belle brune n’ajouta rien. Cependant, elle remarqua bien que sa présence n’était plus désirée, et Louise ne se priva pas pour le lui faire comprendre.

-Demain ??
ne put-elle s’empêcher de réagir avec un sourire ironique. Vous avez perdu la raison, ils ne vous laisseront jamais sortir si vite. Prenez soin de vous plutôt. Je n’aurais pas spécialement besoin de vous, je saurai m’arranger, ne vous inquiétez pas.

Regina hocha la tête lorsque sa secrétaire lui demanda de prévenir l’hôpital qu’elle était végétarienne.

-Très bien… Bonne soirée mademoiselle Lemire
.

Sans attendre, madame le maire tourna les talons et quitta la chambre. Passant par l’accueil, elle accéda à la requête de son employée et se débarrassa de l’écharpe médicale qui retenait son bras avant de rejoindre sa voiture en soupirant. Ca avait été moins une avant que cette petite fouineuse ne dévoile les secrets renfermés par les habitants de la ville. Il faudrait redoubler de vigilance à l’avenir. Avant de s’asseoir, elle fit disparaitre tout le sang qui stagnait sur ses sièges avant. Hors de question de tâcher d’avantage ses vêtements, et de laisser cet horreur dans sa voiture qui ressemblait à une scène de crime. L’intérieur fut propre en l’espace d’une seconde. La magie était vraiment utile parfois. L’ancienne reine s’installa au volant et rentra chez elle sans se faire prier, se promettant qu’une telle chose n’arriverait plus.






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