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  ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta

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La vie n'est que ronces et l'amour en est sa plus cruelle épine

Neïlina K. Kramers
Neïlina K. Kramers


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MessageSujet: ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta     ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta  EmptyJeu 5 Nov - 20:31



No time for goodbye he said as he faded away
Milady de Winter & Lestat

« Tu es comme ta mère une catin ! » « Arrête de pleurnicher comme une gamine » « Souviens toi que tout ce que tu as c’est grâce à moi Anne ! » « Tu ne seras jamais ma fille ! » La voix de mon père adoptif tournait et retournait dans mon esprit ensommeillé, le corps tendu comme un arc, je revoyais les scènes de mon passé. Je les vivais comme si c’était la première fois. Les sensations de ce viol, ma première fois bafoué au même titre que ma vertu, ses mots prononcé en m’honneur de la femme qui m’avait donné la vie et qui avait fait naître la larme que j’avais laissé coulé devant le bourreau qui m’avait acheté pour remplacé sa fille : la précieuse et véritable Milady. Ma mère, cette femme dont je devais taire l’existence, cette femme pour laquelle je devais prendre madame De Winter, mais que j’avais mis tant de temps avant de pouvoir l’appeler maman, sans en avoir la nausée. A mes yeux, et même encore aujourd’hui alors que j’étais âgées de vingt et un printemps, ma mère était la femme des baffons, celle qui me donnait son morceau de pain pour éviter que je ne meurt de faim, celle qui était toujours dans un état secondaire, celle qui se faisait battre sans rien dire, la soumise qui s’offrait à n’importe quel homme prêt à payer pour pouvoir d’allier à elle l’espace d’un instant, de quelques minutes volées. Oui, cette femme loin d’être recommandé, morte d’ivresse la veille de Noel, était ma mère, la seule et unique mère qui j’avais eu. Madame De Winter, était pas détestable, contrairement à son mari, elle m’aimait, mais d’une manière que je ne comprenais pas. Je pense qu’une part d’elle oublie que je ne suis pas son enfant, elle m’a toujours prise pour sa défunte fille la douce Milday. Depuis mes huit ans je vis dans l’ombre de cet enfant parfait, cet enfant désiré et mort prématurément et dans le plus grand secret. J’ignore ce qu’aurait été ma vie si je n’avais pas suivit le médecin qui m’avait recueilli le soir de la mort de la vraie Milady. J’aurais certainement eu moins de fortune, ma vertu aurait été protégé jusqu’au mariage, et surtout je n’aurais jamais eu Athos, mon mari dans ma vie. Athos, il était certainement le seul rayon de soleil qui m’avait été offert par mon père adoptif. Un mariage arrangé qui était des plus agréables. Notamment parce qu’Athos était beau comme un dieu, qu’il était doux et indulgent avec moi, mais surtout je l’aimais.

Me réveillant en sueur dans le lit conjugale, je retenais tout son intempestif, mon regard dérivant sur le visage serein de mon jeune mari, dont la main était toujours posée sur ma hanche dénudée. Qu’est-ce que j’aurais aimé pouvoir dormir aussi sereinement que lui. Malheureusement, mes terreurs nocturnes me poursuivaient au même titre que mon sombre passé que je protégeais dans l’ombre. Depuis quelques mois, j’avais organisé la mort de cinq personnes ayant des soupçons sur moi, généralement c’était des proches du trio infernal dans lequel évoluait on mari : les mousquetaires. Je savais qu’Athos et ses amis menés par le charismatique D’Artagnan, voulait venger la mort de leur ami. Ils ne devaient pas découvrir que c’était moi l’investigatrice de toutes ces disparitions.
Sortant de mon lit, avec délicatesse j’enfilais rapidement une robe de chambre rouge, ainsi qu’un gilet de soie nacrée, avant de me diriger vers le balcon afin de respirer l’air nocturne. Comment allais-je ne sortir de cette impasse ? Comment pouvais-je réussir à vivre dans l’avenir ? Je pensais qu’orchestrer la mort de mon terrible père allait mettre un point final à cette sensation de mal être, à cette peur qui me terrassait depuis des décennies. Mais ce n’était pas le cas, les cicatrices qu’il m’avait laissé étaient toujours là, profonde, indélébile, c’est en causant sa mort que mes fantômes m’avaient rattrapé. Sa mort en avait engendré, tant d ‘autre et le pire dans toutes cette histoire c’est que je commençais à y prendre plaisir.
Inspirant profondément, je laissais l’air nocturne et doux s’immiscer dans mes poumons, apercevant au loin une lueur semblable à celle qu’émettaient les lanternes, je sentais mon cœur s’affoler légèrement. J’aurais sans doute dû partir réveillé mon mari, c’était sans doute la meilleure chose à faire d’ailleurs. Cependant, ma paranoïa avait prit le dessus, et si c’était encore un de mes ennemis à abattre. Le souvenir du mot que j’avais retrouvé sur ma table de chevet quelques jours plus tôt me revenant à l’esprit je renonçais à la sagesse. Quelqu’un connaissait un de mes secrets, j’ignorais qui c’était, mais je devais le découvrir au plus vite.
Prenant à mon tour une lanterne, accompagnée de l’épée de mon mari, je me dirigeais à l’extérieur d’un pas assuré. « Montrez-vous ! Je n’ai pas peur de vous ! »  


acidbrain


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MessageSujet: Re: ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta     ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta  EmptyDim 6 Déc - 1:07



On échappe pas à son passé





Je me promenais à mes aises dans mon royaume sous terrain. Les Enfers m'appartenaient et ce depuis la mort de mon père. A peine digéré que je m'étais rendu complice d'un parricide. Je suis un méchant garçon non ? Je me baladais autour des corps désincarnés et des ombres profitant de l'absence de Perséphone. Elle n'était pas là pour crier à tout va et je pouvais faire ce qui me plaisait à son insu. Cette pensée fit naître en moi quelques frissons d'excitation. Mais d'abord je m'occupais de nourrir Cerbère, une des activité indigne de mon rang certes, mais j'appréciais cela. Ce qu'un dieu veut, un dieu le fait. Proverbe d'Hadès valable surtout pour Hadès. Ah oui ! J'avais aussi à monter un énième plan pour devenir Tout Puissant à la place de Zeus ... Une semaine chargée à l'horizon.

Les Enfers faisaient un bon chiffre aussi, nous avions assez de morts, pas de pénurie à l'horizon. Viva la guerre et la maladie ! Il faisait bon mourir en ce moment. J'étais donc débordé et c'est donc en tant que dieu et patron des Enfers que je décidais de m'accorder à moi même un petit congés bien mérité. Je me remercie après tout j'ai bien travaillé ! Ils ont pas intérêt de se plaindre ceux là haut ou ça va chauffer ! Je me préparais à partir. Je savais déjà où je voulais aller. Les retrouvailles avec cette vieille " amie " me faisaient trépigner et ne pouvant en supporter davantage je laissais aux subalternes le soin de garder les Enfers jusqu'à mon retour. Que voulez vous, je suis un patron capricieux.

Je sors donc et direction les terres d'Europe ! Allons voir la femme d'un de ces Mousquetons ou je ne sais quoi. Milady de Winter que je connais plus sous le nom de Méduse. Cette belle Méduse, Athéna n'a vraiment pas étée cool avec elle. Moi je l'aime bien cette petite; elle aurait du me choisir à la place de Poséidon surtout que je suis largement meilleur que lui. Je suis meilleur que mes frères dans n'importe quelle domaine après tout. C'est pour cette raison que je devais prendre le trône de Zeus, car j'étais tout simplement meilleur que lui. Aussi la petite Méduse pouvait m'être utile. Vous pensez que cette sortie était improvisée ? Il n'en est rien, tout cela était préparé. J'avais auparavant contactée la petite Milady avec un papier qui l'effrayait. Que ce sot dans son ancienne vie ou maintenant, la miss n'était pas blanche comme neige. Cela devait être son destin d'apporter la désolation et la mort. Je l'avais évidemment observé, faite surveiller. Je n'allais après tout pas laisser un pion si précieux à la merci de personne aux intentions mauvaises ... Hormis moi, évidemment.

A cette pensée je souriais, la nuit était claire et je me trouvais devant l'habitation de Milady et du célèbre Athos. Ma chemise en coton blanche et un pantalon d'époque moulant, je faisais quelques pas la sentant arrivée. Elle m'avait sentie aussi puisqu' accompagnée d'une lanterne et d'une épée elle me somma de me montrer. Un sourire sadique se dessinant sur mon beau et parfait visage, je disparus avant d'apparaître dans son dos. La lanterne s'éteignit alors que je vins bloquer son poignet qui tenait l'arme et de mon autre je vins effleurer son cou tout en approchant mes lèvres de son oreilles pour lui murmurer :

Cela n'a pas toujours été le cas ... Medusa.

Je sourais avant d'effleurer le lobe de sa délicieuse oreille tandis que je me mis à rire. Elle avait une certaine force, j'aimais ça. Bon j'avais par contre l'air pas très net mais est ce que je l'étais ? Je ne sais pas. Mais cette fois ci je disparus de nouveau avec elle avant que l'on se retrouve dans la chambre de la belle. Son mari y dormait paisiblement alors que je serrais de plus en plus son poignet avant de continuer à chuchotter :

Tu ne voudrais pas qu'il se réveille non ?

Ma main qui effleurait son cou, il y a quelques secondes,  vint se perdre sur ses délicieuses jambes. Je souriais de plus en plus, laissant la belle regarder son mari sous l'influence de Morphée tandis que sa femme me fasait face impuissante. Je la fis pivoter en gardant toujours son dangereux bras armé d'une épée en ma poigne. De mon sourire sadique et presque excité des mots vinrent se perdre, un regard en coin vers le mousquetaire :

Tu ne voudrais pas le réveiller n'est ce pas ? Pas après ce que tu as fais à ses amis et ton père non ?

D'un geste brusque et sec, je la collais au mur sans ménagement. Un léger bruit se fit entendre, pas assez fort pour réveiller le preux mousquetaire. Il avait fait un mouvement pour changer de position mais ne semblait pas être prompt à se réveiller tandis que je violentais sa femme. Je me collais au corps de la belle lui déclarant finalement mes intentions :

Travaille pour moi Médusa. Sois à mon service et dans cette vie, je t'aiderais à garder ton identité cachée fausse Milady.

J'avais pris le visage de Milady entre mes doigts lui faisant une belle bouche de canard. Je déposais mes lèvres sur les siennes avant d'ajouter :

Toujours aussi belle ...

Puis d'un petit mouvement sa tête cogna le mur par le recul tandis que je la débarrassais de mon emprise et faire quelques pas en arrière. Contournant le lit du couple, je pris l'oreiller laissé vacant par l'absence de Medusa que je pris dans ma main avec un sourire des plus loquace envers ma chère amie qui en disait long sur mes intentions ...


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MessageSujet: Re: ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta     ❝ Flashback❞ : On n'échappe pas à son passé ૪Lesta  EmptyDim 13 Déc - 13:49



No time for goodbye he said as he faded away
Milady de Winter & Lestat

Mon obsession avait une nouvelle fois pris le dessus sur ma raison, je n’aurais jamais dû sortir seul au beau milieu de la nuit armée seulement d’une épée et d’un lanterne qui menaçait de s’éteindre après chaque bourrasque de vent. Quand bien même le bruit que j’avais entendu été dû à une intrusion dans notre propriété, qu’est-ce qui me certifiait que c’était l’auteur de la nouvelle lettre que j’avais reçu ? Sans compte qu’Athos n’aurait pas chercher bien loin, une intrusion dans sa demeure, un homme qui menace sa femme, il l’aurait tué et après il aurait posé des questions. Une excuse était vite trouvée. J’aurais très facilement pu trouver une histoire crédible, sans compter que mon mari idolâtrait tout chez moi, il ne me pensait pas capable du moindre mal. S’il savait, il serait mort de chagrin et de colère.
C’était ce désir de préservation, qui m’avait poussé à appeler l’intrus, il fallait que je protège mon passé, mais également l’amour et la dévotion que me portaient Athos. Malgré toute la difficulté que j’avais à l’avouer, j’avais besoin de son amour.
Frigorifiée, j’avançais tout en tenant fermement l’épée de mon mari, prête à m’en servir si nécessaire. Tuer un homme n’était pas une première pour moi, même si je devais l’avouer je préférais déléguer la tâche plutôt que l’exécuter moi-même. Non pas que retirer la vie était un sentiment insoutenable, loin de là parfois, je me sentais même euphorique, mais je protégeais mes arrières. Les trois mousquetaires, fidèle, serviteurs du roi veillait au grain à ce que la délinquance et  les meurtres soient tous punis et élucidé. Certains rendaient même Athos fou, généralement c’était ceux que j’orchestrais dans son dos. S’il savait, répétais-je une fois de plus avant de me concentrer sur ma nouvelle mission.

Rapidement et sans que je ne comprenne d’où l’inconnu  surgissait, je sentais le corps d’un homme s’abattre dans mon dos, retenant ma main armée. Me débattant comme une lionne pour me libérer de son emprise, je lâchais la lanterne qui de toute manière m’avait lâchement abandonné en s’éteignant quelques seconde avant mon emprisonnement. Alors que je tentais de le frapper, nous nous téléportèrent, un acte qui me donna la nausée, premièrement je ne pensais même pas que cela était possible mais en plus les mots que venait de prononcé mon bourreau, sonnait faux dans mon esprit. Médusa ! Mais qui était-elle ? Mon esprit se dirigeant soudainement vers les cours d’histoire que l’on m’avait obligé à suivre durant mon enfance. Il y avait bien une Médusa qui se rappelait à mon bon souvenir seul hic, j’étais incapable de me souvenir de ce qu’elle avait bien pu faire dans sa vie.

L’odeur de ma chambre conjugale venant emplir mes sens, j’inspirais profondément, mon cœur battant à tout rompre. Rapidement, je fus bloqué contre le mur ma main armée toujours fermement tenu par l’inconnu qui appuyait son corps contre le mien, son souffle venant irriter mon oreille, je continuais de me débattre, avant de tenter de le mordre en dépit d’autre chose tandis qu’il riait silencieusement en affirmant que je ne voudrais pas qu’Athos me réveille. Le souffle lourd de mon mari me parvenant je serrais les dents avant de répondre en un murmure haineux lorsque sa main venait s’immiscer entre mes jambes dénudée. « Lâchez-moi tout de suite ! » Le corps d’Hadès, collait au mien je sentais son érection s’éveillé sur mon ventre, reveillant mon appétit sexuel, mais surtout un certain dégout. Les violentes images de mon passé se rappelant à mon bon souvenir, j’envoyais un magnifique coup de genoux dans les parties génital de l’inconnu tandis qu’il répétait ivre de puissance que je ne voulais pas qu’Athos se réveille, surtout pas après ce que j’avais fais à ses amis. « Qui êtes vous ? » Sifflais-je, tout en continuant de me débattre.
De son côté, il restait impassible. Me demandant de travailler pour lui, tout en répétant le fameux prénom dont je ne savais pas d‘où il venait. Ce dernier me promettant de m’aider à garder ma réelle identité caché, tout en serrant mes joues afin que ma bouche forme une magnifique bouche de canard. Secouant mon visage brutalement de droite à gauche, me faisant ainsi mal au passage, pendant que l’inconnu ajoutait que j’étais toujours aussi belle. « Qui êtes vous ! » Répétais-je avant d’être libère brutalement, ma tête heurtant une plainte tandis que j’étouffais mon cri en serrant les dents pour éviter de réveillé mon mari qui se retournait dans notre lit guère soucieux de ce qui se passait autour de lui.
Cherchant l’inconnu légèrement fou du regard, je le retrouvais de mon côté du lit, ce dernier tenant entre ses mains mon oreiller. Mon  regard oscillant entre le visage paisible de mon mari, mon oreiller, je sentais une vague de panique me saisir. Vacillante, je me rapprochais d’Hadès, levant l’épée contre le cou de l’homme, tout en ajoutant d’une voix déterminée et menaçante ! « Lâchez-ça immédiatement où je vous tranche la gorge ! » Déclarais-je, tout en appuyant la lame contre la gorge du blond avant de reprendre : « J’ignore qui vous êtes et pour qui vous me prenez ! Mais ce lieu n’est guère adapté pour ce genre de conversation ! Si vous voulez que je travaille pour vous il va falloir que j’en sache plus et il n’est guère utile de menacer la vie de mon mari pour arriver à vos fins ! » Le rapprochant davantage du furieux psychopathe, sans pour autant lâcher la pression que j’exerçais sur ma jugulaire, je rapprochais les lèvres à son oreille tout en murmurant avec une sensualité qui m’était propre, tout en l’empêchant de bouger grâce à la pression que j’exerçais avec l’arme de mon mari. « Lâchez donc cet oreiller et retrouvez moi dans le salon nous pourrons ainsi nous exprimer sans aucune restriction ! Nous serons libre de faire ce que nous voulons » Entaillant légèrement sa gorge lorsque je retirais mon épée, je me dirigeais en signe d’acceptation vers la sortie, m’arrêtant dans l’embrasure de la porte, je me retournais afin de l’inciter à me suivre tout en libérant mon corps du gilet que je laissais s’abattre sur le sol : « Alors vous venez ! » murmurais-je d’une voix volontairement aguicheuse. Une provocation qui pouvait se retourner contre moi. Seulement je voulais plus que tout autre chose, qu’il s’éloigne d’Athos, ça ajouté au fait que j’étais consciente de lui faire de l’effet que je provoquais sur son corps, son érection passé me l’ayant prouvé, je mettais toute les chance de mon côté sans pour autant lâcher l’arme de mon mari que je tenais fermement, m’accrochant à elle comme à une bouée de sauvetage.

Une fois dans le salon j’expirais bruyamment tentant de faire disparaître cette peur qui brouillait mon esprit, tandis que je m’appuyais contre le dossier d’un des sofas du salon. Il fallait que je me sorte de cette impasse, accepter sa proposition, la refuser ? Je ne savais que faire d’autre. Tandis que la tignasse blonde du psychopathe se présenta enfin à moi je demandais tout en adoptant une posture digne et sûre de moi, en oubliant toute les règles de bonne conduite qui aurait dû me pousser à lui proposer un verre : « Qui êtes vous ? Qui est cette Médusa avec laquelle vous semblez me confondre et surtout que savez-vous sur moi ? »


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