Anna Sørensen – Princesse d'Arendelle

« J’aimerai bien dire que je ne sers que le nom de ma famille et ne prête loyauté qu’à notre royaume. Mais nous y voilà, on est à la merci d’un homme immense, cruel, vicieux, avec un seul bras et moche ! C’est le nouveau Roi d’Arendelle. Oyé oyé habitants tranquilles et isolés d’Arendelle. Prosternez vous devant votre tyran ! Je suis déçue, mais pour l’instant on n’a pas trop le choix. Si une occasion se présente pour qu’on s’en échappe, croyez moi que je la saisirai. Puis je vais pas trop me plaindre, il est costaud. Avoir son armée ou celle de Cora en face de nous, c’est la même chose, autant rester debout derrière l’un des deux en attendant une solution.

Ce serait bien d’en parler oui. Je me demande ce que je pense de tout ça. Je réfléchis pas trop à ça enfaite. Je me demande même si je réfléchis tant que ça. Bah oui, je réfléchis bien là. Je réfléchie à la question de ce que j’en pense…
Ca va s’arranger, c’est tout. J’y crois. L’amour est plus fort que tout _enfin je l’espère toujours. _et avec ma soeur on y arrivera. Ce n’est pas les meilleurs jours qu’on a vécu et peu sont ceux qui l’ont été. Mais on en a eu quand même ! Et je suis persuadée, je tiens vraiment à y croire. Vraiment plus que tout. Y’en aura d’autre. Il faut continuer d’avancer et persévérer. Il y a toujours une solution à tout. 

Le plus ironique dans l’histoire, c’est que je m’étais toujours dit d’avoir eu la chance de ne pas être touchée par la malédiction. Si ce n’est le morcellement de la stabilité du Monde des Contes. Puis là, où suis-je ? Dans le monde des maudits !!!! Qu’un éboulement s’abatte sur l’ironie ! »

C’est encore une grande enfant pleine de candeur qui veut toujours bien faire, mais à vouloir trop bien faire elle crée des problèmes malgré elle. Elle ne peut pas s’empêcher d’aider son prochain, de faire plaisir quitte à se mettre dans des situations délicates.
Influençable, puérile, courageuse, rieuse, optimiste, joviale, sociale, franchise qu’elle ne maitrise pas (elle dit parfois ce qu’elle pense sans le vouloir quoi !), petit caractère, curieuse (trop), régie par ses humeurs, une certaine impulsivité dans ses paroles et ses gestes, maladroite (+++) et gaffeuse, une princesse qui manque souvent de grâce et de délicatesse, brise-fer.

Elle parle souvent seule. C’est en grande partie des séquelles d’avoir parlé à travers une porte sans réponse pendant longtemps. – Elle se croit rusé, mais enfaite pas du tout. –  Elle a découvert les jeux vidéos et elle adore ça. Emma doit souvent l’arrêter ou débrancher la console pour l’y décrocher : pire qu’une enfant. Anna ne voit plus le temps passé, le vit à 200% et en plus s’énerve. Elle est violente prête à jeter la manette et insulte son personnage ou les joueurs en face. – Jeune, alors qu’on l’avait séparé de sa soeur, elle s’asseyait souvent contre la porte et lisait des histoires à Elsa. Elle lui racontait ce qu’elle avait fait de la journée, ou jouait simplement aux poupées pour faire profiter sa grande soeur. – Elle ne peut pas s’empêcher de défier sa soeur, surtout quand elle lui interdit quelque chose. – Elle ne supporte pas d’avoir une cheveux entre les doigts ou sur le visage. C’est pire encore quand c’est mouillé, parce qu’il accroche et ne s’en va jamais. – Anna n’est pas accoutumé aux sodas caféinés et donc y est très sujette. – Contrairement à ce qu’on croit elle tient très bien l’alcool. Petite pour la faire dormir on mettait un peu de rhum dans son lait le soir. Puis on la soignait au grog. – Comme c’était leur royaume, Elsa fit une dérogation pour anoblir Kristoff via son mariage avec sa soeur. Ainsi Anna ne fut pas obligée d’abandonner son titre de princesse. – La plus grande faiblesse d’Anna c’est le chocolat. La nourriture en générale : elle adore manger, à tout le temps faim et tout est une bonne excuse pour manger (fêter quelque chose, la bonne humeur, l’envie, se consoler). Mais son truc à elle, c’est le chocolat. – Les beaux garçons aussi. Elle ne résiste pas. Elle est toute émoustillée et la tête plein de rêve. Entre elle et ses pulsions, c’est ses pulsions qui gagnent. Bien sûr elle s'émoustille en toute innocence. – Anna a un grand coeur. Peut-être trop. Elle veut toujours faire plaisir et le mieux pour les gens. C’est pour cela qu’une fois un enfant désirait tellement une glace, mais il n’avait pas d’argent et surtout il n’avait que 3 ans. Anna était aussi fauchée dans sa situation à SB. Elle ne put résister face à la frustration contenu du petit garçon. Anna demanda deux glaces. La première fut posée. La deuxième devint une mission. Elle fit diversion en commandant une glace et ne cessant de poser des questions sur les arômes, changer d’avis, ... L’attention du glacier occupé, elle donna la glace tout prête et fit signe à l’enfant de partir. Anna soupira et s’exclama avec un grand art de la comédie « Finalement, je n’ai plus envie de glace. Encore désolée. Merci et bonne journée » s’éclipsa t-elle sur les paroles avant même que l’homme ne relève la tête.

Anna se baladait dans le camp installé avec une rapidité qui ne cessait de la fasciner. Elsa avait préféré rester sous la « tente royale » (terme ironique qui se moquait de la famille Sorensen) pour bouder et être en sécurité. L’habitacle était entouré d’homme de main et elle n’avait pas la patience de sa petite soeur pour semer l’escorte qui leur collait à la peau dans ce genre de situation. Anna était devenue experte à ce petit jeu.
Les princesses ont vite eu marre de protester face à cette captivité en suivant le charismatique chef de meute. Anna y voyait aussi le côté positif en découvrant le monde qui l’entourait. L’alliance matrimoniale avec la famille Sorensen n’était qu’un accord basé sur la survie, les deux soeurs étaient alors plus captive qu’ami. Quand Drago se déplaçait il les emportait avec lui qu’elles le veuillent ou non (même si les débats pouvait durer des jours avec Elsa). Il préférait les avoir sous les yeux. Drago Bludvist avait pour projet de faire céder un des royaumes à cinq jours de galère d’Arendelle. Il suffisait après de refermer l’étau et ronger tout ce qui se trouvait entre ici et son nouveau pied-à-terre.

Anna avait semé son escorte dans le dédale d’armes, d’hommes et de tentes ou d’abris. Elle s’était retrouvée à un endroit plus reculé où étaient enfermés et ou attachés quelques dragons. Elle sursauta en jaugeant les plus imposants et loucha de peur sur un particulièrement massif et peu commode. Un frisson la parcourut et il fut si dérangeant qu’elle crut être seule pendant un instant, happée par sa peur. Il y avait quelques hommes qui veillaient. Anna gonfla le poitrail et essaya de se donner de l’allure mais surtout de paraitre subitement inébranlable. La chair de poule se dessinait sur ses avant-bras couverts au trois-quart.  Ils étaient appuyés aux barreaux des cages ou loin de ceux enchainés à des piquets en bois renforcés par des plaques de métal. Ils étaient enfoncés de moitié dans une terre remuée. C’était fait avec savoir et rapidité : ils creusaient un trou alors que déjà hommes et bêtes transportaient les poutres. Le conditionnement de ces dragons était d’une fascinante affliction. Anna avait l’air d’être la seule peu à l’aise et pas du tout confiante en leurs attaches. Les hommes en garde restaient à proximité des dragons. Ces derniers avait montré quelques signes d’insolence et de mécontentement. Avec simplement un pas en arrière, il sut un pas en arrière il sut écraser la tentative d’intimidation de la bête en beuglant et tapant de sa hache sur le renforcement d’une poutre. Anna papillonnait des cils d’admiration.

La première fois qu’elle en croisa un alors qu’on attaquait Arendelle, elle fut impressionnée. Or ce n’était pas aussi troublant que pendant l’occupation de Drago. Se balader aux alentours du palais et faire face à un monstre gigantesque en pleine nuit lui avait glacé le sang. Elle s’y était accoutumé, mais pas encore totalement. Elle ne se baladait simplement plus la nuit. Trop de peur, mais jamais sa curiosité ne s’éteignait. Elle n’eut même pas le temps de developper son idée que sa soeur s’opposa au fait d’essayer de monter un dragon. Son aînée ne lui laissa même pas le doute de savoir si elle voulait vraiment s’y tenter. Le sujet était clos et elle ne voulait plus en entendre parler. Anna respecta ses ordres. Pour l’instant.

Un des hommes finit par la jauger. Anna l’ignora mais il réussit à l’oppresser.
« Quoi ? J’ai même plus le droit de m’occuper ?! Je suis presque votre souveraine alors oh ! Si Drago et Elsa sont pas là, c’est moi qui décide. Un peu de respect. » se reprit-elle plus calmement voyant qu’elle exagérait un peu son ton autoritaire, peu expérimentée.

Un brouhaha arriva progressivement à l’arrière du camp. Ca remuait au centre. Les deux gardiens se redressèrent comme des animaux en alerte. Le plus rapide chevaucha un dragon, libéra le lien et disparut au dessus des tentes et arbres. Le deuxième n’eut pas le temps de réagir qu’un petit groupe d’homme débarqua et l’acheva en un rien de temps.
« Anna ! »
La demoiselle fit volte face. Sa voix, un souvenir. Elle se figea face à Hans qui lui tendait la main.
« Hans ?! trouva t-elle seulement à beugler.
_Oui, viens avec moi. Fuis Drago, on s’arrangera pour récupérer ta soeur.
_Pardon ? Genre tu viens là, c’est le bordel dans le camp, y’a des dragons et tout et tu viens avec une poignée d’homme en vainqueur ? Pourquoi je te ferai de nouveau confiance en plus.
_C’est pour garder nos royaumes, l’ennemi de mon ennemi est mon ami.
_T’es tout seul avec quelques hommes. Il a une armée de dragons, insista la princesse.
_Je ne suis pas seul, Cora est derrière moi, je la soutiens. On gardera nos terres. Allez, c’est ta chance ou jamais, appuya t-il tout le mouvement de son corps vers la main tendue.
_Cora ? Tu es aliéné. Drago ou Cora, je ne quitterai pas l’un pour l’autre.
_Fichtre ! Je vais utiliser te l’expliquer autrement : tu viens avec moi. »

Hans l’attrapa et Anna sursauta. Il commençait à la trainer. La demoiselle se débattit en pestant. Heureusement pour elle, une explosion se fit tout près d’eux. L’homme la lâcha malgré lui pour retrouver son équilibre. Les oreilles d’Anna sifflait légèrement et la vue était brouillée. Elle était tombée au sol. Quand elle retrouva ses esprits, Hans arrivait sur elle pour l’attraper, mais il n’était pas le seul. Un dragon lui donna un coup de patte et approchait de la rousse. En un rien de temps, sur ses pieds, elle sortit son poignard. Un coup de patte au sol, de la fumée hors des narines et ses jambes l’emportèrent plus vite qu’elle ne l’espérait. Hans la regarda s’éloigna et soupira. Il abandonna. L’homme n’avait pas prévu ça, mais d’avoir Anna pouvait permettre à Cora de peut-être faire pression sur Drago.

Pas trop idiote pour le coup, elle avait tenté le terrain où les arbres étaient plus nombreux. La bête ralentissait. Le souffle coupée, elle jetait toujours un oeil derrière elle pour évaluer la distance. Des bruits de bataille parvenaient du camp qui longeait cette réunion massive de végétation. Le dragon remuait le sol à chacun de ses pas qui la rapprochait d’elle. Une chaleur lui frappait le dos, le monstre décidé à tout réduire en cendre.

C’est à ce moment qu’elle le vit, une personne courrait avec agilité et rapidité devant elle. Elle le héla pour lui demander de l’aide avec toute la politesse que prêtait la situation.
« Oh là ! S’il vous plait… Par les testicules d’un renne_navré sven_ vous allez vous arrêter ! »
Elle perdait de la vitesse et soudain, la personne qu’elle poursuivait sauta dans un trou. C’était parfait. Anna se laissa tomber au sol et glissa jusqu’au trou qui ressemblait à un terrier. Ce fut tout noir. Le temps parut s’arrêter : il n’y avait aucun mouvement, aucune secousse. Elle flottait. Anna ferma les yeux et les rouvrit presque aussitôt.

La princesse se retrouva en plein milieu d’une rue éclairée de lampadaire au rayonnement fade. Le silence la cloua au sol. Elle regardait partout autour d’elle et il n’y avait plus de dragon, ni de forêt, ni de Drago… Plus de Elsa. Un sac plastique fut emporté par le vent, se froissant dans la rue vide. Au loin, on claquait la portière d’une voiture. La pauvre enfant avait sursauté à chacun de ces bruits nocturnes.

Anna se releva au milieu d’une rue si atypique. Elle n’avait jamais rien vu de tel, ni même dans ses rêves. Elle sentait sa gorge nouée et le souffle se coinçait dans sa poitrine. Ses yeux turquoises se balançaient ici et là pour comprendre chaque détail, mais c’était un tel fouille d’ignorance qu’elle sentit son coeur s’emballer. La demoiselle se retournait sur elle même, cherchant en vain une chose familière à regarder. Son chemin. Son visage se déforma alors par une grimace de fatigue et de peur, les larmes qui lui montèrent aux yeux. Soudain une voix l’interpella. Elle sursauta et sortit un vulgaire petit poignard de sa botte. L’arme fut pointé d’abord dans le vide, puis après face à une dame blonde à l’air inquiet et bienveillant.
« Tout va bien ? »
Anna tremblait de tout son être. Elle ne comprenait rien. Derrière des sanglots et une suffocation du à une crise de panique croissante, elle réussit à articuler.
« Je me suis perdue… »
Il y eut un silence où la rousse garda son arme en main, mais s’enlaça pour chercher à se réchauffer et surtout se contenir.
« Ca va aller… Suivez moi. Vous allez m’expliquer ça autour d’un café et on va faire ce qu’on peut. » lui confia ce qui n’était autre que le shérif de Storybrooke sachant ce qui se passait. Ce genre d’expression égaré sur des visages elle en avait vu assez souvent pour savoir ce qu’il en résultait.
« D’accord, mais je n’aime pas le café ! »

Dans le commissariat, Emma lui déposa une tasse de thé fumante. Souriante et fatiguée, mais souriante malgré tout, elle s’installa en face d’elle et l’invita à parler. Anna avait posé son poignard sur le bureau où était écrit le nom du shérif. Les mains sur la tasse, cela tranquillisa ses peurs. La nouvelle arrivante regardait tout autour d’elle peu confiante, ses doigts qui tapotait la porcelaine et trahissant son angoisse. Anna soupira finalement et lui demanda :
« Vous êtes sûr de vouloir tout savoir ? »
La blonde hocha la tête.

« Je viens de Arendelle. C’est très joli vraiment. Surtout si t’aime l’escalade, il y a que des montagnes. En hiver, il fait horriblement froid et en été… Bah ça passe et les journées durent plus longtemps. Sachant qu’en hiver, il fait nuit toute une semaine dans l’année. Mais sinon, c’est très joli. Alors je suis une princesse, et j’ai ma grande soeur Elsa. Nos parents étaient bons et la vie agréable. Puis…
« Tout avait changé. Arendelle avait été le lieu d’une longue histoire de pouvoir secret, de trahison, de déception et d’amour. Je me suis retrouvée au milieu de tout ça, et j’étais presque auteur de ce bouleversement dans notre petit royaume qui s’ouvrait enfin au monde.
Malgré tout, tout est bien qui fini bien et on devait vivent heureuses jusqu’à la fin de nos jour. Moi avec Kristoff, même si entre nous, on ne vient pas du même monde. Puis avec Elsa et sûrement un roi (j’étais en pleine recherche justement). Alors que la vie s’installait à Arendelle, je l’imaginais beau, charismatique, grand et ambitieux puis d’une bonté. L’homme parfait pour ma soeur. Mais, il y a eu la malédiction. Il y a eu Drago Bludvist.
« Il est grand, il est charismatique, il faut l’avouer. L’ambition, il en a tellement, qu’il n’y a plus de place dans tout notre fjord pour la contenir. Beau euh… Tout les gouts sont dans la nature hein. Enfin, il lui manque un bras quand même. Brrr, frissonna t-elle. Par contre la bonté aïe… Je la cherche encore. Je sais qu’il ne faut pas juger. Surtout moi qui me suis faite avoir par un garçon parce qu’il était beau, charismatique et me paraissait bon. Et bah il m’a laissé mourir ! Je demandais qu’un baiser d’amour. Franchement ! Enfin, je m’égare. Je disais quoi ? Concentre toi ma petite, se tapa t-elle le front. Drago. Elsa a donc fini par épouser Drago, car il était utile certes mais surtout c’était ça où il écrasait Arendelle avec ses dragons. Des dragons ! Je savais même pas ce que c’était. Je connais les trolls de pierre, les jotuns etc… Mais ça non. Maintenant, ils sont partout. Ils nous envahissent, lui, ses hommes et ses monstres.
« Fameux monstre qui m’a amené ici, enfin je crois. On était tous parti accompagné le nouveau Roi de Arendelle pour une prise de territoire à un royaume voisin. Alors moi je me serais bien passé d’y aller et ma soeur aussi, mais vous comprenez comme on est captive on avait pas le choix. Le soucis, c’est que ça devait être tranquille et fait en un bon coup de joute. Sauf qu’il y a eu le camp de Cora qui soit pas de chance on visait la même chose, soit elle contrecarre les plans de Drago, car j’avoue que… J’ai peur de Cora, mais j’ai aussi peur de Drago. Il n’est pas un ennemi à ignorer.
« Je suis poursuivie par un dragon, alors je fuis, je me perds et là j’essaie d’arrêter quelqu’un. Il a continuer et il se dérobe dans un trou dans la terre. Je me suis jetée à terre pour m’y cacher et échapper au monstre.
« Maintenant, je suis ici et je comprends vraiment rien à tout ce qui se passe » finit-elle son histoire, explosant en sanglot.

Emma en bonne personne ne pouvait la laisser là se noyer dans son désarroi. Elle poussa la tasse de thé qui n’était plus si chaude vers la demoiselle et lui proposa de la garder un peu chez elle le temps que les choses s’arrange. Ils allaient trouver quelque chose pour qu’elle reparte. Qui sait, peut-être rapidement, sinon…

Anna habitait alors chez Emma et était en apprentissage de la vie « réelle » et bien plus contemporaine que la jeune princesse ait pu connaitre. Quelle erreur n’avait pas fait le shérif. Il y avait des post-it partout dans la maison pour l’aider à vivre avec la « technologie ». Tout était si différent de son système de royauté, plus ces appareils trop ingénieux pour qu’elle en comprenne la simplicité. « Appuie sur le bouton pour qu’il fasse jour », « <- eau chaude », « eau froide -> », « Trouve un travail. », … Cela faisait deux mois que Anna était coincée à Storybrooke et aussi généreuse que pouvait être Emma, elle ne pouvait pas lui offrir la charité éternellement.