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 Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme

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Ivallya J. Jenkins
Ivallya J. Jenkins


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MessageSujet: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 18:15


Ivallya Jane Jenkins
Je pensais qu'il m'aimait. Il a essayé de me sauver. Seulement c'était trop tard. J'avais perdu ma moitié. Elle m'avait abandonner. J’avais perdu mon amour à cause des préjugées d'un homme. Ma naïveté m'a fait perdre mes jambes. J'ai fini par me perdre.



Nom, Prénom(s) :  Ivallya Jane Jenkins, voilà le nom que l'on m'a donné dans cette ville. J'ai également porté celui de Jane Bennet, c'est d'ailleurs ma première identité et la seule de vraiment officielle. Malgré cela on m'a aussi nommé Nyméria dans la période la plus sombre de ma vie.
Âge : 26 ans
Date & Lieu de naissance : Durant mes deux vies que ce soit dans le monde des contes ou à Storybrooke je suis née le lendemain de Noel.
Conte : Orgueil et Préjugé et diverses histoires de pirate
Personnage : Jane Bennet et une sirène d'Ursula
Orientation & Statut : Je dirais que je suis hétérosexuelle mais ceux sans grande certitude après tout je n'ai aimé que Charles Bingley mais nous n'avons pas fait grand chose, et a Storybrooke les hommes étaient ceux qui m'attiraient le plus donc on va dire hétérosexuelle et célibataire au cas ou vous l'auriez pas compris.
Groupe : Le peintre
Un camp en particulier : On va dire le sien, elle a un certain penchant  pour le bien, mais possède un côté sombre qu'elle aime exploiter
Pouvoirs : Être une minione m'a permis de pouvoir voyager entre les mondes, que ce soit entre FT et SB, je suis également capable d'hypnotiser tout être humain simplement en lui parlant ou en le regardant.  [/i]

FEAT MARGOT ROBBIE



Que penses-tu de la politique actuelle des choses ?
Es-tu au moins au courant de ce qui se trame ?
Au courant, je ne pense pas que je le suis, mais est-ce que cela m’intéresse ? Pas le moins du monde. La politique, les stratégies, je ne veux pas en entendre parler. Je veux vivre ma vie et que personne ne vienne m'en empêcher. Je ne veux plus être un pion dans un échiquier auxquels on ne comprend rien. J'ai bien trop longtemps était ce pion

J'ignore cependant ce qu'il se passe dans le monde des contes actuellement, les rumeurs disent que c'est la guerre des puissants, une guerre dans laquelle les puissances e l'océan doivent s'allier à celle de la terre qui est divisé en trois armées celle de Drago un soldat possédant qu'un bras qui vit à Arendelle, après d'une reine dont le pouvoirs est glacial, une mystérieurse femme sortie de nul part dont la puissance est indéniable et qui a berné le peuple, et Cora, la reine de cœur et mère de Régina. Or mi cela j'ignore tout du reste.

A Storybrooke, l'ambiance est tendue depuis quelques temps. Les portails entre nos deux mondes se sont ouvert et apparemment ils seraient protégés par les lapins de Wonderland, autant dire que je trouve cela inutile. Ce n’est pas un lapin qui va protéger ou gérer des entrer, ça aurait été plus efficace de mettre des trolls mais bon qu'importe. A si pendant le bal masqué qui avait été organisé par Régina, la violence et les tensions entre les habitants avait augmenté. Cause à effet de l’annonciation de l'ouverture des portails ? Je l'ignore et autant dire que je m'en fou royalement, la seule chose que je veux c'est qu'on me foute la paix.

Anecdotes & Caractère

courageuse ϟ arrogante ϟ douce ϟ têtue ϟ adorable ϟ drôle ϟ joyeuse ϟ chaleureuse ϟ loyale ϟ intelligente ϟ bavarde ϟ réfléchie ϟ sérieuse ϟ jalouse ϟ ambitieuse ϟ possessive ϟ aimable ϟ provocante ϟ battante ϟ maline ϟ futée ϟ curieuse ϟ intuitive ϟ impulsive ϟ ϟ honnête ϟ rancunière ϟ juste ϟ mature ϟ optimiste ϟ ouverte d'esprit ϟ colérique ϟ souriante ϟ serviable

Ivallya a peur de l'eau, c'est assez drôle quand on sait qu'elle était une ancienne sirène. ϟ Elle a également retrouver la capacité d'hypnotiser quiconque qu'elle touche ou qui la regarde dans les yeux. ϟ  Cependant, elle n'aime pas user de ce pouvoir. ϟ  Elle a peur de se retrouver une nouvelle fois avec une queue en guise de jambe ϟ  Elle pense toujours qu'Elizabeth Bennet est morte ϟ La mort de son bébé est d'après elle une punition pour tout le mal qu'elle a causé dans le monde des contes en temps que Nyméria.




Pseudo : Maat
Prénom : Mathilde
Âge :21 ans
Loisirs :toujours les mêmes que pour Juliette, Neilina ou encore Thalia
Crédits de la fiche : Tumblr, et pourl'avatr c'est marqué dessus et je vous avoue que je ne sais plus qui c'est
Code du règlement : OK by SexyMayor
Que penses-tu de NKL ? : Il est nul et les gens sont méchant c'est pour ca que j'en suis à mon quatrième compte  oh no
Besoin de parrain/marraine ? : Non ca va aller je me parraine toute seule  Hihi



Dernière édition par Ivallya J. Jenkins le Jeu 8 Sep - 18:37, édité 11 fois
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Ivallya J. Jenkins
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 20:24



Jane Bennet
MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES
Je m’appelle Jane Bennet. Ca me fait bizarre d’écrire cela, il y a tellement longtemps que je n’ai plus repensé à la femme que j’étais. Mais, il faut que je l’écrive. Je dois me souvenir pour ne pas me laisser terrasser par ce monstre que je suis devenue. Je m’appelle Jane Bennet. Je suis l’ainée de la famille, un statut qui m’a permis d’acquérir le surnom « Miss Bennet », au plus profond de mon être j’ai toujours détesté ce diminutif, mais personne ne m’avait jamais donné le choix. Après mon premier anniversaire m’offrit une petite sœur. Elizabeth. Elle fut ma meilleure amie, ma confidente, ma moitié, mon tout. Ensemble nous formions la femme parfaite, au-delà de notre beauté naturelle, nous avions deux caractères complémentaires. J’apprenais à Elizabeth à arrondir les angles et elle m’apprenait à me méfier davantage des personnes auxquelles je donnais ma confiance. Lorsqu’elle voulu apprendre l’art de la guerre, je me suis jointe à elle. Je voulais voir à travers ses yeux. J’aimais voir à travers ses yeux, et surtout j’aimais m’assurer que rien ne puisse lui arriver. Aussi je m’étais laissé amadouer par le maniement de l’arc, contrairement à ma sœur qui préférait l’épée. Qu’importe, elle pouvait s’adonner à l’arme qu’elle voulait tant que notre père nous permettait d’en user au grand damne de notre mère. Cette femme, madame Bennet, une femme qui a pourri ma vie, une femme que je déteste du plus profond de mon être, mais surtout ma mère. Elle est tout ce qu’il y a de plus détestable, son manque d’intelligence et de finesse mis de côté, elle est surtout superficielle et obsédée par une seul idée : nous marier mes sœurs et moi. En effet, en plus d’Elizabeth, ma mère donna la vie à trois autres filles, les jumelles Catherine surnomée Kitty et Lydia, de loin les plus agaçantes notamment parce qu’elles ressemblent désespérément à notre mère. Enfin, la plus discrète de mes sœurs et malheureusement celle qui pour reprendre les dires de notre génitrice était la moins gâtée par mère-nature : Mary. Elle était également la plus solitaire d’entre nous, perdue entre les duos de sœur, incapable de trouver sa moitié alors que j’avais la mienne et les jumelles ne formaient qu’une seule et même voix dominée par Lydia, tandis qu’avec Elizabeth aucune ne cherchait à dominer l’autre.

Quand vint l’âge de nous marier, la face cachée de ma mère refit surface, elle n’avait qu’une idée en tête arranger un beau mariage pour s’enrichir et nous caser. Un acte qui me répugnait. Je détestais l’idée de me voir vendu comme du bétail au plus offrant sous prétexte que j’étais née du mauvais côté de la ligne. Seulement, malgré ses pensées, je n’osais pas me rebeller. Je respectais trop mes parents pour cela. De plus, Elizabeth se révoltait assez pour nous deux. Je ne voulais pas attiser la flamme en lui donnant raison. C’est au cours de ma dix-neuvième année que tout se bouscula en prenant une tournure prévisible et pourtant dévastatrice avec l’arrivé de Mr Bingley, ses deux sœur et un ami à ce dernier en ville. Sans grande surprise un bal fut organisé. Encore un, mais nous allons nous passer de cette remarque sarcastique, pour se concentrer sur la suite.

Donc je m’étais arrêtée au bal en l’honneur de Bingley. Pour tout dire c’était le deuxième bal de la semaine et l’envie d’y aller était loin d’être au rendez-vous. La fatigue de la veille, c’était la raison que j’avais offerte à me génitrice avant de céder et d’enfiler une robe selon ses critères. Que ne ferions-nous pas pour deux minutes de paix ? Surtout qu’elle avait déjà assez à faire avec Lizzie qui de son côté refuser de mettre une autre robe que celle qu’elle avait porté la veille. Un caprice qui me faisait sourire dans l’ombre, bien que je m’applique à ne pas le montrer. A quoi bon ? Notre mère finirait par avoir le dernier mot autant économiser de la salive et de l’énergie en se pliant à son bon vouloir sans aggraver la situation.

A peine arrivées dans la salle de réception notre mère partie à la quête de l’invitée d’honneur et les trois dernières s’évadèrent dans la foule, éprise d’une folie qui passera rapidement à Mary. J’étais donc comme à mon habitude restée avec Elizabeth, bras dessus bras dessous à commérer sur les invités. Nous nous moquâmes gentiment de certaines prétendante au titre de madame Bingley, car oui la plupart des femmes présente dans cette salle ne pensaient qu’à cela et faisaient peine à voir. Ce fut pendant un de nos récurent fou rire que monsieur Bingley accompagné par le mystérieux ami dont tout le monde parlé vint nous saluer. Sans grande surprise notre mère les suivait comme un renard chassant sa proie, mais qu’importe le sujet n’est pas là. Le majeur problème c’est ce que j’ai ressenti en croisant le regard de Charles Bingley. Sa beauté m’avait cloué au sol, et son regard était soudainement devenu la chose la plus belle que je n’avais jamais eu le loisir d’admirer. Il présenta son ami sous le nom de Fitzwilliam Darcy avant de m’inviter à danser. Voilà comment j’ai lâchement abandonné ma cadette au dit Darcy, pour les bras de l’homme dont j’allais tomber éperdument amoureuse ceux malgré mon refus catégorique de devenir comme ses filles qui avaient attisées mes médisances. Nous dansâmes ensemble un moment, tout en conversant discrètement avant de nous séparer non pas sans la promesse de se revoir rapidement.

La suite des jours avaient été à mes yeux un pur conte de fée que même les prévisions sordides de ma mère ne pouvaient venir assombrir. Que ce soit l’annonce de notre cousine Collins bien désireux d’obtenir ma main puis celle d’Elizabeth et qui avait dû essuyer un refus de sa part n’avait su gâcher. Autant vous avouer que si Lizzie aurait accepté la demande de ce bon à rien de cousin, inculte et laid au plus haut point je me serais chargé moi-même de lui faire rater sa noce.
Mon bonheur fut de courte durée, le lendemain d’un second bal où Bingley n’avait dansé qu’avec moi, et que Darcy avait réussi à amadouer ma superbe cadette, ce dernier reparti sans même prendre la peine de dire au revoir. J’apprendrais que bien plus tard grâce à une lettre de Darcy pour ma sœur que c’était lui qui avait empêché Charles de me faire ses adieu et que c’était notamment à cause de l’obsession de ma mère pour l’argent et le mariage. J’avais également appris dans un même temps qu’Elizabeth avait une nouvelle fois été demandé en mariage et qu’une fois de plus elle avait dit non. Cette fois c’était une pure bêtise car je savais qu’au plus profond d’elle, Lizzie aimait cet homme. Seulement son orgueil était bien trop développé pour qu’elle puisse se l’avouer si rapidement.

J’en reviens donc à mes moutons et donc au départ de Bingley qui m’a brisé le cœur sans mauvais jeu de mot. En quelques heures, Charles et son cousin m’avaient rappelé que je n’étais pas assez bien pour lui. Je n’étais pas assez noble. Je n’avais rien à lui offrir. Il pouvait trouver tellement mieux que moi. C’est ce que j’avais dit à ma sœur la nuit qui suivi leur départ, la gorge serré par des larmes qui refusaient de couler.

Ce fut Elizabeth qui me poussa après des semaines passées à m’écouter et à me regarder sombrer dans le chagrin à aller jusqu’à Londres pour demander à Charles Bingley des explications. C’est ce que j’ai fait, seulement, je n’ai pas su m’imposer comme Lizzie aurait pu le faire. Charles n’avait pas été au courant de ma venue et par conséquent je suis allée me réfugier chez une amie de la famille pour oublier cette nouvelle déception.

Cependant, ce fut à mon retour que la douleur fut accentuée. Alors que je n’avais qu’une envie aller retrouver ma moitié, cette dernière était partie. Elle m’avait abandonné sans me dire au revoir, sans la moindre hésitation. En rentrant un silence de mort régnait dans la maison d’ordinaire terriblement bruyante, Mary ne jouait pas au piano et les jumelle ne chahutait pas. Mon père fut le premier à m’accueillir et à sortir de son silence pour me demander de le suivre dans son bureau. Quelque chose n’allait pas. Quand j’eus refermée la porte il lâcha sans le moindre détour qu’Elizabeth était partie et qu’elle nous avait laissé une lettre. A cet instant précis j’ai su ce que j’expression avoir le cœur brisé voulait dire, en lisant les mots de ma sœur, j’avais senti les larmes inonder mes joues, mes jambes cédèrent sous mon poids, je fus de justesse rattraper par mon père qui me fit asseoir sur un des canapés de son bureau. Il était lui aussi dévasté par la nouvelle. Lizzie était sans nul doute sa préférée.  La nuit qui suivi le départ de ma sœur j’avais retourné notre chambre, j’étais incapable de dormir sans elle, et c’est ainsi que j’ai découvert la dite lettre de Darcy pour ma cadette.

Deux jours immensément long après le départ d’Elizabeth, j’avais pris ma décision, j’allais la retrouver qu’elle le veuille ou non et elle devra s’expliquer. En allant l’annoncer à mon père ce dernier m’avait pris dans ses bras en me murmurant qu’il ne pouvait pas être plus fière de ses filles tout en me donnant de l’argent afin de s’assurer que je puisse survivre un minimum à mon périple.






Dernière édition par Ivallya J. Jenkins le Dim 4 Sep - 20:15, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 20:24


Nyméria
MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES
Retrouver Elizabeth avait été une tâche plus difficile que ceux que j’aurais voulu l’imaginer. Rapidement je dû troquer ma robe pour un pantalon, et une chemise blanche, ainsi qu’un chapeau dans lequel je dissimulais mes long cheveux blond à l’intérieur. Elle ne voulait pas qu’on la retrouve, cette analyse me brisait le cœur et renforçait davantage ma détermination. Chaque jour qui passait était un jour où je désirais savoir pourquoi elle nous avait fait ça ! Pourquoi avait elle perdu la fois en nous. Seulement les mois passèrent et toutes les pistes que j’échafaudais tomber à l’eau. J’avais pourtant réussi à la faire identifier en griffonnant son visage sur un bout de papier. Bien entendu je me doutais que cette dernière ne se baladait pas en mettant en valeur sa féminité alors je l’avais dessiné sans cheveux et sans le moindre sourire.

Mes mois d’errances finirent par me mener dans un port qui puait la piraterie à plein nez. La déchéance humaine se trouvait représentée à chaque coin de rue, me donnant la chair de poule. Si bien que j’en avais pas lâché le fourreau de mon épée pendant toute la traversé car oui, j’avais opté pour cet arme comme pour me souvenir de ma sœur. Je devais avouer que je commençais à désespérer, chaque piste menait à une impasse et plus les mois passés et moins mon optimisme prenait le dessus. J’avais rencontré de belle personne. C’est sans doute le point positif de l’histoire. Seulement, je ne savais plus qui j’étais. Je n’étais plus la Jane Bennet que j’étais par le passé. Je n’étais plus cette femme qui rêvait de devenir la femme de Charles Bingley. Bien que ce dernier n’eut jamais quitté mon cœur. Je ne voulais plus entendre les jérémiades et espoirs puérils de ma mère. Je ne pouvais pas rentrer chez moi, en tout cas je ne pouvais clairement pas rentrer sans ma cadette. Sil y avait bien une chose que je ne voulais pas voir c’était le désespoir dans le regard de mon père qui devait être accablé par la tristesse.  

Je ne me souviens plus les raisons exactes qui m’avaient poussé à infiltrer l’équipage d’un pirate. C’était certainement la même raison que celle qui m’avait poussé dans toutes mes aventures à savoir une piste pour retrouver Lizzie. Si j’avais su ce qui m’attendait sur ce bâtiment j’en aurais certainement choisi un autre. Qu’importe, vous devez vous demander chez qui je me suis invitée, je ne vais pas vous laisser attendre indéfiniment. Autant en venir au fait, j’avais investi le bâtiment de Barbe Noire.

J’ai réussi à me fondre dans la masse de pirate pendant un mois, guère plus. Ce fut le corsaire lui-même qui découvre avec colère que j’étais une femme, et apparemment les femmes sur les océans portaient malheurs. Je pense que c’est plus son orgueil qui avait été touché. Je m’étais joué d’eux pendant plusieurs jours. J’avais réussi à les berner tous autant qu’ils sont. Il faut dire que son équipage avait tenté de se rebeller contre son capitaine et en se battant contre moi il avait éventré une partie de ma chemise, dévoilant un de mes seins. La surprise fut reçue par une visite des cachots pendant plusieurs longues journées. Puis ma sentence fut prononcée. Je fus déshabillée. Humiliée devant des hommes qui ne rêvaient que d’une chose : abuser de moi. Un privilège que seul Barbe Noire avait eu, la première fois c’était faite devant tout le monde. C’est ainsi que je suis devenue son esclave sexuelle. J’étais mieux traité que dans le cachot, mais emprisonné de la pire des manières qu’il soit. Forcée de me donner à un homme que je n’aimais pas, un homme qui ne voyait en moi qu’une manière d’assouvir ses pulsions masculines. A chaque rapport contraint, je nourrissais un peu plus l’envie de me venger et un jour j’ai craqué. Je savais que Barbe noire allait venir me retrouver dans ma chambre. Il venait toujours à la même heure. Il était tellement prévisible. Alors oui j’ai eu la naïveté de pensé que je pouvais le tuer. Je voulais me libéré de cette prison sexuelle. Seulement, je n’ai pas été à la hauteur. Barbe Noire eut vite fait de me contrer et il me fit souffrir. Il me baisa plus violemment que jamais il ne l’avait fait auparavant. Puis il me fit passer sur la planche, ligoté, vêtue d’un piètre fond de robe, un boulet accroché aux pieds. Sans crier gare, le corsaire me poussa après m’avoir murmuré dans le creux de l’oreille que je lui manquerais.

La suite se déroula bien trop rapidement. Alors que j’étais sur le point de mourir je fus secourue par Ursula (acte purement unique ou très rare mais qu'importe les faits sont là elle m'a sauvé), l'ancienne maîtresse de Triton et cette femme qui possède des tentacules de pieuvre en guise de queue de sirène. Cette dernière me donna une alternative mourir noyer comme l’avait prévu mon tortionnaire de corsaire ou vivre en exerçant ma vengeance sur les hommes. J’ignore comment elle s’est débrouillée pour faire taire l’humanité dans mon esprit, mais elle y est arrivée. J’ai accepté. Je pense que c’est la colère qui m’avait poussé à dire oui, j’en voulais à Barbe Noire, à Bingley pour m’avoir tourné le dos sans prendre la peine de vérifier si les dires de son ami étaient véridique ou non, mais surtout j’en voulais à Dracy, il avait brisé mon cœur à deux reprises : tout d’abord en faisant fuir Bingley puis en poussant ma sœur à partir. J’étais tellement en colère. Puis d’un coup, ils disparurent de mon esprit, mes souvenirs se brouillèrent pour ne laisser place qu’à une colère profonde et une envie de tuer tous les hommes présents sur les eaux sombres et ténébreuses du nord. Ursula me nomma Nyméria, une identité que mit fin à mon ancienne vie.

Les mois passèrent sans que je m’en aperçoive j’avais perdu la notion du temps. Je tuais sans le moindre état d’âme, j’usais de ses nouveaux pouvoirs que ma queue m’avait offerts. Je ne vivais que pour service Ursula et venger les femmes des hommes et de leur noirceur. Dans l’océan nous étions les sirènes les plus criante des profondeurs, nous n’avions pas le droit de nous aventurer vers la cité de l’Atlantide cependant nous vivions avec les sirènes de triton, enfin par vivre j'entends que nous nous croisions, parce que nous n'avions pas le droit d('entrer dans le royaume de Triton, même si Ursula aimerait bien que se soit le cas pour qu'on puisse être ses yeux et ses oreilles. Bien que ces dernière était bien différentes de nous, elles n'aimaient pas le sang et la violence et parfois elles avaient même deux queues.

Enfin qu'importe, j’avais oublié jusqu’à qui j’étais, jusqu’à cette nuit où je les ai revu : Bingley et Darcy. Nous avions tué la totalité de leur flotte, il ne restait plus qu’eux deux. Darcy était sur son épave tandis que j’avais Bingley dans les bras prête à jouer avec lui et d'entraîner sa mort, alors que son ami allait tenter de me tuer Bingley qui n’avait pas ouvert la bouche depuis que je l’avais attrapé lui somma de ne rien faire. Ce dernier posait ses mains sur mon visage, m’appelant avec tendresse, en me demandant ce qui m’était arrivée. Jane. Jane Bennet. Repoussant Bingley contre les rochers je lui ordonnais de se taire. Seulement, il ne voulait rien entendre. Il continuait. Il avançait vers moi. Il me demandait de revenir avec eux. Ne voyait-il pas que je n’avais plus de jambe ? Plus ce dernier s’avançait et plus je sentais la colère gronder en moi. Qu’il se taise ! C’était tout ce que je voulais. Ceci dit ce n’était pas dans ses plans, ce dernier cala mon visage haineux entre ses mains, et sans crier garde il m’embrassa, brisant la barrière qu’il existait entre Nyméria et Jane. Repoussant une nouvelle fois ce dernier contre les rochers tandis que les larmes roulaient sur ma joue, je lui demandais de se taire, mais le mal était fait. Je savais qui j’étais.

« Jane je vous en pris »

« Jane est morte »

Ce fut la seule chose que j’avais pu répondre avant de foncer sur lui prête à le tuer, avant que Darcy ne me lance une flèche dans le bras, comme pour me forcer à reporter mon attention sur lui. De son côté Bingley lui ordonnait de ne pas me faire de mal. C’était de sa faute. Mon esprit se souvenant de mes derniers instant en temps qu’humaine, je serrais les dents, arrachais la dite flèche de mon bras avant de nager vers lui. Tandis que je le balançais à l’eau, Darcy se débattait en me rappelant que je n’étais pas un monstre, il me disait qu’il était désolé. Désolé d’avoir éloigné Charles, désolé d’avoir été le responsable du départ d’Elizabeth. Désireuse de le faire taire je lui enfonçais la tête sous l’eau, les larmes roulant sur mes joues, avant d’entendre le seul homme que j’avais eu l’audace d’aimer m’appeler. Le temps que je me retourne vers lui, je l’apercevais s’enfoncer vers l’eau, tiré par le pied par une de mes « sœur ». Relâchant Darcy, je fonçais vers Bingley qui était déjà envoyé vers le fond par Cyrénia, ses mains étaient désormais autour de sa taille, elle l’embrassait, je connaissais que trop bien cette stratégie, ivre de jalousie, je nageais vers elle avant de lui rompre la nuque pour venir prendre sa place autour de Charles Bingley. Seulement contrairement à la défunte sirène, je le remontais à la surface.

Tirant son corps vers la plage, aidé par Darcy, qui avait réussis à échapper aux miniones, je le laissais réanimer Bingley, qui était inconscient. Après un long moment d’attente, je l’entendais tousser. Le visage déformé par la tristesse, je m’excusais avant de leur demander de repartir et de ne plus jamais revenir.

« Je ne veux plus vous laisser partir Jane »

« Il est trop tard Charles, je ne suis plus celle que vous avez connu. Allez vous en »

Sur ses mots, je m’en allais sans leur lancer le moindre regard. En retrouvant la mémoire je savais que je ne pourrais plus me rendre chez Ursula. Comment oublier une nouvelle fois cette vie ? J’étais seule, encore. Enfin cette solitude ne dura pas longtemps, pendant que je me battais contre mes « sœurs », Ariel la dernière fille de Triton était restée dans l’ombre. Étonnée par mon attitude, elle était venue à ma rencontre pour en savoir davantage, elle savait que j'étais une minionne et par conséquent une tueuse,  mais elle ignorait pourquoi j'avais choisis la mer plutôt que la terre. Sans le moindre détour elle me demanda pourquoi j’avais sauvé ses deux hommes et tué une des nôtres. Alors, je lui ai tout raconté, lui épargnant aucun détail, j’avais besoin de me décharger de cette souffrance. Je pensais qu’en prononçant verbalement tout cela j’allais libérer la douleur qui se serrait la gorge et le cœur depuis que Bingley m’avait redonné la mémoire. Ariel tenta de me redonner espoir en me parlant d’alternative. Elle aussi aimait un homme. Elle comprenait ma douleur et voulait m’aider. Elle disait qu’il y avait toujours une solution et que son père pourrait peut-être me libérer de l’emprise d’Ursula. Elle y croyait dur comme fer, de mon côté j’étais plus septique, comment pourrait-il en être capable ? La rouquine n’était pas réaliste. Assise sur un rocher, cette dernière essayait de me convaincre de garder espoir quand le nuage violet apparue derrière nous. Au départ j’avais suivi Ariel dans l’eau, mais j’avais fini par faire demi-tour et je fus prise par la malédiction.





Dernière édition par Ivallya J. Jenkins le Jeu 8 Sep - 18:39, édité 9 fois
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Ivallya J. Jenkins
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 20:25


Ivallya Jane Jenkins
STORYBROOKE - STORYBROOKE - STORYBROOKE - STORYBROOKE
Des souvenirs de mon enfance ? Je n’en ai plus beaucoup. Maintenant je comprends, je sais que tout ceci est le fruit d’un maudit sortilège. Pourtant tout me semble si réel, le peu de souvenirs qu’il me reste continue de me hanter.

Je me souviens de ce jour où ma maison de Portland fut engloutie par les flammes, je me souviens de la peur qui paralysait mon estomac. Je me souviens d’avoir pris dans mon sillage mon petit-frère endormi dans mes bras avant de sauter par la fenêtre du premier étage et de retomber dans notre piscine avec violence.  J’entends encore les cris de mes parents. Je revois les flammes s’échappaient des fenêtres. Je ressens encore cette angoisse, et cette culpabilité. C’est moi qui aie oublié d’éteindre les bougies du salon. Papa me l’avait demandé avant d’aller se coucher. Encore aujourd’hui je ne sais pas ce qu’il c’est passé, peut-être que c’est le chat qui a fait tomber la bougie. Savoir a-t-il la moindre importance ? Je ne pense pas. Je ne pense plus. Je me revois courir trempée dans les rues endormies de Portland, mon frère endormi dans mes bras. Du moins c’est ce que je pensais. J’étais persuadée qu’il était endormi, qu’il n’avait pas entendu, ni ressenti toute la peur de cette nuit où j’avais détruis ma famille, seulement, il ne se réveillait pas. Après une journée passé à errer dans les rues, je fus retrouvée par les policiers de la ville. Ils me retirèrent Théodore des bras. Une psychologue est venue m’expliquer qu’il était mort suite à une intoxication dû aux fumées. Je n’ai pas supporté l’information. C’est cette même femme qui me fit interner dans un hôpital afin de me faire intégrer que mon frère était mort. J’avais seize ans. Après une semaine passé dans ce lieu infâme, je me suis enfuie et j’ai pris le bus avec le peu d’argent qu’il me restait. C’est ainsi que je suis arrivée à Storybrooke. La suite, elle est simple. J’avais besoin de travailler. J’avais besoin d‘un toit. Mais j’avais surtout besoin d’oublier les semaines que j’avais passé. Rapidement j’ai trouvé un poste de réceptionniste dans la galerie d'exposition de la ville situé au quartier Turner.

La suite ? Est-elle réellement importante ? Elle est fausse ? Puis je dois avouer que je n’ai jamais su me libérer de cette folie, je continue de chercher Théodore parfois. Heureusement, il existe plus d’un moyen de se libérer de cette pression quotidienne et j’ai rencontré un homme : Gabriel. Drôle de nom ? Oui certain le dise, mais il a réussit à libérer mon âme de cette souffrance qui me muselait depuis des années. Il m’a également mise enceinte. J’avais emménagé avec lui. J’étais heureuse. Malheureusement huit mois après le début de ma grossesse, j’ai perdu le bébé. J’ai perdu ma petite fille et j’ai dû accoucher de ce bébé mort. Connaissez-vous cette souffrance ? Savez-vous à quel point ça fait mal de pousser pour accoucher de cet être que vous avez chéri chaque jour un peu plus fort, d’un bébé que vous savez mort. Ce fut au moment de la libération de mon défunt bébé qu’Emma Swan mit fin à la malédiction de Régina. Ce fut à cet instant précis que mes souvenirs revinrent, en tournant la tête vers mon fiancé, je reconnu Charles Bingley. Ce dernier prononçant mon véritable nom avec une souffrance pas la moins du monde étouffé, je pleurais davantage, mon regard se posant sur le bébé que nous aurions dû avoir. Jane était morte. Nyméria n’était plus. Ivallya semblait ne pas être réelle et pourtant j’étais bel et bien étendu sur cette table contrainte de prendre une décision en donnant oui ou non une identité à cette petite-fille qui n’avait pas eu plus d’une seconde de vie. Incapable de m’arrêter de pleurer, je répondais sans même demander l’avis au père de l’enfant :

« Elizabeth »

Le nom de ma sœur, de ma jumelle, de cette moitié que j’avais perdu, je voulais qu’elle porte son nom car comme elle je l’avais aimé et elle était partie loin de moi.

A ma sortie de l’hôpital, j’ai déménagé, je ne pouvais plus supporter de me coucher auprès de Gabriel. J’ai loué une maison dans le quartier Aragon proche du port. Désormais je dois retrouver la force de me lever le matin et de retrouver un sens à ma vie. Depuis que les portails entre nos deux mondes se sont ouvert, je ne sais plus où est ma place. Est-elle dans cette ville auprès d'un homme que j'avais passé littéralement toute ma vie à aimé ? Était-elle dans le monde qui m'avait vu naître mais également dans celui qui m'avait fait perdre mon âme ? Ces réponses me font peurs, je n'ai plus de but, avant j'en avais un retrouver Elizabeth, seulement j'ai dû essuyer un échec cuisant. J'aurais pu avoir un nouveau but avec ma fille, mais elle m'avait été enlevé. Pour trouver la réponse à cette question, je devrais répondre à la plus essentielle de toutes : Qui suis-je réellement ?




Dernière édition par Ivallya J. Jenkins le Jeu 8 Sep - 18:44, édité 4 fois
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Grace Blackheart
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 20:28

Plus c'est long plus c'est bon Hihi
Rebienvenue encore ! J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves Please
(et désolée je t'ai toujours pas répondu, j'ai fait que taffer hier et aujourd'hui)
Bon courage pour cette nouvelle fiche, en espérant que tu nous en réserves d'autres What a Face
Poutous Nik Nik
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Ivallya J. Jenkins
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 20:57

Merci ma plus jolie saloperie Potté Ne t’inquiète pas je ne t'en veux pas Please

J'espère que ce que j'ai pensé te plaira et par contre n'espère pas trop des suppléments fiches je ne veux pas envahir le forum Pan

Merci pour tes encouragements Coeur
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Charlie K. Wellington
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 22:08

OUIIIIIIIIIIIIIIII DLDKZLDKSLD'´S Pompom Pompom Pompom Pompom Pompom Pompom

KYAAAAAA JE ME DÉPÊCHE DE LIRE LA PREMIÈRE PARTIE Love
T'es géniale Vui
Rebienvenue Vui
J'te love Vui
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 22:21

Bienvenue à toi !
J’ai hâte de voir, surtout une petit minionne de Ursula What a Face !
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyVen 19 Aoû - 22:48

CHARLIE : Ouiiiii je suis trop contente que tu es accepté que Jane soit joué par moi Potté Potté Potté J'espère que je ne te décevrais pas et que j'aurais bien collé à ton historie j'ai essayé de faire au mieux Coeur

BRIAR : Merci ^^ j'espère que la aussi je vais pas êre à côté de mes pompes oh no
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Regina Mills
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptySam 20 Aoû - 3:05

Re re bienvenuuuue Pompom bon courage avec ce nouveau perso qui va tout déchirer, comme les autres ^^
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Ivallya J. Jenkins
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptySam 20 Aoû - 11:12

Merci Regina ca me fait plaisir tout ses compliments sur mes petites Potté
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MessageSujet: Re: Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme    Dans l’abysse de mon cœur j'ai perdu mon âme  EmptyDim 4 Sep - 18:19

Aloooors !

Bon pour l’écriture aucun soucis, c’est agréable et fluide.
La partie Orgueil et Préjugés nous va ! Donc ça aucun soucis de ce côté.
Juste à ce moment où il y a du avoir une petite faute d’inattention : « En effet, en plus d’Elizabeth, ma mère donna la vie à trois autres filles, les jumelles Catherine ou encore Kitty et Lydia ». Voilà !

Sinon commençons dans l’ordre :  

La question sur la politique, si tu pouvais developper un petit peu plus.  Car c’est vraiment court. Que penses t-elle de la nouvelle menace qui se répand sur le Monde des Contes. Ou encore des guerres d’avant, que sait-elle par exemple ? Je comprends bien qu’elle ne prends pas parti, mais ça n’empêche pas de nous dire ce qu’elle sait et où elle se positionne ou non. Puis pourquoi elle ne se positionne pas aussi. Ca pourrait être intéressant. Donc argumenter un peu plus s’il te plait.

Ensuite, petit détail, les sirènes de Neverland sont bien des créatures d’Ursula, mais c’est une partie de son espèce qui s’est détachée et sont dévouée à Peter Pan. Donc je pense qu’il n’y aura que ça à modifier. Ursula est plutôt vers le Royaume de Tritton, exilé à la frontière de son royaume, ou dans les eaux du Nord. ;) voilà.
J’aurais du le préciser dans le bestiaire.
Bon aussi normalement les sirène d’Ursula ne deviennent pas des sirènes, mais le sont. Après pour un coeur brisé ton idée tiens debout, donc ça c’est okay. C’est juste d’un point de vu scenaristique que je précise le détail =) Par contre, tu as dis que Ursula changeait des humaines en sirène plus loin dans le texte. Ca faudra le modifier. En fait, elle les crée. Faudrait vraiment que je pose beaucoup plus en détail cet univers. Elle a une très mauvaise estime des humains, donc c’est un fait très rare. C’est même plus souvent la pire espèce des hommes qu’elle punit en les transformant en sirène dévoreuse d'homme. Là c’est plausible surtout si elle a été victime de Barbe-Noire. Elle aurait plus tendance à transformer des sirènes en humaine car elle sait que la nature humaine les brisera. Elle a aussi très peu d’estime pour ses créatures. Enfin, elle les protège par fierté, car ce sont ses petits « bébés », ses « créations » mais elle aime déjà pas ses enfants.

Autre point, Ursula ne renie pas des sirènes parce qu’elles s’entretuent. ses créatures sont des monstres sanguinaires. Des être limites primaires, vicieuse, mauvaises et j’en passe. Donc, c’est des choses qui arrivent.

Juste au cas où pour Ariel qu’il n’y ait pas des tout petit soucis de contexte (mais ça m’a l’air bien, elle est là pendant le moment où elle se bat avec les autres sirènes, c’est ça ? Si oui, c’est bon) Ariel est la fille de Triton et d’une sirène civilisée (on va dire ça comme ça) Ursula n’a pas le droit de se pointer au palai depuis que la mère d’Ariel est morte. Ses sirènes non plus n’ont pas le droit de se retrouver sur son royaume à Triton et ce parce que souvent elles s’attaquent au peuple de Triton. Sans parler qu’elles sont les yeux et les oreilles d’Ursula en quelques sortes. Il y a bien eu un temps où Ursula à eu une idylle avec Triton et que leur deux espèces se sont mélangée pour créer des sirènes plus douces, pure et bienveillante. Plus « humaine » on va dire et moins sauvage. Comme Ariel :)

Autre petite anecdote. Il faut vraiment voir les sirènes d’Ursula proche des vraies sirène en fait. Ce sont des créatures très passionnées et jalouses. Les sirène de Triton le sont aussi, mais sont moins extrêmes. Les mangeuses-d’homme peuvent aller jusqu’à des points de non-retour. Tué, torturer ou manipuler les esprits pour obtenir l’exclusivité. Ce sont vraiment des jalouses maladive et possessives. Elles sont beaucoup de mal à gérer leur pulsions et c’est aussi souvent pour ça qu’elle finisse par les dévorer ou les épuiser jusqu’à la mort.

Bon j’espère avoir été claire >< et que je t’ai pas trop perdu avec toutes ces explications.

Il manque juste aussi un petit paragraphe sur l’intrigue actuel.
Bon courage Hug2
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