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 true love's tears.

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merry little voices clean and strong.

Giselle Rosenberg
Giselle Rosenberg


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MessageSujet: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 1:17


Giselle Bothwell-Rosenberg.
trois pas en avant, deux pas en arrière.



Nom, Prénom(s) : Longtemps, ça a juste été Giselle. Puis elle a enfin eu un vrai nom de famille quand elle a appris la vérité sur ses parents. Rosenberg, le nom de la famille royale de Corona. Ça en jette, hein ? Mais elle n'est pas l'aînée à quelques minutes près, tout revient à Raiponce, donc ça ne sert pas à grand chose. Puis il fut un temps où elle a connu les joies du mariage. Bothwell fut son nom pendant trop peu de temps. Mais nous y reviendrons. Encore une fois, il n'est pas encore temps d'aborder le sujet, mais il y eut aussi un temps pendant lequel elle se faisait appeler Clara Oswald. Oui, comme dans une série connue. Mais je n'ai jamais dit qu'elle avait de l'imagination.
Âge : La jeune vingtaine en apparence, ça fait pourtant près de cinquante ans qu'elle erre parmi nous.
Date & Lieu de naissance : Giselle est née dans le royaume de Corona dans le Monde des Contes, un 24 septembre.
Conte : Il était une fois, mais il semblerait surtout qu'on ait oublié son rôle dans l'histoire de Raiponce.
Personnage : Elle est Giselle. Tout court. Ou la soeur jumelle de celle qui ne va jamais chez le coiffeur.
Orientation & Statut : Mariée à un prince mort. Amoureuse de Harris parce qu'elle pense toujours que son mari vit en lui. Mais veuve dans l'ensemble, sinon.
Groupe : L'écrivain malgré elle. Elle est consciente des tensions et des camps dans le Monde des Contes, elle sait qu'elle en fait partie, mais elle sait aussi qu'elle a le cul entre deux chaises. Elle travaille pour le peuple de la mer, elle croit, mais officiellement elle est aussi du côté de Drago et de ses grosses bêtes. Mais surtout, elle est libre de faire ce qu'elle veut, puisqu'on ne veut pas d'elle.
Un camp en particulier : Plutôt celui de Drago, parce qu'elle aime bien les appartements que lui laisse la reine d'Arendelle. Et puis elle a mis un paquet de temps à les décorer. Après elle aime bien Mérida, mais Giselle a un peu l'impression que la rouquine l'a oubliée. Ça fait déjà un moment qu'elle n'a plus eu de ses nouvelles.
Pouvoirs : + Enjôlement et communication avec les animaux : Généralement par le chant, et elle se sert des petites bêtes pour faire le ménage ou lui apporter des champignons, des fois elle demande gentiment aux chevaux d'éviter de la faire tomber quand elle est en selle. Elle pourrait faire des trucs de fou avec ce pouvoir, mais elle se contente que du pratique, faut pas pousser.
+ Don de beauté par le chant : Une capacité qu'exploitait la Mère Gothel au maximum. Les effets sont souvent que temporaires, ils ne durent jamais plus de deux semaines.

FEAT sarah bolger.



Que penses-tu de la politique actuelle des choses ?
Es-tu au moins au courant de ce qui se trame ?
Euuuuh. Ben que c'est la merde, comme d'hab. Pour le côté politique, je le laisse à Drago. Et à Elsa. Surtout à elle, parce qu'elle ne veut pas qu'on oublie que c'était elle la première qui portait la couronne à Arendelle, quand même. Pour le reste, de ce que j'en sais... c'est la merde. Et si je n'étais pas en mission pour Mérida, je serais sûrement retournée à Storybrooke, blottie contre un chauffage sous un plaid Frozen - faute de trouver des produits dérivés à mon effigie, j'achète ceux de mes cousines.

Il me semble qu'il y a une histoire avec Cora. Et la mer. Je crois que Drago est censé être notre ennemi, mais il a l'air d'être de mon côté. En tous cas c'est censé être l'objectif, parce que je suis une espionne. Puis y a de grosses inquiétudes dans le Monde des Contes en ce moment. Je ne parle pas des trois grosses armées que l'on devait se coltiner de base hein. Je parle de cette puissance supérieure, de celle-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-parce-que-de-toute-façon-on-en-sait-pas-grand-chose-à-son-compte. Bref, Storybrooke c'est vraiment une belle destination pour vos prochaines vacances. J'ai toujours un semblant d'appartement là-bas, je peux le mettre sur Airbnb si ça intéresse des gens.


Anecdotes & Caractère

Elle arrive à endormir les dragons grâce à son pouvoir en leur chantant des berceuses + Son look est un mélange étrange entre la mode de son monde et celle de Storybrooke + Elle a de plus en plus de mal à se servir de ses mains, surtout les premières semaines après ses retours de Storybrooke + Elle va souvent dans la ville des maudits, pour ramener à Arendelle tout un tas de conneries de la vie quotidienne du Maine, devenus indispensables pour elle + Ce qui l'emmerde le plus dans le Monde des Contes, c'est de ne pas pouvoir profiter de son compte Netflix + Dans les salles d'Arendelle, elle cherche toujours les interrupteurs + Elle refait régulièrement son stock à Storybrooke pour éduquer les gens d'Arendelle et lancer la mode de la civilisation + Elle a pris pour amoureux Harris, persuadée que l'âme de son défunt mari vit dans son corps + Elle porte des vêtements mi-Monde des Contes, mi-Storybrooke. Il n'est pas rare de la voir avec des converses et une robe d'époque.



Pseudo : slitea toves.
Prénom : Laurie(fice).
Âge : Tu vois ce moment où tu te rends compte que t'as un cheveu blanc ? Ben je suis plus jeune.
Loisirs : Raclette. Viande. Fajitas. Sushis.
Crédits de la fiche : tumblr, tumblr, tumblr. (à répéter très vite et plein de fois)
Code du règlement : Validey posey dans mon canapey !
Que penses-tu de NKL ? : Couillère !
Besoin de parrain/marraine ? : Oui Please



Dernière édition par Giselle B.-Rosenberg le Mar 27 Sep - 22:35, édité 5 fois
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Giselle Rosenberg
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 1:17

Il fut une fois.
the past is in the past.

High hopes.
it takes me back to when it all first started.
Elle ouvre l’épais ouvrage. Les contes des frères Grimm. Il traînait dans la bibliothèque. L’institutrice y stocke toutes les histoires qui devaient aider à dormir les enfants desquels elle s’occupe. Il n’y a pas la sienne. Elle sait qu’un film lui fait honneur, mais même les souris Disney n’ont pas pu l’exploiter. Une histoire de respect de l’image de l’actrice. Elle s’égare. Elle préfère commencer par le commencement.

« Il était une fois… des grands-parents. Il faut bien commencer l’histoire quelque part, et celle-ci doit remonter un peu dans le temps. On ne va pas s’attarder sur les grands-parents paternels de Giselle. Mis à part le fait que ce soit la famille royale de Corona, il n’y a encore rien d’extraordinaire à raconter à leur sujet. On va se concentrer sur les pauvres gueux qu’étaient les parents de la mère de Giselle.
Il était une fois une maisonnette perdue au beau milieu de la forêt. Il était une fois un jeune couple à l’intérieur de celle-ci, aussi pauvre que leur demeure. On crevait la dalle dans cette maison, mais la seule préoccupation des jeunes gens y habitant était l’impossibilité de madame à tomber enceinte.

Heureusement, on pouvait toujours s’arranger avec la voisine, même si c’était déconseillé. Les relations de voisinage n’étaient pas forcément mauvaises – il n’y en avait tout simplement pas – alors on décida d’aller la voir. Après avoir essayé toutes les plantes du monde, rien n’y faisait, le vendre de mademoiselle ne s’arrondissait toujours pas. Bref, je disais. La voisine. Le reste du village – c’est-à-dire les trois autres personnes perdues ailleurs dans ce coin de forêt – n’aurait jamais mis les pieds chez cette femme. On disait qu’elle usait de la sorcellerie. Moi j’ai envie de vous dire, si je devais me méfier d’elle, ce serait sur l’efficacité de ses pouvoirs. Parce qu’elle avait beau être sorcière, la voisine avait quand même juste quelques planches intelligemment disposées pour lui servir de maison. Oh, et un jardin. Et elle ne devait pas manger plus élaboré que des soupes de poireaux ou de champignons… Bon, la suite.

La voisine avait été très arrangeante. Quelques herbes, une petite recette de soupe et pouf ! La mamie de Giselle est tombée enceinte. Ce que la mamie ne savait pas, c’était que la voisine avait déjà fait tout un plan dans sa tête. On ne paie pas la magie avec des remerciements.

La grossesse s’est bien passée dans l’ensemble. La vie continuait, on prévoyait l’arrivée d’un nouveau membre, d’une nouvelle bouche à nourrir. Jusqu’au jour où la jeune femme tomba malade. La maladie du désir. Le désir de ces beaux fruits dans le jardin de cette sorcière de voisine. Est-ce qu’elle s’en rendrait compte si, à la nuit tombée, on lui en prenait quelques uns ? Bien sûr que non, qu’ils s’étaient dit ! Alors le garçon avait enjambé la cloture pour en ramasser deux ou trois. C’était une mauvaise idée que de contenter son amie. Car si il n’eut aucun souci pour le vol, l’état de sa femme s’empira. Plus les jours passaient et plus elle crevait d’envie de goûter à nouveau à ces merveilleux fruits, plus elle mourrait à l’idée de ne plus pouvoir en manger. Alors on retourna dans le jardin de la voisine pour remplir un peu l’estomac de la capricieuse. Mais cette fois on n’eut pas de chance, la sorcière n’avait pas été dupe. Chopé sur le coup, il fallait sévir. Et puisqu’il fallait payer un prix, et qu’on n’avait pas de sous, il fallait payer avec quelqu’un. C’est comme ça que monsieur a vendu son enfant à naître à la personne la moins fréquentable des environs. Je vous laisse imaginer la scène de ménage quand il a fallut annoncer ça à madame.

Bref, trois semaines plus tard, une petite fille toute fripée et toute ensanglantée voyait le jour. Ses cris avaient dû alerter la voisine, car elle ramena sa fraise rapidement. Et le prix doit être payé. L’enfant fut alors sienne avant même que la mère ait eu le temps de la prendre dans ses bras. La sorcière l’appela Raiponce. Les raiponces, ce sont les fruits que le bonhomme a ramené à sa femme. Et donc, c’est une belle vie de famille qui commençait. Avec une gamine qui passerait toute sa jeunesse seule enfermée dans une tour coupée du reste du monde. »

Raiponce, Raiponce, déroule ta chevelure !

« Ce refrain, ma grand-mère l’avait souvent entendu. Car tout en haut de la tour dans laquelle on l’avait placée, il n’y avait ni porte ni escalier. Pour visiter la jeune fille, il fallait passer par l’unique fenêtre, et grimper en aventurier grâce à ses longs cheveux - le coiffeur coûtait trop cher, on ne les avait jamais coupé. Ou alors c’était justement pour pouvoir monter la voir… Bref.
Un jour, un prince vint chasser pas très loin de chez Raiponce. La légende raconte qu’il l’aurait entendu chanter, il aurait suivi sa voix et aurait aperçu dans l’encadrement de sa fenêtre cette charmante jeune femme. Au même moment, la sorcière arriva. Le prince se cacha, et observa en silence ce qui suivit. Comme à son habitude, la sorcière grimpa en s’aidant des cheveux de sa fausse fille, et resta juste le temps de lui apporter de quoi grignoter. À peine fut-elle repartie que le prince fit le même cinéma, et demanda à son tour à Raiponce de dérouler ses cheveux. Cette dernière devait être un peu stupide - et sourde pour ne pas reconnaître la voix de sa chère mère. Et dis donc, tiens donc, elle rencontra un prince charmant ! De là commença une belle romance… jusqu’à ce que la sorcière ne l’apprenne, parce que Raiponce dans un moment de faiblesse lui avait tout confié. La Mère Gothel retrouva le prince pendant l’une de ses parties de chasse, et le rendit aveugle. Pour celle qu’elle avait élevé comme sa fille, elle lui offrit un destin plus cruel. Elle coupa ses cheveux et la condamna à l’exil dans un monde qu’elle n’avait jamais connu que depuis sa fenêtre. Il n’y avait personne pour l’aider, et il serait difficile de trouver quelqu’un : il n’y avait que de la flore autour d’elle pour seuls éléments vivants. »

« Mais tout est bien qui finit bien, car les tourtereaux se retrouvèrent bien des années plus tard, toujours grâce à la voix de la demoiselle. Demoiselle qui fit couler deux larmes de bonheur lors de leurs retrouvailles. La première roula sur la joue de son prince, à qui elle fit retrouver la vue. La seconde s’écrasa à ses pieds, là où quelques jours plus tard poussera une fleur unique et convoitée, mais surtout jalousement gardée par la même sorcière.
Pour le reste, ils vécurent heureux… et eurent deux filles. Plus tard. »





Dernière édition par Giselle B.-Rosenberg le Mar 27 Sep - 22:25, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 1:17

Histoire
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Our time is running out.
MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES - MONDE DES CONTES
« En fait, ils eurent beaucoup de mal à donner à leur peuple un héritier. Le mariage avait été célébré il y avait déjà des années que le ventre de la nouvelle reine ne grossissait toujours pas. Roi et reine commençaient à perdre espoir, peut-être qu’élever un enfant, ce n’était pas dans leur destin. Pour le royaume ils ne s’inquiétaient pas. Même s’ils n’assuraient pas leur lignée, on trouverait toujours un cousin éloigné pour prendre les rennes du pouvoir une fois que Sa Majesté aura trépassé. Mais il leur manquait un enfant pour être épanouis, c’était dans la suite des choses quand on s’aimait. »

« Bonne nouvelle, leur désespoir ne fut pas éternel et bientôt le ventre de la reine Raiponce prit en volume ! Cela allait même au-delà de leurs espérances, car on appris bien vite que deux petits êtres avait élu domicile dans le ventre de leur mère. Tout allait pour le mieux, on voyait de nouveau la vie en rose, on vivait à nouveau sur de petits nuages. Jusqu’à ce que le temps passe et que la reine en arrive presque à la fin de sa grossesse. Comme sa mère biologique avant elle, c’était toujours la fin de la grossesse qui apportait malheur. Raiponce tomba malade, le genre de maladie que les médecins du château disaient incurable. On s’attendait à devoir porter le deuil, et pour la reine, et pour les enfants qu’elle portait encore. Il n’y avait pas de remède… jusqu’à ce que l’espèce de sorcière de Corona - car c’est le nom du royaume - vint promener le contraire. Désespéré le roi envoya des hommes écouter ce qu’elle avait à proposer.
Il s’agissait d’une fleur. Unique, lumineuse, magique. La seule cure qui pourrait guérir la reine et les princesses à venir. Elle était difficile à trouver, car il n’y en avait qu’une dans tout le pays, et il fallait faire vite car le temps leur était compté. Voilà toute la difficulté de se procurer l’antidote. Dans sa bonté, la sorcière ne réclama même pas de récompense pour les informations qu’elle fournit. »

« Alors le royaume reprenait vie. Il le fallait bien, car maintenant il fallait envoyer des hommes chercher le dernier espoir qui sauverait leur reine et son ventre rond. Des petits groupes furent envoyés aux quatre coins du pays, on leur demanda de vérifier chaque plante, même celles qui seraient difficiles à atteindre. Il fallait passer la forêt au peigne fin, ne pas épargner les demeures et les jardins.
Et enfin, alors que la fin s’était rapprochée pour la reine, on trouva près d’une maisonnette qui semblait abandonnée au beau milieu des bois, la fleur. Il n’y avait pas besoin de vérifier qu’il s’agissait bien de la plante recherchée, car elle dégageait assez de magie et de lumière pour ne pas être confondue avec les fleurs ordinaires. On n’attendit pas pour l’emmener au château, quelqu’un en avait rapidement besoin. »

« Voilà comment la reine guérit et ses enfants à naître avec elle. Cependant, il y avait trop de magie dans la fleur. Une fois la santé des trois êtres malades rétablies, la plante fournit le reste de ses pouvoirs aux deux enfants. Et pendant ce temps-là, toujours au beau milieu de la forêt, une sorcière que nous connaissons assez bien maintenant constatait la disparition de sa chère fleur, celle qui lui avait redonné jeunesse et éclat pendant des années, jusqu’à ce que le couple royal vint se mêler à une magie qui ne les regardait pas. Elle se mit donc en route vers Corona, pour récupérer son bien. »

« Deux jeunes filles virent le jour alors que l’automne commençait à peine à installer. Les feuilles des arbres s’étaient déjà teintées de doré, mais les températures étaient encore douces et le soleil réchauffait encore de ses derniers rayons les pavés du village. La première-née héritera de la couronne, du trône, et prit déjà le prénom de sa mère. Elle avait les cheveux un peu long pour ses jeunes jours, et de la même couleur que la fleur qui les avait toutes sauvées. La deuxième hérita elle du prénom de la mère du roi, Giselle, elle serait la deuxième prétendante au trône et pourra espérer un bon mariage avant qu’elle n’atteigne l’âge adulte. À elle, c’est sa voix qu’on remarqua en premier. Déjà gazouillante, il y avait une certaine mélodie dans les sons qu’elle émettait.
Les parents étaient les plus comblés du monde. Ils venaient d’obtenir la seule richesse que même tout un royaume ne pouvait lui offrir. »

« Leur bonheur fut toutefois de courte durée. Je vous le rappelle, la mère Gothel était en route pour le château. Une fois la troisième nuit des princesses arrivée, elle entra dans les appartements royaux sans même qu’on ne la remarque, protégée par les ombres et par les étoiles cachées derrières les épais nuages. Elle eut beau cherché, dans aucun des vases de la demeure elle ne trouva sa fleur chérie et ses pétales d’or. Elle s’attarda un peu sur le berceau des nouveaux bijoux du royaume, et surtout sur la chevelure de l’aînée, de la même couleur que le bien qu’elle cherchait. La vieille n’hésita pas plus longtemps et s’empara des deux petites, encore silencieuses et plongées dans leur sommeil. L’alerte sonna lorsque Giselle se réveilla, secouée par le coeur trop palpitant de l’inconnue qui l’enlevait.
Mais c’était déjà trop tard, car cette dernière disparue dans la nuit avec les deux souvenirs qu’elle ramena du château, et personne ne la retrouva. »



I am on my way, I can go the distance.
STORYBROOKE - STORYBROOKE - STORYBROOKE - STORYBROOKE - STORYBROOKE
« Raiponce fut enfermée dans une tour sans porte, avec une seule fenêtre. Celle de sa mère. Ce n’était pas forcément une coïncidence. Le pouvoir rajeunissant de la fleur s’était emmêlé dans les cheveux de la princesse aînée. Dès que l’on coupait une mèche, alors celle-ci devenait ordinaire. Ce pourquoi la mère Gothel n’a jamais voulu couper les cheveux de sa nouvelle fille, comme pour sa mère avant elle. Et puis elle gardait le côté pratique et original pour rejoindre la pièce au sommet de la tour en question.
Giselle fut cloîtrée dans une autre tour, perdue au coeur de la forêt dans une petite clairière bien sympathique, il faut l’avouer. Le pouvoir embellissant et enchanteur de la fleur s’était mêlé à sa voix. Elle était assez éloigné de toute habitation pour que personne ne l’entende chanter même lorsqu’elle tirait un peu trop sur sa voix. Pour elle, la mère Gothel gardait les meilleurs miels et les meilleures infusions. Mais comme son aînée, elle avait droit à la tour dont la porte était fermée d’une clé que seule la sorcière détenait. Elle avait une belle vue, mais elle n’avait que ses yeux pour en profiter.
La Mère Gothel ne restait jamais plus de quelques jours avec l’une ou l’autre de ses nouvelles filles. Elle ne pouvait pas faire de choix entre la beauté ou la jeunesse, il lui fallait le tout. Alors elle devait sans cesse voyager entre ses deux tours pour renouveler sans cesse l’éclat de sa jeunesse et réveiller celui de sa beauté. Aussi, le temps fut long de solitude pour Giselle comme pour Raiponce. Heureusement, elles étaient matériellement gâtée. Elles avaient tout ce qu’elles désiraient si elles promettaient de ne jamais parler de mettre un pied au dehors, source d’horreur et d’angoisse. »

« Et les années passèrent ainsi. Les hommes du roi de Corona étaient toujours à la recherche des deux jeunes filles, mais l’on était habitués aux déceptions. On finit par les penser mortes. Mais l’on gardait espoir qu’elles reviennent un jour.
Raiponce et Giselle grandirent, et virent que leur mère ne bougeait pas d’un poil. Raiponce s’était trouvé une passion dans la peinture et la lecture, Giselle s’était portée sur le chant et la sculpture. Elles comblaient leurs journées vides avec des rêves et des histoires qu’elles avaient lues ou s’étaient inventées. Malgré les mises en garde, elles voulaient mettre le pied sur cette herbe qui les narguait depuis toutes ces années sous leurs yeux… »

« Vous connaissez la suite de l’histoire de Raiponce mieux que moi, je pense. Le dessin-animé qui vous en a appris plus sur elle a peut-être embellit les choses. Je n’en sais pas plus. Je n’ai jamais revu ma jumelle. Tout ce que je sais, je l’ai appris par les habitants de Corona ou par mes parents.
Pour ma part, il est arrivé un jour où j’ai enfin pu connaître le monde à l’extérieur de ma haute tour. C’était l’une de ces nombreuses guerres avec les ogres. La Mère Gothel m’en parlait beaucoup, c’était peut-être la seule parcelle de vérité dans tout ce qu’elle me racontait sur le monde extérieur, dans l’espoir que cela me découragerait un peu plus à partir à l’aventure loin d’elle. Bref, peut-être que l’un de ces monstres s’était quelque peu égaré lors d’une course poursuite avec un homme, car c’est contre ma tour qu’il s’est cogné. Mes murs en avaient tremblé, mes fenêtres s’étaient brisées. Dans la peur qu’un autre accident de ce genre arrive dans les prochaines secondes, j’avais profité de l’instant de calme pour sauter de la fenêtre et m’accrocher à la branche la plus proche, à quelques mètre du bord de ma chambre. J’ai faillit mourir étalée comme une crêpe tout en bas. Je crois que j’ai eu un coup de chance. Et j’ai faillit lâcher prise quand je réalisais que je n’étais jamais allée aussi loin de chez moi de toute ma vie. »

« J’étais euphorique, jusqu’à ce que l’ogre, un peu sonné suite au choc, se redresse. Il avait repéré la jeune fille qui hurlait presque en le voyant bouger, accrochée du mieux qu’elle pouvait à une pauvre branche qui craquerait bientôt sous son poids.
Mais comme dans les films, c’est au dernier moment que son prince charmant fit son apparition. Le prince charmant, j’en avais déjà entendu parler. Gothel me disait qu’on l’idéalisait pour mieux qu’il nous attire dans ses filets, mais le peu de romans que j’avais eu le courage de lire n’en disaient que du bien. Et même, c’était généralement la fin heureuse des jeunes filles. Quand je l’ai vu arriver, j’ai su que c’était la mienne. Une jolie jeune tête rousse, sur un immense cheval. Je ne savais pas d’où il venait, je ne connaissais pas même son nom, mais ça m’importait peu. Le but de ma vie était de me marier avec lui, c’était comme ça que ça devait se passer. Je pense que lui n’avait pas d’abord eu l’intention de m’épouser sur-le-champs. Il m’avait ramenée sur son beau cheval jusqu’à ses terres, à Dunbroch, mais sûrement sans savoir quoi faire de cette femme sans souliers. Je suis restée quelques temps à Dunbroch, jusqu’à ce qu’on apprenne qu’on avait trouvé l’une des deux princesses disparues de Corona. On cherchait toujours Giselle et tiens, je portais le même prénom - si la mère Gothel avait eu l’intelligence de m’appeler autrement, on n’aurait sûrement jamais pensé que j’avais un lien de parenté avec la famille royale de Corona. Le roi et la reine vinrent au royaume de Hamish - c’était le nom de mon prince - et ils me reconnurent. Une histoire de tâche de naissance je crois, comme dans les films encore. Sauf que je sais pas grand chose de cette tâche de naissance, elle est bien cachée derrière mon oreille et même avec un miroir j’ai du mal à la voir. Après leur départ, on décida que ce serait une bonne idée, un mariage avec Hamish par exemple. Une histoire d’alliance, même si il y a aussi une histoire de cousins éloignés. Moi je voyais pour seul argument pour ce mariage l’amour. Mes véritables parents repartirent, ils me laissaient rester auprès de mon aimé. Et lui et moi nous nous mariâmes et je fus la fille la plus heureuse du monde. Jusqu’à ce que je devienne veuve à cause d’un géant… »

« De temps en temps il m’arrivait de retourner dans les forêts limitrophes à Dunbroch. Une petite lubie. J’avais envie de revoir mes amis les animaux - j’avais un peu forcé le contact avec eux lorsque j’habitais dans leur milieu naturel, mon chant leur faisait faire ce que je voulais d’eux. J’avais réussi à créer des liens, au fil du temps. »

« J’étais pourtant loin de la tour dans laquelle j’avais grandit quand une vieille dame m’apparut. Je la reconnus tout de suite. La Mère Gothel. Qui avait pris un sacré coup de vieux, par contre. Forcément, elle n’avait plus les jumelles héritières au trône de Corona pour la maintenir jeune et belle. Le temps et la nature avaient repris le dessus sur la magie. Elle me força à faire quelques pas avec elle, elle avait un marché à me proposer. Et mieux qu’un marché, elle m’évoqua la possibilité de rendre la vie à mon époux. Je n’ai pas hésité, évidemment. Il me semblait qu’on avait marché des heures quand enfin nos pas ralentirent. Elle m’emmena ailleurs toujours dans le coeur de la forêt, à croire qu’elle passait l’entièreté de sa vie à s’enfoncer toujours plus au milieu des arbres et des animaux sauvages. Dans l’espace où nous étions, les ruines d’une bâtisse avaient été recouvertes par la nature, toute trace de civilisation revenait à l’état sauvage. Seul un puit ressortait au milieu des feuillages, à la fois intrus et tout à fait intégré dans le décor, avalé à moitié par des pousses d’arbres. Un seul voeu sincère, me dit-elle. Il me suffisait de me pencher. Je m’exécutais, lui demandant ce qu’elle voulait en échange. C’était pour un marché qu’elle était venue me voir, pas pour un énième cadeau alors que je l’avais trahie. Ça marchait toujours à la récompense avec elle. Ou à la punition. Elle me sourit simplement, aucun mot ne sortit de sa bouche, mais à peine m’étais-je penchée qu’une main appuya fortement sur mon dos. Je tombais tête la première dans un puits sans fond. »



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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 1:17

Il est une fois.
release me from the present.

Ô monde cruel.
be kind to me.
« Il y avait un portail au fond de ce puits. »

« Je ne sais toujours pas si la Mère Gothel savait qu’il y avait un portail pour m’envoyer paître bien loin de sa forêt, ou si elle pensait que je m’exploserais la boîte crânienne contre un sol de pierre, en tous cas l’histoire du voeu c’était du pipeau. C’était comme ça avec elle, je m’en doutais mais je n’ai pas fait attention. Si tu vas dans son sens, elle te brosse dans le sens du poil. Si tu ne fais pas les choses comme elle t’a demandé de les faire, peu importe ton utilité pour elle, elle t’expédie. J’espère que Raiponce a de la ressource côté gardes du corps et compagnie, car je pense qu’elle est la prochaine. Si ce n’est pas déjà fait. En tous cas j’ai atterri quelque part où je ne devais pas être.
C’était une ville, mais elle n’était pas comme les autres. Beaucoup plus peuplée que tout ce qu’elle avait déjà connu, des machines inconnues roulaient et tournaient tout autour d’elle. Des lumières qui n’étaient pas allumées grâce au feu, des vêtements bien étranges, et tout un tas de petites merveilles technologiques qui me faisaient peur. »

« J’avais fait du porte-à-porte, espérant tomber sur quelqu’un qui m’indiquerait la direction pour rentrer chez moi. Mais je pouvais parler de Corona, de Dunbroch, de la Forêt Enchantée, de la Mère Gothel ou du territoire de Jungle Green, personne ne comprenait un traître mot de ce que je racontais. Neuf fois sur dix, on me traita de folle, on m’a même dit d’arrêter la drogue. Finalement, c’est une enfant qui m’a ouvert. Quand pour la énième fois je racontais mon histoire, au moment de mentionner mon statut de princesse, elle m’invita à entrer et contraint son père à m’accepter au moins le temps d’une nuit.
Je suis restée six mois chez ces bons gens, à Boston. Le portail que m’avait fait traverser la Mère Gothel m’avait menée dans un tout autre univers. Rien ne ressemblait à tout ce que j’avais connu avant. Mon histoire ? On ne la retrouverait que dans de vieux livres, écrits il y a bien longtemps par des gens morts. J’ai dû me réadapter. Il le fallait bien, tant que je n’avais pas de moyen de rentrer chez moi. J’ai appris à me servir d’une machine à café, d’une machine à laver et d’un tas d’autres machines. Une fois que je fus prête à me débrouiller toute seule avec ce matériel étrange, le père de l’enfant, dépassé, décida qu’il était temps pour moi et ma naïveté de partir - ce sont ses mots. Un soir, nous montâmes dans sa voiture, le coffre et la banquette arrière étaient pleins - la gamine s’était trouvé une place au milieu de tout mon bordel. J’ai transféré une bonne partie de mes économies sur un compte qui t’appartient maintenant. Fais ta vie, commence quelque part, fais quelque chose, mais je ne peux plus te garder chez moi. Ça m’empêche de vivre, qu’il m’a balancé pendant le trajet. Juste avant l’accident.
On n’a rien vu venir. La route était peut-être trop humide. La voiture tourna sur elle-même, et nous à l’intérieur. Les roues entraînèrent le véhicule dans le fossé, et ma tête se cogna plusieurs fois contre la vitre, le plafond, et tout un tas de choses qui volaient grâce à la violence des secousses. J’ai dû perdre connaissance. Quand je me réveillais, j’étais à l’hôpital de Storybrooke. Quelques maigres affaires avaient été apportée dans ma chambre. On ne comprenait pas ce qui était arrivé. J’étais comme sortie de nulle part. J’étais seule sur le bord de la route, aux limites de la ville, quelques affaires en vrac éparpillées autour de moi, mon état sérieusement amoché. On m’avait emmenée aux urgences, peut-être que j’apporterais les informations nécessaires à mon réveil. »

« C’est là que je me suis installée, comme mon ami m’avait fortement recommandé de faire. J’avais trouvé un petit appartement à louer, un peu sale, mais avec un peu d’efforts j’en avais fait mon chez-moi.
J’ai appris par un nouvel ami quelques jours plus tard, Jefferson, que j’étais dans une ville de maudits, créée à peine quelques semaines plus tôt par la Méchante Reine pour servir une espèce de Malédiction. Que des personnes de mon monde, la mémoire effacée à moitié, remplacée par une vie factice dans un nouvel univers. Comme moi, sauf que moi j’ai gardé la mémoire et je n’ai pas eu de vie inventée. Donc pas comme moi, en fait. Il fallait que je fasse profil bas, par contre. Il y avait des personnes qui tenaient à ce que ce système fonctionne, notamment madame la maire. Alors j’ai rapidement créé une identité, j’ai rapidement exécuté une journée type. Je voyais des gens que j’avais connu. Mérida, Harris… mais ils ne me reconnaissaient pas, et oubliaient chaque conversation que nous avions eue à propos du monde des contes dès le lendemain. Quand j’en avais gros sur le melon, j’allais voir mon ami le chapelier pour être sûre que chaque journée était bien différentes. Ce manège a duré presque vingt-huit ans. »

« La Sauveuse a remis les pendules à l’heure - et c’est le cas de le dire. La vie reprenait son cours, le temps repris le contrôle de la situation. Et heureusement, car je crois que la répétition m’avait rendue un peu folle. J’ai ouvert mon propre salon de thé, en hommage à mon ami, que je visitais toujours. Je vivais plutôt bien. Et puis Mérida est repartie, et moi je n’avais rien à faire de plus à Storybrooke. Ou alors je voulais porter à nouveau des robes. Je l’ai suivie. Moi aussi je suis allée parler au Lièvre de Mars. J’ai laissé toutes mes affaires dans l’état, toujours prêtes à m’accueillir à nouveau la prochaine fois que je mettrais les pieds en ville. »




Pénurie de dentifrice à Storybrooke.
storybrooke daily mirror.
Vous sentez qu’il ne se passe pas grand chose en ce moment ? En tous cas pas qui puisse valoir un bon article sans que l’on recycle des informations que l’on vous a déjà donné.

Après des mois sans poster sur les réseaux sociaux ou envoyer un SMS aux peu d’amis qu’il lui restait dans notre petite ville pour affirmer que sa bêtise ne l’a pas tuée, Giselle se promène de nouveau dans les rues de Storybrooke. Il paraît qu’elle a eu quelques soucis en rentrant au bercail, retrouvée enchaînée à une poutre, elle a vu la mort et a cru retrouver son cher prince charmant. Sauvée de justesse, sa cousine l’a envoyée à Arendelle, chez les pingouins et les barbares. Il paraît qu’elle fut très occupée, elle nous a parlé d’un poste d’espionne pour le compte des Bothwell - je pense qu’elle n’était pas censée en parler, mais on adore raconter les petits secrets de tout le monde ici. Aujourd’hui elle revient, trois grosses valises de chacune un mètre de hauteur, elle dit que c’est pour faire le stock. Nourriture ? Oui, elle rapporte des tas de conneries de la pâtisserie. Gadgets ? Elle a bien compris que l’électricité, ce n’était pas le fort du Monde des Contes, quoiqu’elle a réussi à embarquer toutes les réserves de batteries de secours pour téléphones portables, tablettes et iPods. Mais si à tout hasard votre tube de dentifrice vous crie qu’il sera bientôt vide, trouvez une solution rapidement, parce qu’il n’y en a plus dans aucun des marchés ou supermarchés de la ville. Quand on a tout un régiment barbare à éduquer à l’hygiène bucco-dentaire, il ne faut pas faire les choses à moitié…

Nous espérons qu’elle rentrera bientôt, on aurait peur de ne plus trouver de shampooing dans nos rayons… il paraît qu’il n’y a déjà plus de vodka premier prix, mais pour ça on soupçonne mademoiselle Liddell.




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Regina Mills
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 2:57

Ohhhh tu l'as faite, et tu as pris cet ava que j'adoooore! Je déplorais qu'elle n'ait pas été gardée pour Aurore, je la trouvais soooo cute, je suis trop contente qu'elle soit priiiise Potté
Amuse-toi bien avec la rédaction de ta fiche Coeur Et bon... je te passe le blabla staf hein Muehehehe
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Ivallya J. Jenkins
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 7:57

Je lache raiponce et tu prend Gisele ca je ne m'y attendais pas mais bonne chance avec cette nouvelle folle dingue Potté Coeur
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Vael Moreau
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 10:54

Aaaah ma petite pincesse bienvenue en ce monde !
N’aie aucune crainte, je suis là pour toi
true love's tears.  849305tumblrnv2ezeW29I1uf2eawo6250

Bon courage pour ta fiche !
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Giselle Rosenberg
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 20:50

Régine : J't'avoue, je l'ai plus prise pour les ressources qu'autre chose What a Face

Matou minou : Je te jure que je l'ai pas fait exprès ! Mais t'inquiète, je garde ta version de l'histoire, comme ça tu pourras faire un 5ème compte quand tu veux Pan Please

Biquette : Le gif xD tellement farpait pour Gisèèèèle What a Face Hihi
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 20:55

Mais quel gentille attention tout ça pour me fourber Hide
PS: Regarde tes messages vile gueuse
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Giselle Rosenberg
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptySam 20 Aoû - 20:56

Mes messages ! J'ai zappé, je m'occupe de toi Hihi
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Vael Moreau
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MessageSujet: Re: true love's tears.    true love's tears.  EmptyLun 10 Oct - 18:54



Congratulation !!!
Il était temg !
HaaaAAA HaaaaAAA ! Bref tu es validé ! Bon désolée pour le gif, ile st vraiment pas terrible, mais j’en ai avais pas trouvé mieux, puis on reste un peu dans le thème. J’avais hâte de validey ta fiche ! Ca doit faire un petit moment que tu attends.
Bon les petits détails on été revus, c’est perfect !

Pour la peine aujourd’hui, j’ai enfilé la tenue adéquate. Je porte tes couleurs ! Tu as vu, je suis allé piqué ta robe. Alors si Vael jugerait cette fiche, il dirait que l’histoire était vraiment prenante et qu’il adore que tu la lui lise chaque soir avant de dormir. Surtout pour parler des pays limitrophe. Ah et au moins toi t’es allée chez le coiffeur ! C’est déjà plus pratique. Allez ma Mie, je vous attends ! *révérence*

En plus sérieux, Giselle est très touchante ! On n’a presque envie de l’aider si on oublie qu’elle chante à longueur de journée et se balade pieds nus. Hihi

Mais à présent que tu fais partie de notre petite communauté de très grands tarés, il y a plusieurs choses qui pourraient t'être utile afin de s'assurer que tu as toutes les cartes en main pour t'intégrer sur le forum. Tout d'abord tu peux aller ouvrir une fiche de liens ICI afin de pouvoir te rapprocher de tes petits camarades ou au contraire te créer les pires ennemies du monde. C'est ICI aussi que tu pourras créer ta fiche de sujets pour pouvoir gérer tous tes rp et où on pourra t'en quémander. Mais bien entendu, si tu veux directement aller vers les autres mais que tu ne sais pas vers qui te tourner, n'hésite tout simplement pas à directement demander un rp ICI ou voir si quelqu'un recherche un rp. D'ailleurs, pour pimenter ces petits sujets si tu en as envie, tu peux très bien aller ICI afin de remplir un petit défis rp ! Après bien sûr, si tu as besoin d'une maison ou de toute autre lieu, tu peux très bien en faire la demande ICIet ICI. Enfin, pour terminer, n'hésite pas à faire un tour dans la boutique de Gold ICI, c'est le meilleur endroit pour dépenser ses points et obtenir des récompenses sympa !

Voila, maintenant tu devrais avoir toutes les informations nécessaire pour faire un bon démarrage sur le forum. N'hésites pas à fouiller le forum, d'autres surprises t'attendent ! Bon jeu à toi   !
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