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 Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice.

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Alice R. O'Liddell
Alice R. O'Liddell


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MessageSujet: Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice.   Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice. EmptyMer 9 Nov - 23:45

are you high enough without the mary fane like me ?
Do you tear yourself apart to entertain like me ? Do the people whisper about you on the train like me ? Saying that you shouldn't waste your pretty face like me ? And all the people say "You can't wake up, this is not a dream."

Elle en avait terminé avec ses conneries avec Charlie, mais elle n’avait pas terminé la soirée. Le soleil ne s’était pas encore levé, les boîtes de nuit n’avaient pas encore annoncé leur fermeture, même Apollo-Jules n’avait pas l’air de s’être réveillé ! Parce que si ç’avait été le cas, étant donné que ce soir c’était à Alice de s’en occuper, Vael aurait sûrement envoyé un message un peu piquant. Ou alors Alice l’avait déjà envoyé chier mais elle lui accordait trop peu de crédit pour s’en rappeler. Du crédit d’ailleurs, il n’y en avait plus depuis longtemps sur sa carte de crédit. Mais elle voulait voir jusqu’à quel niveau d’alcoolémie elle pouvait toucher le fond avec ses banquiers. Elle ne prenait pas la peine de se payer des verres, elle s’offrait les bouteilles. Argent perdu pour perdu… autant avoir l’impression d’être gagnante.

Elle avait eu du mal à trouver sa route pour arriver au PsyChic. Une fois la bouteille de vodka dans le nez, tous les chemins y menaient. Mais généralement pas en une heure et demie. Alors que d’habitude elle mettait vingt minutes tout au plus. C’étaient peut-être ses arrêts à répétition pour pisser à l’abri entre deux voitures qui l’avaient ralentie. Mais elle était arrivée tout de même bien avant la fermeture. Et mieux, le gars à l’entrée n’avait même pas remarqué qu’Alice était morte. Ou alors si, mais il considérait que l’endroit manquait de femelles et que vu l’heure, il ne pourrait pas espérer en avoir d’autres en meilleur état.
Anesthésiée par tout ce qu’elle s’était enfilé avec l’autre loup-garou, elle pouvait bien boire tous les whiskies secs de la terre que ça ne lui ferait pas d’effet. Sa gorge, elle ne la sentait plus. C’était peut-être aussi à cause du froid. Mais surtout à cause de la boisson. Sa tête ne pouvait pas tourner plus vite, elle était déjà au maximum. Mais Alice souhaitait entretenir son état. Elle en oubliait presque qu’elle était fatiguée, et qu’elle avait une vraie petite famille dont elle était plus ou moins responsable à quelques pas d’ici.

Les clients défilaient sur le tabouret à côté d’elle. Ils ne restaient jamais longtemps. Pour la plupart, il était l’heure de rentrer. Le début de la vieillesse les appelait et leur rappelait qu’ils n’avaient pas la même forme que lors de leurs années lycée. Pour ceux qui restaient, c’était surtout pour un dernier verre pour la route. Ou alors ils se lassait de la désagréable compagnie que faisait la petite blondinette. Parce qu’Alice oubliait toujours que l’alcool la rendait incroyablement insupportable et collante. Dès qu’on avait le malheur de s’approcher d’un peu trop près, elle se mettait à poser des questions dont elle se fichait des réponses - la preuve, elle reposait les mêmes questions aux mêmes personnes cinq minutes plus tard. Et pire, elle se faisait très insistante pour qu’on lui paye des coups à boire. Alors des « T’as pas déjà assez bu ? » elle en reçut dans la gueule, mais pas assez sèchement visiblement pour que ça la calme. Un moment, l’une des danseuses était venue la voir, toute adorable dans son accoutrement sexy, lui proposant d’appeler un taxi. Alice l’avait renvoyée chier. Elle avait assez été virée de cet établissement pour l’année, taxi ou pas elle ne rentrerait pas maintenant. Surtout quand elle se rappelait toute l’animalerie qui l’attendait à la maison.

Un nouveau visiteur vint occuper le tabouret à sa droite. « Tu paies ta tournée ? » l’agressa-t-elle directement, sans politesse aucune. Elle ne le connaissait ni d’Adam ni d’Eve… attendez, deux secondes. Les bouclettes brunes… c’était quand même pas Vael ? Elle s’énerva un peu. Mais un coup d’oeil sur le buste de son voisin lui indiquait que ce dernier avait fait plus de sport dans sa vie que le touriste. Une examination un peu plus en détails, et Alice se dit qu’elle aurait préféré voir Vael. « Oh la putain de sa mère. » Elle chopa son verre et donna un grand coup sur l’arrière du crâne du monsieur. Dans les films, le verre se brisait et ça faisait un effet visuel sympathique. Dans les faits, le verre resta intact, son contenu se déversa sur le carrelage qu’il rendrait collant d’ici à quelques minutes, et seul un bruit dégueulasse lui annonça que le choc avait bien eu lieu. Et que pour cette fois, elle avait intérêt à avoir vu juste sur l’identité de son voisin. « J’vais te niquer. » Nouveau coup de verre sur le crâne. Toujours pas de verre cassé, toujours le même son creux. « Et tu vas pas aimer. » Elle se leva de son tabouret, instable sur ses deux pattes, presque prête à en découdre. Elle y croyait pas. Elle l'aurait presque oublié. Mais non.
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Ezio « Amour » Thatch
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MessageSujet: Re: Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice.   Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice. EmptyVen 11 Nov - 0:55

Tushma !
Alice & Ezio

Encore une nuit et une demi journée de passée dans un vieux hangar des docks à se geler les miches. C’est que le rythme de vie de Psyché était un peu difficile. Surtout s’il cherchait à vivre à côté et ne pas faire tourner tout son temps autour d’elle. Il le faudrait, car en un mois, c’était mal parti. Mais il y avait tellement de chose à voir, de filles à connaitre…. Bon au moins, il avait la mer pour s’endormir et se bercer, c’était du grand luxe. Une plage se trouvait pas loin, et lui permettait d’émerger un peu de ses durs moment de sommeil qui manquait grandement de confort. Comme il avait fait en cet fin d’après-midi. Allongé simplement dans le sable, un peu débraillé, à se demander comment tout son amas de vêtement tenait sur son corps. Est-ce qu’un seul était attaché à un bouton ou un pouvoir magique. Les cheveux en vent, il regardait les vagues s’écraser sur elle-même en enviant le confort de ses quartiers au bastion de Tortuga. Le tout en écoutant le dernier titre d’Enrique Iglesias, DUELE EL CORAZON. Il n’en était pas encore au téléphone portable, mais un ipad ça ne relevait pas du génie. C’était assez simple pour lui de mettre de la musique. Une fille un soir qui le lui avait fait écouter et il était simplement reparti avec. Un simple jeu de main inconscient. Puis c’était tellement étrange. Ca changeait des tourne-disques de Grey Cloud. Puis ce son si entrainant et addictif, tellement moins recherché de ce qui pouvait bien se chanter dans les tavernes ou sur le pont d’un bateau ou à l’opéra. Il avait connue une chanteuse d’opéra, mais c’est encore une longue histoire. En soit aucune qualité. Mais ça le consolait tout seul sur cette petite plage de village.

Et le soir, il se rendit au Psychic. Une chance le gorille de vigile n’était pas là, il avait peut-être une chance de l’atteindre – car Psyché était une fille très occupée maintenant – et d’échanger un petit peu. Il avait eu droit à un échange un soir en fin de nuit, ou début de la matinée. Il l’avait aidé à ranger le club tout en discutant. Ce fut intéressant et agréable. Elle se faisait appeler Grace ou Nana. Il était toujours aussi subjugué par ce regard qui ignorait son visage. Elle n’avait pas l’air perturbée d’un pouce. Depuis, rien. Un sourire de loin, un ou deux mots, pas plus, à la volée, ne prenant même pas la peine de poser une main sur son épaule, ou encore même ses yeux sur lui. Puis quand le vigile était là, c’était limite s’il entrait dans le boite ; quand il marchait à ses côtés dans la rue, à changer de trottoir. Il avait commencé à s’asseoir à une table en regardant les numéro de défilage se succéder avec finesse et une bouteille de rhum. Elle travaillait ce soir. A se demander si elle se reposait, elle était là tout le temps. Et l’autre aussi malheureusement. Le seul moment où il avait réussi à l’hameçonner entre deux verres et paroles échangés avec une des danseuses du club, elle partait du club en trombe. Elle avait juste eu le temps de gentiment, mais aussi un peu sèchement lui faire comprendre qu’elle n’en avait pas pour lui. Qu’il était même un peu lourd, si on se fiait à la condescendance de son ton. Il était à peine deux heures du matin. Tant pis, il était là autant profiter un petit peu.

Une deuxième bouteille de rhum plus tard, il avait continué de profiter des spectacles, chercher un peu de tendresse – mais en vain, même lui n’en voulait pas tant que ça – se faire plaisir aux yeux et se motivé à aller au boire. Une troisième bouteille. Il se pencha sur le bar et héla le barman. Puis lentement et maladroitement ses fesses arrivèrent à trouver une place sur le tabouret. Avachi sur le comptoir, il attendait sa commande. C’est que ce fut un vrai parcours du combattant d’arriver jusqu’ici entre tous ces gens, ces serveuses si peu vêtues, et les tables, puis d’autre chose qu’il n’avait su identifier en chemin. Soudain, il fut complètement sonné. Un vieux « tong » résonna dans son crâne. Ezio avait bondit et porta instinctivement la main là où la douleur commençait à répandre jusqu’à ses pieds. Il voulut comprendre ce qui venait de se passer, mais voilà qu’un deuxième « tong » vint le percuter. « HO ! » beugla t-il en finissant par trouver sûrement l’origine des deux troubles qui venaient de le rencontrer avec violence. Il avait la blonde par l’écharpe et la la tenait à une longueur de bras. De l’autre main, il attrapa le verre et l’explosa sur le comptoir. Là, il se brisa enfin. « Ca va pas merde ! T’as un prob- oh bordel !!! » changea t-il de ton en la voyant. Il lâcha brusquement Alice avant de se cacher par instinct le visage avec le col de sa veste, le coude sur le bar et regardant dans la direction opposé. Avec de la chance elle ne l’avait pas reconnu. Une idée idiote causé par la peur, car il s’imaginait bien que si elle lui avait donné des coups de verre ce n’était pas simplement parce qu’elle était devenue folle. Il ignorait qu’elle avait fini dans un asile, sinon il aurait vraiment cru pouvoir s’en sortir en se défilant l’air de rien. Et puis qui ne tentait rien n’avait rien. Surtout qu’il n’avait aucune idée. Il descendit en trombe de son tabouret et partit. Mais il revint, posa un billet attrapa sa bouteille de rhum et reparti.

Ouais, je me suis barré, mais qu’est-ce que je pouvais faire ? Lui dire que j’étais désolée. Non parce que si elle me frappait pour ce que je lui ai fais, je pense clairement que ça ne suffira pas. Et au pire, si j’ai de la chance, elle a juste des doutes et… ou je la joue au bluff et je dis qu’elle n’est pas celui que je pense. Je pourrais faire comme Psyché et me faire passé pour totalement quelqu’un d’autre… Merde… Et si c’était ça qu’elle faisait ? Elle jouait le jeu pour que j’arrête, car les choses sont trop difficile à dire. Après cette réflexion interne, il s’était arrêté net, pensif et vidé un instant de tout espoir. C’est alors qu’Alice le rattrapa et il se retrouvait face à face. Il la fixait droit dans les yeux, coi. Tout allait trop vite dans sa tête. Il était incapable de réfléchir ou même de bouger. Quoi faire ? Que dire ? Une diversion et vite ! « Je suis désolé ! » finit-il par lâcher dans la panique, presque dans un gémissement avant de mourir. Il n’avait pas trouver mieux. Et s’il faisait semblant d’être quelqu’un d’autre et ne pas la reconnaitre, c’était rendre réelle cette possibilité de la part de Psyché... Il levait ses mains devant lui, la bouteille dans l’une, à la fois coupable et prêt à se protéger s’il y avait une nouvelle collision.
acidbrain


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Alice R. O'Liddell
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MessageSujet: Re: Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice.   Have you bought a hundred dollar bottle of champagne like me ? - Ezio&Alice. EmptyDim 18 Déc - 18:58

« Putain ça sonne creux ! » Elle regarda le verre intact, puis l’explosa à nouveau contre le crâne de son ennemi juré - elle avait trop d’ennemis par contre, il faudrait vraiment qu’elle en descende quelques uns, un de ces quatre. Le verre ne bougea pas, par contre la cible oui, et celle-ci se retourna contre la chasseuse. Alice regretta d’avoir un peu cherché le molosse. La dernière fois qu’elle avait emmerdé un gars de sa carrure, celui-ci lui avait plongé la tête dans la cuvette des chiottes à trois reprises pour la calmer un peu. Et ça avait marché. Cette fois, il s’arrêta dans son élan. Il avait dû se souvenir qu’il l’avait laissée un plan à un moment donné, dans sa vie. Il la lâcha, elle s’éclaircit la gorge et retrouva la parole. « Ouais… bordel. Comme là où tu m’as laissée, » cracha-t-elle alors qu’il fit mine de ne pas la connaître. Alors qu’il tentait de se faire tout petit. Elle le poussa du tabouret. Ou c’est le tabouret qu’elle poussa. C’était plutôt ça. Vu l’état de ceux-là, un coup de pied bien placé pouvait virer le cul qui était posé dessus. Ou alors c’était lui qui était descendu tout seul… ce qui était sûrement l’hypothèse la plus probable, malgré l’état du tabouret. En tous cas, il ne lui reprocha pas de l’avoir fait descendre contre sa volonté du tabouret. Il partit juste. Et Alice crut que c’était tout. Que le seul moment où elle pouvait passer ses nerfs sur l’une des personnes qui avaient contribué à ne pas lui rendre la vie facile était terminé. Elle resta un peu con. Dans sa tête, ces scènes-là étaient un peu plus spectaculaires.

Puis il revint, récupéra une bouteille, et Alice fit la chose la plus censée qu’elle avait pris l’habitude de faire dans ce genre de situation : elle suivait la bouteille. Et l’autre bouclé avec - elle avait vraiment la poisse avec ceux qui portait ce genre de chevelure. Elle marchait en faisant de grands pas. Aussi grands que sa petite taille pouvait le lui permettre. Avec un peu d’efforts, elle réussit à rattraper le traître, et le poussa un peu pour lui signifier sa présence derrière lui. « Ah t’es désolé, alors ça change tout ! » Désolé de m’avoir laissée me démerder quasiment seule aux Cygnes, désolé que s’il avait été là, je n’aurais peut-être pas fini mon séjour du Monde des Contes dans un hôpital psychiatrique, je serais peut-être mariée avec l’homme le plus parfait du monde et je n’aurais pas à partager ma chambre avec une naine folle. Ou une chèvre, peu importe ce que c’est. Elle attrapa la bouteille des mains d’Ezio, comme elle avait l’habitude de le faire avec presque tous ceux qui portait une bouteille de rhum dans les mains, la débouchonna et en but le premier quart goulûment. « En plus tu reviens trop tard, maintenant je suis mariée ! » Elle agita la main avec la bague. Dans son film, le pirate revenait pour lui refaire une demande en mariage, et elle lui mettait une claque en pleine figure en lui annonçant la nouvelle. Dans cette situation, elle se dit qu’il avait peut-être juste dû oublié la prostituée qu’il avait fréquentée quelques temps avant de reprendre la mer sans souci. « Et lui il ne m’a pas fait une demande dans le vent… » Elle le regardait méchamment. « Bon OK, c’est peut-être parce que c’est moi qui l’ai demandé en mariage, mais il m’a pas laissée dans la merde ! Il vit dedans… » Là, elle regrettait vraiment de s’être autant engagée avec le touriste. Si elle avait attendu, ne serait-ce que quelques mois, elle aurait eu une chance de reprendre avec l’Amour là où ils s’étaient arrêtés… Mais attends… Elle dégaina sa main, et la plaqua avec force, à deux reprises, contre la joue du traître. « La première c’était pour le bordel, la deuxième c’est pour avoir brisé le verre que je devais faire exploser contre ton crâne. Maintenant, les explications. Et les excuses. Tout plein d’excuses. Et des cadeaux. Pour nos fiançailles ratées. Tu dois te rattraper. » Et elle leva la main en guise de menace.
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