Rêver les yeux grands ouverts + Anna&Marvin. [HOT]

Ni l’un, ni l’autre n’auraient penser que ces retrouvailles qui se voulaient tendre devant un modeste petit pique-nique (des plus romantiques certes…) en arriverait là. Elle n’avait pas seulement était submergée par ses émotions et ses sentiments nouveaux qui s’étaient éveillés pour Marvin. Elle en voulait encore plus que de l’aimer sans honte, elle voulait le sentir simplement contre elle et s’enivrer de ses baisers et ses mains sur son corps. Après leur larme, et leur transport avoué timidement au début et débordant de désir par la fin, c’était des échanges beaucoup plus sensuel d’un amour vertueux. Sa poitrine lui était presque douloureuse tant son coeur battait et avait le souffle court.

Il était venu l’inviter à plus de lascivité en venant quémander des baisers plus profond de désir, d’une langue mutine. Anna se porta au jeu souriant amusée de plaisir. Ses mouvements de corps et sa position se firent instinctivement plus voluptueux, en quête de charnel alors qu’elle s’était dressée, tout deux assis tout près l’un de l’autre. Anna se divertissait avec émerveillement. Certes, elle avait passé beaucoup de temps avec Kristoff pour apprendre de ces moment luxurieux, mais elle n’avait connu que lui. Tout était si différent avec Marvin, sa façon de la regarder, de la toucher, de l’embrasser, son odeur, son caractère, son expérience … Son corps. Pour elle, ce n’était qu’un petit moment coquin, où ils venaient simplement fêter ce que leur coeur chantaient au diapason. Sauf qu’à trop jouer, elle avait emporté Marvin dans des désirs plus grand et il l’emporterai à son tour. Il avait commencé en déboutonnant sa robe, et déjà aux premier bouton, Anna s’était figé un instant et avait rougi. Elle se recroquevilla lorsqu’il avait fait glisser une partie de son habit, dévoilant ses formes. Le baiser que vint déposer Marvin contre son coeur lui fit oublier sa pudeur. Une effervescence d’hormone avait noyé son esprit et se déversaient dans tout son corps. Son excitation parlait à travers son corps et ses yeux plein d’appétit. Mais lorsqu’il s’écarta afin de pouvoir l’admirer, Anna ne put s’empêcher de se cacher la poitrine de ses bras diaphane, légèrement rosé. C’était gênée et qu’elle put voir dans les deux séduisantes ordres de glace qui brillaient dans ses yeux à quel point, il la trouvait belle. Aucun autre regard n’égalait celui là, où on se sentait merveilleuse dans les yeux de l’autre.

Elle se penchait alors sur lui, pour venir lui murmurer ses émotions et sa joie, son visage près du sien avant de sentir son souffle contre le sien et rejoindre ses lèvres qui lui manquaient déjà. Le jeune homme ne cessait de l’étonner et d’émoustiller ses envies. Elle s’en mordit la lèvre et laissa échappé un petit rire d’agréable surprise. Quelques mèches de cheveux lui tombait sur le visage, le reste de sa chevelure l’encadrant contre la couverture pourpre et faisait ressortir le vert de ses yeux. En seule réponse à la confession de la liberté qu’il connaissait avec elle, fut un soupir à peine audible contre son oreille, alors qu’elle sentit son corps contre le sien. Elle se laissait totalement entrainé par ses caresses, se tortillant sous lui, passant les mains dans ses cheveux, comme elle avait rêvé de le faire dès le premier jour où ils se sont rencontrés. Doucement, sa robe lui glissait le long du corps n’ayant que pour seule décence le corps de Marvin au-dessus d’elle. Puis tel un félin, il avait prolongé ses baisers plus bas que sa bouche, pour venir flatter sa poitrine. Anna se cambra, resserrant ses jambes futilement relevé autour de son amant. Un frugale gémissement se perdit dans leur cocon coupé du monde. Anna finit par se cacher le visage, rouge de timidité et de plaisir. Elle était embarrassé qui sait si quelqu’un les voyait ! Mais elle était incapable d’arrêter le délice des attention du brun. Puis elle se mordit précipitamment les doigts attrapait la couverture, et gigotait ses pieds ne pouvant plus retenir le besoin de savourer cet instant jusqu’à sa finalité. Il avait cette petite bestialité dans ses mordillements qui la rendait folle d’extase, découvrant de nouveaux plaisir.

Anna prit du temps à retrouver son calme. Sa poitrine à nu qui se contractait avec la fraicheur de l’extérieur, montait et descendait dans de grand mouvements rapides. Sa peau rosissait ici et là par la chaleur qu’il avait allumé en elle. Elle resta les yeux clos un instant, restant sur le souvenir de ses flatteries qui laissait des fourmillements partout où il l’avait embrassé. C’était presque dans un état second qu’elle ne ratait aucun détail du mouvement de ses bras alors qu’il retirait sa chemise, faisant ressortir les traits si fins et sexy de ses épaules, dévoilant des muscles parfaitement dessinait qu’il cachait bien sous ses vêtements. Anna resta la bouche ouverte un instant devant le torse de Marvin. Elle ne l’avait jamais imaginé aussi bien battit face à son allure svelte et élégante. Leur peau alors brulantes vinrent se rencontrer et tout le corps de la rousse fut traverser d’un bonheur sans nom. Un geste voulut l’arrêter dans son entreprise, mais elle préféa venir les plaquer sur sa bouche pour s’empêcher de trop attiré l’attention par des gémissement s qu’elle peinait à contenir. Alors que sa main aventureuse avait glissé entre ses jambes, elle ne pouvait plus du tout retenir l’envie qu’elle avait pour lui, pour consumer l’instant entièrement. Il ne fallait que rien ne les arrêtes, elle n’en survivrait pas. Un sourire s’étira sur le visage de la demoiselle avant qu’elle ne s’en mordre la lèvre. Le regard plongé dans le sien, respirant avec ardeur, elle le dévorait des yeux.

Marvin s’allongea à côté d’elle, alors qu’elle avait rit de nouveau gênée et se cachait le visage dans les mains. Elle n’y croyait pas. Il lui était déjà arrivé à quelques petits jeux dans le jardin du palais, les écuries ou la forêt, mais le risque était moindre  de se faire voir. Puis elle était surtout mariée, mais ce n’était qu’une voix imperceptible au fin fond de son esprit à cet instant. Elle se redressa alors, avec un petit sourire timide. Elle le regardait et se mordillait le doigts, penaude.
« Je ne suis pas sûre de le dépasser… lui murmura t-elle alors contre son oreille, venant glisser une jambe entre les siennes. Soyez indulgent… ». Alors ses lèvres se refermait sur le lobe de son oreille, puis sa langue se joint se joindre au jeu. Elle eut enfin tout le loisir de pouvoir à son tour découvrir l’objets de ses désirs, d’apprécier sa peau, son corps et la chaleur qu’ils dégageaient sous ses lèvres. C’est avec une certaine ferveur qu’on ne lui imaginait pas aux premiers abordds qu’elle embrassa son cou, le caressant avec passion simplement avec ses lèvres. Sa main venait épouser chaque parcelle de peau et les rebonds de son torse finement musclé. Elle avait filé sur sa hanche et le creux de ses reins qui lui servit d’appui pour s’allonger entièrement sur lui. Son corps se cambra dans le seul but de le sentir en plein effervescence contre son bas ventre. Elle accompagna enfin de ses mains, de tendre baiser sur ses clavicules et des plus suave sur ses pectoraux et son ventre. Elle s’attarda alors à l’endroit qui la faisait le plus fondre dans le corps d’un homme, le muscle de l’aine qui traçait un trait parfait. Elle venait le souligner du bout de sa langue ne pouvant alors plus attendre encore plus longtemps. D’une main encore un peu maladroite qu’elle réussit à le libérer de sa ceinture. Pour les boutons ça, elle savait faire. Peu confiante en elle, elle se redressa un peu hésitante, puis elle croisa alors son regard tandis que ses yeux étaient remonté le long de son corps. Elle eut un petit sourire mutin qu’elle n’assumait pas, et retira lentement le dernier habit qui ferait douter Marvin de son entier consentement. Son entière confiance.

Se léchant inconsciemment la lèvre alors qu’elle vint se mettre à califourchon sur Marvin, elle l’embrassa avec fougue, se mouvant avec sensualité contre lui. Il lui donnait des ailes et c’est avec une certaine assurance qu’elle entreprit l’ascension vers le plaisir charnel.  Marvin pouvait alors admirer assise sur lui, tendue de plaisir la femme qui sommeillait en Anna et n’attendait que de s’éveillé.

Elle ne pouvait répondre à ses « Je t’aime », la culpabilité de son adultère lui nouait la gorge comme si elle allait être puni si elle flanchait. Or elle le pensait si fort qu’à chaque fois qu’il lui disait ou lui susurrait à l’oreille, elle avait envie de pleurer d’émoi, faisant briller ses yeux comme des joyaux. La demoiselle était pris dans un étau et c’était à la foi bon et si douloureux. Elle n’arrivait pas à se laisser aller entièrement, mais les attentions de Marvin, son regard et ses sourires la faisait parfois sortir de son bastion de bonne conduite. Rapidement, le souvenir de Kristoff s’effaçait de l’esprit d’Anna alors qu’elle s’était retrouvée au-dessus de lui. Lorsqu’elle offrait les caresses qu’elle n’avait alors réservé qu’à un seul homme, son récolter de glace elle le faisait bien pour Marvin oubliant durant ces instants intenses en sensation celui qui lui avait passé la bague au doigt. Jamais elle n’aurait cru ressentir quelque chose d’aussi fort pour quelqu’un d’autre. Même plus fort ou était-ce simplement l’émerveillement de cette nouvelle rencontre. De ses sentiments si nouveaux. Pouvait-on aimer deux personnes ? N’aimait-elle plus Kristoff. Tant de question qu’elle écarta vite lorsque sa bouche venait gouter le corps svelte de l’ancien soldat, se montrant de plus en plus mutine. L’endroit ne l’aidait pas à se laisser entièrement en plus de sa grande culpabilité, mais elle n’était pas peu fière d’entendre les soupirs de son soupirant. Elle arrivait à lui partager le désir et le plaisir qui grandissait en elle comme un feu ardent et bientôt insupportable si on ne venait pas l’attiser plus encore.

C’en fut trop et elle se redressa au-dessus de lui, alors qu’elle aurait pu encore venir déposer de langoureux baiser sur le reste de son corps. Il se passait malheureusement trop de chose en elle pour qu’elle se montre patiente. Elle voulait découvrir Marvin toujours plus et surtout contre elle, en elle. Les caresses du jeune homme avait éveillé en elle un attrait non feind pour la suite. Hésitant à prendre encore plus les devants, elle prit le temps de le regarder. Un léger sourire relevait les commissures de ses lèvres. Elle se sentait merveilleuse dans son regard froid. Marvin avait tant de charme et elle avait l’air de le découvrir à chaque instant. La première fois qu’il l’avait rencontré, il n’y eut que ses yeux qui avait eu droit à l’admiration de la rouquine, même s’ils paraissaient voilés. Puis chaque jour à ses côtés, elle remarquait le plaisir de voir des sourires sur son visage, ses yeux se mirent à pétiller, puis son allure et son charisme ne faisaient que lui donner du renom, même dans sa maladresse relationnelle elle le trouvait craquant. Surtout dans ses maladresses. Là, il n’était que plus beau encore dès lors qu’ils avaient ouverts tout les deux les yeux. Elle vint enfin le libérer de sa ceinture et tout autre vêtements qui retient secrètement son excitation, incapable de retenir son regard pour admirer son corps. Pas un seul instant la rousse l’avait imaginé si bien fait sous ses costumes impeccables.

Anna ferma les yeux alors qu’elle sentait ses mains brûlantes aux doigts fins et longs remonter le long de son ventre et sa poitrine. Lorsqu’elles arrivèrent à son visage, elle souriait et attrapait l’une d’elles pour venir lui embrasser la paume de la main puis le bout de ses doigts. C’est naturellement qu’elle suivit le mouvement de Marvin pour glisser de nouveau sur la couverture. Elle s’en mordit les doigts alors que les caresses continuèrent sur jambes, surtout lorsqu’il passa ses mains sur ses chevilles. Un gémissement lui échappa, plus intense qu’elle ne l’avait prévu. Un rire vint aussi s’immiscer entre les deux amants alors qu’il retirait délicatement sa culotte. Elle s’était cachée le visage, écartant les doigts un instant avant de se cacher à nouveau lorsqu’elle remarquait qu’il la jaugeait. Ce ne fut pas un soupir qui arriva, mais presque un cri. Appuyée sur ses coudes, Marvin s’était aventuré avec audace pour embrasser jardin secret. Elle se laissa retomber en poussant une expiration pleine d’extase. Les deux mains plaquée sur sa bouche, elle se tortillait. Son corps se cambrait, ses ongles grattait la couverture, arrachant quelques touffes d’herbe dans ses ébats. Elle était comme possédée. Possédée par le plaisir que Marvin avait l’air de lui procurer avec une si grande facilité. Il avait l’air de la connaitre par coeur, de savoir ce qui la faisait frémir et comment réagirait son corps. Un torrent de volupté grondait en elle, et elle crut y succomber, mais il s’arrêta et se releva. Anna lui attrapa vivement le visage pour venir partager son baiser avec fougue et le souffle court. Ses mots étaient presque aussi doux que ses attentions. Elle ne pouvait se satisfaire d’un simple petit baiser au coin de sa bouche et vint lui en réclamer plus, jouant de sa langue sur ses lèvres et venant attraper sa bouche entre les siennes avec un tumulte débordant de lascivité.

Enfin tout son corps se contractent d’un plaisir tant attendu alors qu’ils ne firent plus qu’un. Elle s’était légèrement relevée, complètement contre lui et ses jambes s’étaient lovées autour de ses hanches. Elle serra l’emprise alors qu’il arrivait avec douceur dans sa profonde intimité. Tout partait de son bas ventre pour venir exploser dans tout son corps, se répandant jusqu’aux bout de ses pieds et de ses doigts. Elle étouffa un gémissement dans son cou, alors qu’elle avait le loisir d’apprécier le corps sculpté de Marvin sur elle. Les muscles de son dos apparaissaient discrètement et sensuels lorsqu’il faisait se rencontré leurs bassins. Elle se détendit alors, se rallongeant et vint lui caresser le dos, les doigts parfois crispés qui laissaient sous ses ongles des marques légèrement roses. Elle les laissa lentement couler sur ses fesses et s’extasiait lorsqu’elle sentait les faussetés de ses muscles apparaitre à chacun de ses coups de rein. Ce n’était que le début et la suite se poursuivit avec beaucoup plus de ferveur et de hargne. Si elle avait été dans une chambre, elle aurait sûrement poussé des petits cris de plaisir. Les lèvres serrées, elle se mordait la main, ou venait alors écraser son visage dans le cou parfumé de l’homme, les ongles plantés dans son dos, l’autre qui attrapait fermement ses cheveux. Lorsqu’il lui laissait le temps de ne pas se battre pour se faire discrète, elle lui partagea la jouissance de ce moment par des baisers suaves sur les épaules ou le cou, puis titillait le lobe de son oreille. Ce qu’elle souhaitait le plus était sa bouche qu’elle avait du mal à libérer lorsqu’elles se rencontraient l’une et l’autre.

Anna lui en voulait presque qu’il vienne lui bloquer les mains et la laisser faible face aux réjouissances que vivaient son corps à cause de lui. Au fond, cela ne fit qu’accentuer l’excitation qu’elle pensait pourtant à son apogée. Elle continuerait à se retenir et s’en mordrait la langue s’il le fallait ! Elle avait tellement peur qu’on les entende et qu’on les voit. Malheureusement la princesse ne tint pas longtemps face à l’animalité qui animait alors le désir de son partenaire. Sa vigueur parfois violente l’étonna quelque peu, lui rappelant vaguement sa part sombre qu’elle avait rencontré lors de leurs confrontations récentes. Elle n’eut pas le temps de s’en inquiéter plus que ça, le désir gonflait déjà en elle et explosait enfin comme une avalanche dévastatrice. Marvin lui avait fait atteindre l’extase juste avant qu’il ne la suive par les contractions puissantes de son corps en pleine jouissance. Son dernier gémissement fut long et emprunt de l’orgasme qu’elle venait de connaitre. Ce n’était pas un jeune homme qui venait de lui faire l’amour, mais un homme. La princesse ne répondait plus d’elle alors qu’elle sentit le corps du brun se relâcher contre elle. Les yeux clos, elle appréciait encore les plaisir résonnant de ses mouvements en elle et de ses mains sur elle. Son coeur cognait dans sa poitrine tout contre l’oreille de Marvin alors qu’elle tentait en vain de retrouver son souffle.