De grands espaces verts, une piste de gravats de quelques centaines de mètres pour un parcours dédié aux coureurs habitués. Des arbres pour les poètes maudits ou les fainéants qui apprécient de se poser quelques instants à l’ombre. Des tables en bois çà et là pour un pique-nique en plein air de temps en temps, un étang dans lequel on peut parfois apercevoir des poissons ou des grenouilles, et un petit parc pour enfants, avec toboggan, cabanes à escalade et balançoires en bois, souvent squattée par les grands enfants également. Attention toutefois où vous posez les pieds, car c’est aussi l’endroit idéal pour promener son chien.
Voici enfin l’hôpital de Storybrooke. D’un côté, on a une superbe vue sur le parc Alder, on peut de sa chambre blanche, observer à travers la fenêtre les activités auxquelles s’adonnent ceux qui y traînent. C’est ici aussi que le soleil tape le plus, et rien de mieux que quelques rayons de soleil pour égayer une chambre d’hôpital. De l’autre côté cependant, une abominable vue sur le cimetière de Storybrooke. C’est un genre de parc me direz-vous, mais pour des patients, on a déjà vu des décors un peu moins glauque derrière la fenêtre. De plus, les rayons du soleil ne passent pas beaucoup de ce côté-là, histoire de rendre un peu plus atroce l’ambiance. Bref, à part ça il paraît que le service est impeccable, l’inconvénient c’est sans doute les repas. Et puis ce médecin qui tire un peu trop sur la bouteille…
Derrière les quelques arbres qui le cachent, on pourrait prendre ce bout de terrain pour une extension du parc Alder se trouvant de l’autre côté de l’hôpital. En réalité, une fois que l’on s’approche un peu, on voit toutes ces rangées de pierres tombales. Des noms et des dates y sont gravées, des fleurs plus ou moins fanées donnent un peu de couleurs au décor. La Malédiction n’a pas épargné certaines personnes, et ça n’ira sans doute pas en s’arrangeant depuis qu’elle est levée. Il paraît aussi qu’ici trône la pierre du chasseur de Blanche-Neige, mort par la main de la maire en personne…
Derrière de grands espaces verts et inhabités… d’autres espaces verts. Voici la forêt de Storybrooke. Quelques babioles s’y cachent, comme la maison du chapelier fou, à qui le surnom va bien. Décor idéal pour une partie de cache-cache, pour partir dormir à la belle étoile pour ceux qui n’ont pas peur du grand méchant loup, pour faire une petite promenade de santé, échapper à la ville ou peu importe quoi d’autre. Quelques pas et vous tomberez sur un pont bien étrange, ou un peu plus loin sur le puits à souhait, dans le quartier Tchaïkovski.
À l’écart de tous les logements que peut vous offrir la ville, on trouve dans ce quartier les squats. Pour ceux qui n’ont pas envie de payer de loyer, pour ceux qui ne sont pas gênés de dormir sur un tapis de sol, pour ceux qui ne se soucient pas de vivre dans un confort absolu. De vieilles baraques désaffectées, de petites cabanes, il suffit de quatre murs et d’un toit pour avoir un logement gratuit. Comme dit, le confort n’est pas la première particularité de ces squats, mais non seulement ils permettent de faire des économies, mais la discrétion de leurs habitants par rapport aux forces de l’ordre fait que l’endroit reste plutôt calme.
C'est un café tranquille où on peut boire toute sorte de boissons chaudes, mais aussi fraiche selon la saison. Des pâtisseries son préparée tous les matins et changent tous les jours. L'été, des salades sont proposé à midi mais en hivers aucun moyen de déjeuner au café. Il est ouvert de 9h à 17h sans interruptions !