En pleine nuit, alors qu’on pensait que les nuits étaient bien plus tranquilles à Storybrooke que dans le Monde des Contes, quelques chose brisa le quotidien presque normal des habitants de la ville « maudite ». Dans normal, nous entendons par là qu’il n’y avait rien d’alarmant à part de mornes événement qu’on peut rencontrer dans n’importe quel hameau. Des conflits entre voisin, des vols à l’épicerie par des jeunes délinquants du dimanches, des gens trop éméchés qui perturbent les nuits silencieuse ou des incidents magique qu’il va falloir expliquer pour le cacher aux simples humains du monde réel, … Un petit hameau remplis d’êtres magiques, rien de grave. Mais ce soir là, Storybrooke reçu une visite douloureuse et inquiétante. Ou plutôt inquiétante et douloureuse. Une attaque de monstre méconnus et qui auraient pu appartenir à tout le monde et personne à la fois. Ils étaient différents du troll qu’on a pu apercevoir avant. Un portail, même plusieurs se sont ouverts ce soir là devant le Granny’s ou non loin. Personne dans les rues. La nuit calme fut alors ébranlée par le fracas provoqué par quatre grosses abominations reconstituées de toutes pièces et composées de chair pourrie. L’une était colossale, dépassant le dinner d’une tête et les épaules aussi larges qu’une voiture.
Les habitants alertés et déterminés se sont battus sans relâche pour défendre leur ville et leur cher Grann’ys. Ils se sont montrés braves et téméraires. Les monstres ont finit par tomber les uns après les autres mais pas assez vite. Malheureusement, une des abominations qui brûlait vive sans pour autant s’arrêter dans son dessein, atteignit la gazière. Un coup de marteau de guerre et une partie du Granny’s fut éventré par l’explosion. Soudain, arrivant enfin à bout du monstre, une « bonne âme » arriva pour achever la bête. Barbe-Bleu était apparu accompagné de ses défuntes-épouses. Ces dernières dépecèrent le monstre restant et après un cinglant discours…
- Barbe-Bleu a écrit:
« On ne sera pas toujours là pour sauver votre…, marqua t-il un temps de silence en regardant le dinner dans un triste état, …misérable vie. […]Nos problèmes ne nous touchent pas que nous. Il serait temps d’arrêtez de faire les autruches ! »
… il s’en alla avec les cadavres. Seuls preuves et indices sur ce qui avait bien pu se passer. Pourquoi Storybrooke ? Il avait laissé sous-entendre Beldam.
La Maire et d’autre personnes présentes sont allés voir les lapins pour avoir des explications. C’était la deuxième fois que cela arrivait. Rappelons l’histoire du troll sylvestre dans la forêt. Robin accompagné d’un chasseur sont allés enquêtés sur le Granny’s et ses alentours. Des morceaux de chair, d’arme, des débris de bâtisse, … Tout était bon à prendre, mais peu de chose pour avancer. Ils découvrirent avec l’aide d’êtres magiques l’aura des portails, mais aucune trace comme celui qui s’était ouvert dans la forêt. Les portails semblaient différents. Les lapins, nous le savons nient toutes responsabilités et disent ne rien savoir aussi surpris et démunis que le reste des habitants de Storybrooke. Quand le Maire a demandé des détails sur l’autre Monde, le Lapin blanc lui a répondu avec sarcasme qu’elle n’avait qu’à y jeter un oeil elle-même.
Pendant ce temps Mérida qui avait suivit Barbe-bleu en sautant dans son portail, avait aussi mené son enquête en vue de glaner quelques informations utiles. C’est avec Barbe-bleu qu’elle étudia les bêtes car ce dernier, par fierté ou autres raisons, n’avait pas voulu les laisser à la Reine qui était quand même dans un des camps adverses. Il a été confirmé que ces monstres n’appartenaient pas à Barbe-bleu malgré les similitudes. La reine de Dunbroch ne s’arrêterait pas là et continuerait de chercher. Elle était passée à Storybrooke pour s’entretenir avec Regina et lui dire ce qu’elle savait des monstres ou de l’attaque. Pas plus. Elle ne savait pas de quel côté le Maire était, n’ayant déjà pas bien confiance en elle.