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 Perdre une shoes c'est la loose

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Allan de Dale
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MessageSujet: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptySam 4 Juin - 19:30

Perdre une shoes c'est la loose


Tout comme les musiciens du Titanic, Allan et ses compagnons avaient joué jusqu’à la fin du bal. Accompagnant les danses les plus feutrées aux bagarres les plus rythmées qui avaient eu lieu dans une improvisation totale et hyper fun. Un exercice très constructif pour le groupe. Si il y en avait qui s’étaient éclatés comme des dingues, c’était bien les Mettalicatan, Metallicatan ! De bonne composition le pompier ne s’était pas offusqué du comportement très vif des Storybrookiens qui n’avaient fait, après-tout que lui témoigner leur admiration. Certes il avait dû se baisser plusieurs fois pour éviter des objets volants pas forcément identifiés que les convives s’étaient gracieusement jetés à la figure.  Mais cela l’avait plutôt amusé et puis le feu animant leurs instruments c’était l’adrenaline qui les avait portés. Jusqu’à ce qu’un escarpin atterrisse aux pieds du pompier comme par enchantement. Avec le désordre ambiant il n’avait pas pu retrouver sa propriétaire. Il l’avait laissé de côté en se disant qu’à la première occasion il l’emmènerait dans la section des objets perdus de la Mairie.  

Car en homme galant, Allan songeait à la malheureuse qui devait être bien triste d’avoir perdu la sœur jumelle de la paire de chaussure qu’elle avait dû mettre tant de soin à choisir. En observant l’objet il avait eu un doute quant au genre du propriétaire. La pointure lui semblait plutôt importante pour convenir à une femme. Et Jack Frost…hum comment avait-il été habillé celui-là déjà ? De manière extravagante donc captivante ! A l’occasion il faudrait qu’il voie pour le recruter dans son groupe en tant que danseur. Il en ferait un membre tout à fait convenable qui ne risquait pas de faire de l’ombre à l’ancien ménestrel. Car, ne l’oublions-pas, la perfection c’était Allan de Dale !

Après avoir sauvé un chat coincé dans un arbre et aidé Granny à traverser la rue, Allan conduisit le camion rouge sur le parking de la Mairie. Toujours en service, il devrait ensuite établir avec ses collègues un protocole en cas d’ouragan. Storybrooke n’avait jamais eu à subir ce genre de phénomène mais les ordres…étaient les ordres. Saluant avec un petit clin d’œil le personnel de la Mairie on le conduisit devant la porte des objets trouvés où quelqu’un se trouvait également. L’œil de notre ménestrel s’alluma.

- Régina quelle bonne surprise !! Comment va Madame le Maire ?

Sachant que l’ancienne reine appréciait ce genre d’égard, il la gratifia d’un léger et élégant baisemain tout en tenant l'escarpin dans l’autre main.
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Regina Mills
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyDim 3 Juil - 23:47

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Ce bal en l’honneur de l’arrivée du printemps avait été une véritable catastrophe. Regina s’était donné un mal de chien pour que cet événement soit l’occasion d’unir un peu les habitants de Storybrooke, et au lieu de cela, tout était parti en vrille et une bagarre générale avait éclaté. Autant dire qu’elle espérait oublier cet épisode aussi vite que possible, d’autant qu’elle-même n’avait pas fait preuve d’un grand self-control, ce qui lui avait d’ailleurs permis de comprendre que quelque chose, ou quelqu’un, d’étranger à la ville pouvait être à l’origine de l’attitude négative des habitants de la ville. Même Robin s’était comporté de manière exécrable, c’était dire. Madame le maire n’avait pas traîné pour faire des recherches. Elle était loin de toucher au but, mais n’était pas non plus sans indices. Ne sachant pas quand cette « magie » opèrerait à nouveau, il ne fallait pas traîner pour débusquer l’auteur d’un tel chaos et l’arrêter. Regina ne comptait pas laisser passer ça, d’autant qu’elle avait essuyé une dispute avec son homme à cause de ça, ce qui l’énervait d’autant plus. Sans compter que le petit Roland aussi avait été touché. S’en prendre à ceux qu’elle aimait était quelque chose de vraiment inconscient de la part de cet inconnu qui, sans doute, ne savait pas à qui il avait à faire.

La journée était bien entamée lorsque madame le maire fit le tour de la mairie, passant par le bureau des objets trouvés, se demandant si éventuellement quelque chose de suspect pouvait s’y trouver. Après tout, il ne fallait négliger aucune piste dans cette affaire, peut-être que quelque chose avait été ramené de la soirée. En sortant du bureau, elle tomba sur Allan le pompier, ancien Merry-men, qui s’empressa de lui faire un baise-main, avec son sourire ravageur. Regina essaya de se montrer sympathique, bien que l’envie lui en manquait au vu du peu d’avancée de sa petite enquête.

-Bonjour… En effet quelle surprise que de croiser le maire dans la mairie… répondit-elle machinalement en récupérant sa main doucement.

Elle tâcha néanmoins de sourire, cet homme ne lui avait rien fait après tout, il n’était certainement pas le coupable du chaos qui avait eu cours en ville, et puis c’était un ami de Robin, raison de plus pour faire un effort. Elle remarqua l’escarpin qu’il tenait dans sa main.

-Vous cherchez la seconde ?

C’était un beau soulier, il fallait le reconnaitre. En femme de gout qu’elle était, l’ancienne méchante reine reconnaissait une chaussure de qualité. Néanmoins, la pointure lui parut un peu grande.

-Il ne me semble pas en avoir vu, mais faites-vous une idée par vous-même, dit-elle en rouvrant la porte pour qu’Allan puisse aller jeter un œil s’il le souhaitait.
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Allan de Dale
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyVen 15 Juil - 15:39

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C'est une main légère et froide qui quitta celle du pompier. Amusé il regardait Madame le Maire située pile poile sous la pancarte "objets trouvés" fixée sur la porte. Il faillit s'esclaffer lorsque la dame ironisa le fait qu'il était étrange de trouver le Maire à la Mairie. Une chance que Regina ne se voyait pas en cet instant, elle en aurait mangé ses Louboutins! Le sourie d'Allan s'élargit en songeant qu'à une époque bien plus lointaine il aurait pu composer une chansonnette sur cette anecdote et aller l'entonner dans tous les comtés. Prendre une photo avec son téléphone le démangeait mais il s'abstint. Question de respect. Finalement Regina se mit à sourire et lui demanda si il cherchait la seconde chaussure. Elle n'avait donc pas résisté au sourire de Allan et se mettait à faire de l'humour. Très bien !

- Absolument ! Ce sont mes souliers de bal porte bonheur. J'espère aussi retrouver la robe meringue bien bouffante qui va avec. Elle me va à ravir...

Mais point trop n'en fallait! Déjà qu'elle devait être folle de lui, comme toutes les autres, il n'était pas question d'en rajouter. D'autant plus qu'elle était la compagne de l'un de ses meilleurs amis. Et ça c'était sacré ! Telle une videuse de boîte de nuit Regina ouvrit la porte et laissa enfin entrer Allan. Le pompier émit un sifflement admiratif. Il y avait un tel bric à brac que la caverne des quarante voleurs aurait fait pâle figure à côté. Toutefois, le pompier repéra rapidement le coin où étaient amassées les chaussures. Il alla donc déposer la sienne bien en vu. Mission accomplie!

- Et voilà !

Son regard fut soudain attiré par une cithare poussiéreuse qui se trouvait là. Il en oublia tout même Règina.

- Viens par ici ma jolie.

Délicatement il la sortit de son emplacement et la dépoussiéra grossièrement avec sa manche. Ses doigts le brûlaient de caresser les cordes autant que les grains de peau pouvaient appeler la main. Telle une Dame il la prit dans ses bras et commença à jouer quelques accords qui vibrèrent en lui. Ils étaient fais l'un pour l'autre à n'en pas douter. Il revint à la réalité, constatant que le Maire était toujours là.

- Si elle est ici depuis un an et un jour je veux bien vous en débarrasser.

D'ailleurs à bien y regarder il n'y avait pas que la cithare qui aurait bien fait de dégager les lieux. La sortie de secours était encombrée d'un fourbis de malade.
Allan fronça les sourcils. En pompier il ne pouvait pas laisser ça comme ça. Il déposa le cithare en sécurité et se retroussa les manches...
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyMar 19 Juil - 23:34

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Ce qui était agréable, ou non, cela dépendait de votre état d’esprit, avec Allan, c’était que le sourire ne quittait jamais ses lèvres. Un peu comme ces poupées figées. Toujours ce sourire laissant apparaitre des dents étincelantes. Regina se demandait bien ce qui pouvait ainsi le motiver à sourire sans arrêt. Il ne pouvait tout de même pas être content tout le temps, si ? Ou alors il se moquait d’elle ? Un regard quelque peu suspicieux se posa sur lui alors que leurs mains se séparèrent, puis madame le maire opta pour le sourire à son tour. D’autant que lui aussi tenta un trait d’humour. Machinalement, elle imagine son interlocuteur portant une paire d’escarpins et une robe meringue. Etrangement, elle était certaine que malgré un tel accoutrement dont, d’ordinaire, la gente masculine n’avait guère l’habitude, Allan serait de ceux qui afficherait toujours une assurance constante. Affichant un sourire en coin à cette idée, elle le laissa entrer et choisir l’emplacement du pauvre soulier isolé. C’est alors que l’ancien troubadour trouva un vieil instrument poussiéreux qui sembla attirer son attention et susciter son intérêt. Regina soupira.

- Elle doit être là depuis bien vingt-huit ans et un jour, sinon plus, si vous voulez mon avis. Prenez tout, tout ce que vous voulez, tant que ça me débarrasse de toutes ces horreurs poussiéreuses dont tout le monde se fiche…

Elle le vit alors retrousser ses manches. Qu’allait-il faire ? Il avait bien compris qu’elle plaisantait quand elle lui avait dit de tout prendre.

- Que faites-vous ? demanda-t-elle à mi-voix, comme pour elle-même.

Puis elle comprit, le voyant se diriger vers le bric à brac présent vers ce qui était en fait une issue de secours, dissimulée derrière le dit désordre.

- Oh… commença-t-elle, un peu honteuse que sa mairie puisse paraître aussi bordélique.

Enfin, c’était la pièce des objets trouvés, ce n’était pas non plus le reflet de la mairie. Elle avança de quelques pas vers lui, une main levée.

- Laissez, je demanderai à quelqu’un de s’en charger.

Madame le maire se rappela qu’Allan était pompier, et malgré ses airs quelque peu prétentieux, il n’en était pas moins consciencieux.

- Prenez ce qui vous intéresse, ce ne sera pas aujourd’hui qu’une évacuation d’urgence aura lieu dans cette pièce. Sauf si quelques dizaines de chaussures seules décident de fuguer… tenta-t-elle de plaisanter.

Non vraiment, qu’allait-on penser du maire si elle exploitait les pompiers sur leur temps libre, ou de travail, allez savoir si Allan bossait aujourd’hui, alors qu’il y avait du personnel à la mairie. Louise, elle qui était si hyperactive, toujours à faire tout un tas de choses, voilà qui pourrait l’occuper pour l’empêcher de fouiner. Ce serait parfait. Regina afficha un grand sourire.

-Vraiment, venez plutôt prendre un café.
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyJeu 15 Sep - 9:57

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HP : Désolée pour le retard Choupette

P

O joie il pouvait garder l'instrument! Allan était content d'avoir mis les pieds ici. Il n'était vraiment pas venu pour rien.

- Super! Merci beaucoup

Bon en fait ce n'était peut-être pas à Madame le Maire qu'il fallait dire merci mais il était reconnaissant d'être tombé sur cette perle. Alors qu'il dégageait l'issue de secours encombrée par de vieux bibelots Régina lui proposa de le faire faire par quelqu'un d'autre.

- Ne vous embêtez pas Régina à nous deux on en a pour trente secondes.

Ca aurait été dommage d'embêter du personnel rien que pour ça. Et surtout ça prendrait plus de temps que de le faire tout de suite. Il mit dans les bras de son interlocutrice une vieille machine à écrire. Celle-ci ironisa sur le fait que l'issue de secours ne risquait pas d'être empruntée de si tôt sauf par des chaussures esseulées peut-être. Le pompier rit en songeant à cette image.

- Si un jour ça arrive, bippez-moi! Je veux bien voir ça. "Le gang des chaussures esseulées"

Voilà c'était terminé. Un peu de jour filtrait à travers la vitre de la porte qui était à présent dégagée. La pièce semblait plus clair. Madame le Maire lui proposa un café. Une invitation qui ne se refusait pas. Il la remercia et désigna la sortie.

- Avec plaisir et...après vous.

Sa cithare sous le bras le parfait pompier pensa que les vieilleries entreposées pourraient peut-être faire d'autre heureux.

- Vous savez quoi ? Ca pourrait être pas mal de tout répertorier et d'y mettre sur le site internet de la Mairie. Comme ça tous les habitants de Storybrooke pourraient voir en un clic si quelque chose les intéresse.

Et ça débarrasserait aussi.Allan jeta un coup d'oeil à sa montre. Il avait un quart d'heure pour faire honneur au café de Régina. Ensuite il lui faudrait partir en manoeuvre. Le stage de survie des JSP commençait cet après-midi.
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyVen 16 Sep - 16:09

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Allan était têtu, il semblait tenir particulièrement à effectuer le déblayage de la pièce, du moins de l’issue de secours, lui-même. Si Regina avait tenté de l’en dissuader au lieu de lui proposer son aide, c’était bien qu’elle n’avait aucune envie de mettre les mains sur de vieux objets qui trainaient là depuis des lustres et d’en respirer la poussière. C’était sans compter la bonne volonté du pompier qui insista, manches relevées, et qui commença la besogne avant de mettre dans les bras de madame le maire une vieille machine à écrire. Regina réprima un air de dégout et alla la poser sur un coin d’étagère, poussant au passage quelques bibelots pour faire de la place.
L’ancien merry-man avait accepté l’invitation à boire un café qui, de base, avait surtout été lancée pour éviter d’avoir à remuer toute la poussière de la pièce. L’ancienne reine épousseta ton tailleur et sortit de la chambre des objets trouvés, suivie par Allan qui eut alors une brillante idée concernant ces choses abandonnées : les répertorier et les mettre sur le site de la mairie. Voilà qui donnerait du travail supplémentaire à Louise et l’empêcherait d’aller fouiner d’avantage. Tandis que la maire de la ville reverrouillait la porte, un sourire se dessina sur ses lèvres.

-Voilà qui me donne une autre idée. Je vais en effet faire répertorier ces objets et les mettre sur le site de la mairie, et je vais aussi organiser une vente de charité pour ceux qui n’ont pas été réclamés. Comme vous le savez, le Granny’s a connu des dommages très importants. Les fonds récupérés seront intégralement reversés pour les réparations.

Satisfaite de son idée, elle se retourna vers le pompier et l’emmena vers l’accueil où se trouvait une machine à café qui avait été livrée récemment. Enfin de la variation et du choix. Elle laissa Allan choisir sa boisson avant de sélectionner à son tour un café noir sans surcre, qui ne tarda pas à être prêt également.

-Comment se passent vos journées ?

Storybrooke n’était pas une ville réputée pour ses fréquents incendies ni pour ses nombreux chats coincés dans les arbres. Allan ne s’ennuyait-il pas ? De toute façon, avec l’annonce qui avait été faite par celui qui les avait sauvés au Granny’s, ils n’étaient pas près de s’ennuyer longtemps. D’ailleurs, Regina prévoyait de retourner de « l’autre côté » très prochainement pour en savoir un peu plus sur ce qui se tramait là-bas, et si la mise en garde de Cora était réelle, ou seulement un coup de bluff. L’ancienne méchante reine appréhendait un peu de le savoir, mais il fallait en avoir le cœur net.

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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyLun 19 Sep - 8:58

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Allan se servit un capuccino. Il y avait longtemps qu'il n'en avait pas bu. Apparemment Régina trouvait l'idée du site internet sympa. Quant à Allan il était tout simplement satisfait de pouvoir rendre service. Portant le gobelet à ses lèvres pour boire un peu de capuccino il acquiesca silencieusement la vente aux enchères pour les objets perdus qui ne seraient pas réclamés.

- C'est brillant ! Ca marchera. Toutefois j'imagine qu'il ne vaut mieux pas omettre de préciser que la mairie apportera une aide financière de base pour aider Granny. Vous imaginez si elle devait se contenter de ses maigres deniers et de ce qu'une vente aux enchères pourrait éventuellement apporter ? Si les Storybrookiens en viennent à penser cela votre opération serait très mal perçue !

Cette idée était tellement ridicule qu'il en rit. Avec les impôts que les Storybrookiens payaient c'était bien la moindre des choses! Allan eut une pensée pour le shérif de Nottingham qui récoltait les impôts sans jamais en faire bénéficier le peuple. Plus pingre tu meurs! Mais celui qui devait en avoir le souvenir le plus cuisant c'était Robin. Heureusement Régina n'était pas comme ça. N'avait-elle pas tout de suite eu une idée généreuse ? La dame s'interrogea ensuite sur les journées d'un pompier.

- Oh ben c'est différent tous les jours. Mais je peux vous donner le squelette de notre quotidien. Le matin rassemblement. On attribue les camions à chaque patrouille. Ensuite sport, vérification du matériel, maneuvres d'entraînement avec des simulations en situations réelles, repas, travail dans les différents services : nettoyage des locaux , réparations des matériels endommagés..., apprentissage des protocoles comme par exemple "comment désinfecter un véhicule"et sport à nouveau.

Il haussa les épaules

- Bon enfin tout ça c'est sans les interventions. Vous vous doutez bien qu'on ne peut pas suivre ce programme à la lettre tous les jours.

Il termina d'avaler son capuccino

- Ce soir on a une réunion de crise. Avec ce qui s'est passé au Granny's on voudrait accer nos manoeuvres d'entraînement sur...d'autres choses moins ordinaires. Histoire de ne pas être pris au dépourvu. Et de rassurer nos concitoyens. Vous savez que tout le monde est inquiet pour sa sécurité ?

Il faudrait d'ailleurs qu'ils s'organisent avec le bureau du Shériff pour faire des entraînements communs.

- Et vous Régina ? Comment se passent vos journées ?
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyLun 19 Sep - 22:47

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Regina avait rebondi sur l’idée d’Allan afin de faire en sorte de collecter des fonds pour la reconstruction du Granny’s. Le pompier semblait approuver, et la satisfaction pouvait se lire sur le visage de madame le maire. Cependant, la dernière remarque de son interlocuteur la fit tiquer. Comment pouvait-il penser que la mairie ne participerait pas. Elle le regarda avec un sourire en coin et un haussement de sourcil traduisant sa perplexité.

-Merci pour ce conseil avisé, je n’y avais absolument pas pensé ! Vous avez manqué votre vocation, pourquoi ne pas prendre ma place ? commença-t-elle avec ironie. Pour qui me prenez-vous ? Il est évident que je vais débloquer des fonds, la procédure est déjà en marche.

Il ne manquerait plus que cette vieille bique de Granny vienne se plaindre. Regina n’avait-elle pas risqué sa propre vie pour sauver son maudit restaurant aux lasagnes surgelées des ogres, et par extension préservé la ville ? Elle portait encore des hématomes un peu partout suite aux coups et chutes qu’elle avait essuyé, sans parler de cette immonde odeur de chair brulée et en putréfaction qui émanait du plus gros monstre et dont l’ancienne reine avait l’impression qu’elle avait établi domicile dans ses narines. Elle soupira avant d’avaler une gorgée de café.

-Je me suis également occupée de son assurance, elle semblait trop bouleversée pour s’en charger. Donc ne vous en faites pas, le dinner préféré des habitants fera peau neuve rapidement.

Alors qu’elle sirotait son café, Allan répondit à sa question, en décrivant la journée-type d’un pompier à Storybrooke. Madame le maire hocha la tête, il n’avait en effet pas le temps de s’ennuyer. Puis il lui posa la même question, ce qui la fit sourire. Il s’attendait certainement à entendre qu’elle n’en ramait pas une de la journée.

-Vous vous ennuieriez, mes journées sont moins sportives que les vôtres, du moins physiquement parlant. Mon job consiste à s’assurer que le bon déroulement des choses soit maintenu, ainsi que l’ordre en ville. C’est beaucoup de paperasse, parfois des visites sur le terrain, des prises de décisions, des rendez-vous, des appels téléphoniques … Sans compter les personnes qui me prennent pour le bureau des plaintes.

Sans parler des événements qu’elle essayait d’organiser pour divertir les citoyens, et qui ne se soldaient pas toujours par une réussite, hélas…

-Et avant de commencer, j’emmène Roland à l’école. Enfin, plus pour très longtemps, il a décrété qu’il était assez grand pour prendre le bus avec Henry, alors mon travail de chauffeur pour enfant risque de prendre fin sous peu… ajouta-t-elle avec un petit sourire attendri.

Son regard s’était illuminé lorsqu’elle avait évoqué Roland et Henry. Elle les aimait tant.
Allan avait évoqué la sécurité de la ville pour laquelle les habitants de Storybrooke s’inquiétaient.

-Sans pour autant dire qu’il n’y a pas de souci à se faire, je dirais qu’il est inutile de s’inquiéter outre mesure. Je vais moi-même aller dans notre monde pour voir de quoi il retourne.

Elle faisait bien sûr allusion à la mise en garde qu’ils avaient reçue le soir de l’attaque du Granny’s. Bien sûr que Regina aussi s’inquiétait, mais le dire ou le montrer ne ferait qu’accroitre l’angoisse des citoyens, alors elle faisait bonne figure, tout simplement. Ca aussi, ça faisait partie de son travail.


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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyMar 20 Sep - 9:18

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Allan jeta son gobelet dans la poubelle. Bien sur qu'il pouvait prendre la place de Régina. Sans aucun problème même. Et il serait le meilleur des meilleurs maires c'était évident. Il n'y avait même pas à se poser la question. Mais c'était de la triche! Elle avait voulu être Maire, il fallait qu'elle y reste! Et puis en plus qu'est ce qu'elle aurait bien pu faire d'autre ? Condamner l'Evil Queen au déseuvrement c'était bien risqué. Ah si, elle aurait pu être responsable du comité des fêtes et organiser un tas d'èvénements dont elle avait le secret.

- Allons Régina soyons sérieux!

Et la voilà à se justifier. Allan retint un sourire en coin. Sans le vouloir il l'avait poussée et voyait de quel bois elle se chauffait. Et c'était intéressant, trés intéressant même. Mais il convenait d'apaiser les choses. Elle se trompait sur l'opinion qu'il avait d'elle.

- Ai-je émis un seul instant l'idée que vous ne feriez pas ce qu'il faut pour aider Granny ?

Ca ne l'avait même pas effleuré d'ailleurs.

- En revanche j'ai affirmé que vous ne penseriez pas à le mentionner.

Et il savait qu'il avait tout à fait raison. Comme toujours!

- Je vous apprécie. Vous rendez heureux mon ami et je vous en suis gré. Simplement-et ne le prenez pas mal- j'ai été un des conseillers du plus grand des rois et du plus grand des voleurs. Et vous savez ce qu'ils avaient en commun ? Ils étaient aimés et soutenus. Pas seulement par leur actes mais aussi parce qu'ils le montraient et qu'ils savaient déployer leur "charme". Tout le monde aurait pu mourir pour eux !  Alors ne vous braquez pas pour une suggestion toute simple.

Il continua

- Vous me demandez pour qui je vous prend ? Je vous prend pour quelqu'un de très impopulaire qui n'est pas regardé à sa juste valeur. Et ça ne changera pas tant que vous ne mettrez pas en valeur le mal que vous vous donnez pour Storybrooke.

Allan jouait franc jeux. Il n'ajouta toutefois pas que ses tentatives maladroites de bal et de speed-dating n'arrangeaient pas les choses. Régina n'était pas du tout à sa place lorsqu'elle essayait de se transformer en saltimbanque ça crevait les yeux. Il aurait mieux valu qu'elle délègue ça à quelqu'un d'autre comme la petite Louise. Il l'écouta parler de ses journées et de la paperasse qu'elles comportaient. Ca ne devait pas être drôle tous les jours.

- Ah les plaintes ! Je crois que personne ne peut y échapper hélas. Et votre travail est autant intellectuel que le mien est physique finalement.

Il ne suggéra pas d'ouvrir un service exprès pour qu'elle puisse se décharger des doléances les moins importantes et être un peu plus tranquille. Elle le prendrait certainement mal...encore ! Cette femme aimait passionnément Henry et Roland.

- Je ne connais pas trop Henry mais il m'est arrivé de nombreuses fois de chanter des berceuses à Mini Robin lorsqu'il était tout bébé. Si j'essayais encore je pense que je me ferais jeter!

Il sourit en se rappelant de sa propre pèriode pré-adolescence. Quant on voulait devenir un homme on devait se passer de certaines délicatesses. Enfin Régina lui parla de son intention d'aller faire un tour dans le monde des contes. Bonne idée!

- Je tiens à faire amande honorable puisque je vous ai froissée tout à l'heure. Emmenez-moi avec vous je mets ma vie à votre service!

C'était son devoir de chevalier courtois et courageux. Il plissa légèrement le front.

- Concernant l'aspect sécurité de Storybrooke, me permettez-vous de faire une suggestion ?

En réalité permission ou non il trouverait un moyen de la placer sa proposition. Mais il était plus diplomate de demander avant.
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyMar 20 Sep - 18:47

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Regina avait été un peu vexée de constater qu’Allan pensait peut-être qu’elle ne ferait pas l’effort d’aider Granny. A vrai dire, elle était un peu sur la défensive étant donné que la plupart des gens, même s’ils avaient arrêté de l’insulter en la voyant passer, gardaient pour certains des doutes quant à son changement. Le pompier semblait en fait ne pas être de ces personnes et soudain, la maire de Storybrooke se sentit un peu bête de l’avoir pensé comme tel. Elle le regarda, sentant bien qu’il n’avait pas cherché à mal. Elle détourna le regard quelques secondes, le temps de boire sa dernière gorgée de café et de jeter son gobelet. Allan pensait qu’il fallait faire étalage de l’aide de la mairie pour Granny. Regina pencha la tête sur le côté en croisant les bras.

-Eh bien, voyez-vous, j’estime que je n’ai pas à me vanter des choses que je fais. Je les fais parce que je trouve ça normal. J’imagine que vous ne faites pas faire un article dans la presse chaque fois que vous faites correctement votre travail, je ne vois pas pourquoi ce serait mon cas. Si c’est pour qu’on m’accuse de me faire mousser par-dessus le marché, ce n’est pas la peine. Si Granny le souhaite, elle pourra dire à qui veut l’entendre d’où viennent les soixante-dix pour cent des fonds qui servent aux réparations.

Mais vu le peu d’estime que la mère-grand avait toujours eue pour l’ancienne méchante reine, cette dernière ne se faisait pas d’illusion. Quoi que le fait d’apprendre qu’elle avait été en première ligne pour sauver son établissement avait peut-être fait changer sa vision des choses ? Allez savoir ce qui pouvait se passer dans sa vieille caboche.

-Et je ne me braque pas, rétorqua-t-elle doucement.

Elle avait écouté le petit discours du merry-man, il ne semblait pas dénué de sagesse. Pour être impopulaire, elle savait qu’elle l’était, même si peu à peu certaines personnes commençaient à changer d’avis. C’était vraiment au cas par cas. Mais Regina ne pouvait en vouloir à personne, elle avait été mauvaise pendant tellement d’années, et même si aujourd’hui, la prise de conscience, certes tardive, la faisait culpabiliser pour toutes ses mauvaises actions, cela ne changeait rien. Allan n’avait pas tort, en soi, il fallait mettre en valeur les efforts qu’elle faisait pour la ville, seulement, Regina ne savait pas toujours comment s’y prendre, elle se contentait de faire son travail du mieux possible, essayant d’éviter les critiques.

-Mais comment ? A vous entendre, ça semble si simple. Malheureusement, ça ne l’est pas. Vous savez, les gens ne voient que ce qu’ils veulent bien voir.

Quand la conversation s’orienta sur les deux adorables enfants qui apportaient tant de bonheur à sa vie, Regina ne put retenir un sourire. Elle imaginait alors Allan chanter des berceuses à Roland, plus jeune. Elle se souvint que Robin lui avait dit qu’il ne l’avait pas vu grandir, étant donné qu’il avait passé plusieurs années dans les geôles de Nottingham, et cela l’attristait. C’était pour cela qu’il lui avait demandé si elle était d’accord pour qu’ils aient un enfant tous les deux. C’était sans compter une « légère » erreur de jeunesse qui mettait à mal ce projet.

-Eh bien j’imagine que si Roland ne veut plus qu’un adulte l’accompagne à l’école, la berceuse est hors de propos. En revanche, si vous proposiez de lui apprendre à jouer de la guitare, peut-être que ça l’intéresserait. Ah, puisque vous êtes là et que nous parlons de Roland, vous savez surement que la date de son anniversaire approche, et Robin et moi aimerions lui organiser une petite fête surprise, probablement dans la forêt, là où son père lui a construit une cabane. Est-ce que vous pourriez en toucher mot à vos amis qui l’ont vu grandir, afin que vous soyiez tous présent ? Ça lui ferait tellement plaisir.

Puis, la sécurité de la ville fut abordée. Madame le maire signala qu’elle avait l’intention de faire un petit séjour dans leur monde pour se tenir informée de la nature de la menace dont on les avait prévenus afin de pouvoir préparer sa ville si elle venait à être en ligne de mire. Allan se proposa alors de venir.

-Vous ne m’avez as froissé, Allan, il m’en plus que cela, croyez-moi, je suis plutôt habituée maintenant. Mais si vous voulez venir, je ne saurais vous en empêcher. Robin viendra également.

Voilà que le pompier voulait faire une autre suggestion. Regina se retint de lever les yeux au ciel et se contenta de sourire.

-Je vous en prie, faites, vous semblez si bien parti…

Il l’aurait ouvert de toute façon.



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Allan de Dale
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyMer 21 Sep - 9:17

Perdre une shoes c'est la loose


La situation était désamorcée et Allan se félicita d'être aussi doué. Heureusement que personne n'assistait à leur entretien ils en auraient été malades de jalousie! C'est que le pompier était un fin diplomate qui savait exactement quoi faire et quand. Et cela datait du temps où il avait été le mousquetaire Aramis. Et ça avait été plus difficile encore, car Louis XIII et sa cour étaient beaucoup moins complaisants que Régina.

- Ah vous avez raison, se venter c'est mal perçu. Mais rien n'empêche d'expliquer  que "pour compléter l'aide municipale attribuée au Granny's une grande vente aux enchères aura lieu'.

Tout était dans le choix des mots et de leur formulation. Inutile d'en faire des tonnes. Madame le Maire semblait embarrassée et ne savait pas trop comment faire pour gagner en popularité. Ce qui était compréhensible. Auparavant elle n'avait jamais eu à ce soucier de cet aspect. Heureusement elle avait en face d'elle un brillant spécialiste.

- Simple ! Il faut vous créer un entourage. Professionnel.

L'ennui c'est qu'il n'avait pas beaucoup de temps pour développer le concept. Il lui faudrait bientôt retourner à la caserne.

- Un conseil municipal. Vous connaissez parfaitement les habitants de votre ville. Nommez à des postes ceux qui vous paraissent compétents et débattez ensuite de tout ce qui touche à Storybrooke. Cherchez des solutions ensemble et tranchez. Réunions restreintes au conseil lorsque le sujet est grave et réunions ouvertes au publique quand l'ordre du jour est ludique. Vous verrez que les habitants seront contents de proposer leur aide pour installer les citrouilles d'Haloween dans la ville par exemple.

Impliquer les gens, susciter leur créativité, travailler avec eux était la meilleure solution pour montrer ce que l'on valait. Mais surtout seul on ne pouvait pas faire grand chose. C'était pour cela que Arthur avait créé la Table Ronde, que Robin avait ses Mery Men et que Louis XIII avait sa garde personnelle.

- Ne faites plus cavalier seule Régina. C'est lourd et ingrat pour vous.

C'est en toute amitié qu'il venait de faire cette dernière déclaration et en posant une main sur l'épaule de la dame. Lui-même avait beau être le meilleur des meilleurs, sans ses acolytes pompiers il aurait vite été limité. L'aspect sécurité à présent.

- Les lapins ont avoué être dépassés et inquiets. Ils n'ont plus le contrôle sur les portails magiques. Vous pouvez leur proposer, avec le concours des habitants, une aide. Un Storybrookien de garde avec chaque lapin. Ainsi les deux côtés seront sous surveillance. Et puis...on aura l'impression que vous prenez des mesures pour la sécurité de la ville. Ca réconfortera.

Diplomatiquement il valait mieux garder les lapins dans sa poche si désabusés qu'ils soient. Un large sourire se dessina sur les lèvres parfaites du beau gosse lorsqu'il apprit que Robin serait de la partie pour la mission dans le monde des contes.

- Ah ah comme au bon vieux temps !

Un sujet plus léger à présent : Roland. Le petit bonhomme plus si petit que ça. Une fête ? Cool! Lui apprendre à jouer de la guitare ? Super cool! Prévenir les potes ? Méga cool !

- Vous pouvez compter sur nous ! Roland se souviendra de son anniversaire.

Il s'en frottait les mains d'avance ! Mais il était temps à présent de retourner travailler. Ses pompiers devaient l'attendre telle la star qu'il était...
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Regina Mills
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MessageSujet: Re: Perdre une shoes c'est la loose   Perdre une shoes c'est la loose EmptyJeu 22 Sep - 20:00

Perdre une shoes c'est la loose


Si Regina avait du mal à supporter qu’on la pense incapable de faire quelque chose, elle devait se rendre à l’évidence : Allan était de bons conseils. Qui l’aurait cru ? Elle fut donc agréablement surprise par cet échange des plus constructifs. La belle brune était ravie de constater que l’homme de sa vie avait un ami aussi clairvoyant. Un conseil municipal, madame le maire en avait eu un, mais après la levée de la malédiction, les différents membres le composant n’avaient plus souhaité avoir à faire à elle et avaient préféré s’occuper de leurs petits problèmes de mémoire retrouvée. Peut-être qu’il était en effet temps de former un nouveau conseil, afin de ne plus faire « cavalier seul », pour reprendre les termes du pompier fort avisé. Regina hocha la tête pensivement. Il lui faudrait, dans l’idée, un représentant de chaque branche importante de la ville. Robin serait sans doute d’accord d’en être.

-Seriez-vous partant pour en faire partie, Allan ?

Encore une fois, il avait eu une idée brillante : placer quelqu’un de chaque côté du passage entre les deux mondes pour épauler les lapins. Bon, heureusement, Storybrooke n’était pas composée que de couards, il y avait des héros à chaque coin de rue. Les volontaires seraient donc faciles à trouver, d’autant que ça leur permettrait de retourner un peu dans leur monde. Beaucoup lui avait reproché, après la levée de la malédiction, de ne pouvoir rentrer chez eux. C’était désormais chose possible.

-C’est une excellente idée, j’en prends note et le proposerai sous peu. Merci pour vos conseils.

Voyant le sourire qu’arborait le beau pompier, il semblait ravi que son meilleur ami soit aussi prévu du voyage dans le monde des contes. Son sourire était communicatif et la maire de Storybrooke en affichait également un. Ce serait la première fois qu’elle irait de l’autre côté avec Robin. L’enthousiasme du merry-man ne fut que décuplé lorsque madame Mills évoqua l’anniversaire de Roland. Allan était partant pour faire venir ses camarades de Sherwood, ainsi le jeune garçon serait entouré de tous ceux qui l’avaient vu grandir, c’était une bonne chose, et sa belle-mère était ravie de pouvoir lui faire plaisir. Elle avait déjà pensé aux gâteaux qu’elle lui ferait, ses préférés, et aussi des glaces maison, puisque le petit archer était un vrai gourmand. Robin avait prévu de décorer entièrement la cabane qu’il lui avait faite dans la forêt. Bref, tout serait parfait pour les huit ans de l’adorable petit bout de chou.
Les deux protagonistes avaient à présent tous deux fini leur café, et chacun devait retrouver son poste de travail.

-Bien, je crois que j’ai assez abusé de votre temps. Merci encore pour vos conseils précieux, cher Allan.

Elle lui tendit la main pour la lui serrer avant de le laisser s’échapper et d’à son tour regagner son bureau, afin de griffonner les idées que le pompier lui avait suggérées.
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